Pour les parents de l'école St-Ambroise: des infos du CÉ, les PV des réunions, etc. Ceci est un blogue: exprimez-vous, commentez, suggérez, critiquez, ... dans le respect de tous. Seuls les commentaires respectant la "Charte néthique" seront publiés. Pour contacter le Conseil d'établissement: cestambroise@gmail.com
27 février 2012
Point chaud - Sans enseignants spécialisés, l'anglais intensif sera un échec
Par Lisa-Marie Gervais, dans Le Devoir, 27 février 2012
Les parents l'ont décrié, les enseignants aussi. Tel que présenté par la ministre de l'Éducation, le programme d'anglais intensif, qui sera implanté dans toutes les classes de 6e année du Québec d'ici 2015, n'est pas viable. Au tour de la recherche universitaire d'émettre de sérieuses réserves. «Ça me fait tellement peur de penser que pendant cinq mois, les jeunes ne vont que faire des jeux pour apprendre l'anglais. Alors qu'on sait que cet âge-là est très important dans le développement de l'enfant, de sa pensée formelle», a lancé Zita De Koninck, professeure au département de langues, linguistique et traduction de l'Université Laval. «On doit prendre au sérieux la façon dont va être implanté ce programme-là.»Non pas que l'idée de soumettre les petits Québécois à un apprentissage intensif d'une langue seconde ne soit pas vertueuse. Bien au contraire. Mais encore faut-il qu'il soit implanté de façon efficace, ce qui ne semble pas être le cas pour l'instant, croit la chercheuse. «Il faut mettre les chances de notre côté. Et si on met devant les classes des enseignants qui ne savent pas bien parler anglais ou qui ne savent pas comment l'enseigner, quel modèle on donne?», s'interroge-t-elle. Elle craint qu'on ne se soucie pas suffisamment de mettre à profit des spécialistes de l'enseignement de l'anglais.
Légitime, son inquiétude est liée à un épisode de cafouillage pas si lointain. En 2006, lorsque que le ministère de l'Éducation a mis l'anglais au programme dès la première année du primaire, les écoles ont été prises de panique devant le nombre de profs d'anglais à embaucher. À Québec, plutôt que retenir les services de bacheliers en enseignement d'une langue seconde, les commissions scolaires se sont tournées vers son département pour former le personnel déjà à l'emploi. «À l'Université Laval, sur 200 qu'on devait former, il y en avait seulement 15 qui étaient admissibles à notre certificat d'aptitude à l'enseignement spécialisé d'une langue seconde. Tous les autres avaient besoin de suivre des cours supplémentaires de mise à niveau en anglais», raconte-t-elle.
Spécialistes contre enseignants
Elle qui a passé toute sa vie à scruter les méthodes d'acquisition des langages et la didactique des langues, Zita De Koninck est bien placée pour comprendre le haut degré de formation que doit posséder un enseignant pour que l'enfant apprenne efficacement. Ne s'improvise pas prof d'anglais qui veut. «Quand on forme un enseignant en langue seconde, on le forme pour qu'il aide l'enfant à développer ses capacités langagières et cognitives au moyen de toutes sortes d'exercice conçus pour ça», a-t-elle soutenu. «La formation, c'est de savoir pourquoi je pose tel geste pédagogique et pourquoi j'organise les activités selon une séquence donnée. Par exemple, si je veux amener les enfants à raconter une histoire en anglais à l'aide d'images, il ne faut pas que l'enseignant les voie. Le défi est alors plus grand pour l'enfant de raconter pour que son enseignant devine.»
En revanche, aussi vaillant et bien intentionné soit-il, un enseignant non formé ira glaner des activités et des jeux dans divers manuels ou sur Internet sans nécessairement réfléchir à l'aptitude qu'il veut développer chez l'enfant. «C'est bon d'utiliser des jeux pour motiver les élèves. Mais en faire du matin au soir, ça ne va pas l'aider», note Mme De Koninck.
Et comment faire en sorte que tous les élèves de 6e réussiront alors que le programme demande de condenser sur une demi-année toutes les matières autres que l'anglais (par exemple le français et les maths)? «Que vont faire les profs pour amener leurs élèves à bien réussir? Ils vont compresser leurs matières? On dirait que la ministre évite de répondre à cette question-là», déplore la spécialiste de l'enseignement des langues. Elle ne serait pas contre une augmentation du nombre d'heures en classe, par exemple en le faisant passer de 25 à 30, soit une heure de plus par jour, comme cela se fait dans certaines provinces canadiennes.
Faire comme les Anglos
Pour mettre en place de bons programmes linguistiques, le ministère de l'Éducation aurait intérêt à regarder ce qui se fait chez les Anglos, qui possèdent plusieurs modèles d'immersion française. Dans la plupart des cas, les enfants des écoles anglophones qui sont en immersion dans la langue de Molière font la maternelle, première et deuxième année du primaire uniquement en français. Par la suite, les ratios anglais/français s'inversent progressivement. «C'est certainement un modèle intéressant», estime Mme De Koninck.
Le Québec aurait aussi intérêt à regarder ce qui se fait ailleurs, notamment en Europe. En Suisse et au Luxembourg, les écoles bilingues sont légion. La clé de leur succès? Plusieurs points, croit la professeure, mais le fait que les autres matières scolaires sont enseignées en anglais y est certainement pour quelque chose. Ce qui est interdit dans les écoles du Québec en vertu de la Loi sur l'instruction publique. «Voir un contenu scolaire dans une autre langue permet d'approfondir davantage les concepts. L'élève va poser plus de questions et ça va amener une répétition des contenus. Au final, ça va avoir un impact positif sur la connaissance à la fois des concepts et de la langue», avance-t-elle.
Reste un mythe à déboulonner: celui qui laisse croire que les enfants en difficulté seront désavantagés. «Il n'y a pas d'études qui ont démontré que les élèves en difficulté vont être pénalisés. Au contraire. L'ouverture à une autre langue et le fait que l'enfant réfléchit sur le choix des mots, sur ses caractéristiques est plutôt bénéfique», a dit Mme De Koninck, en évoquant les travaux de recherche de Fred Genesee, de l'Université McGill. Ils ont permis de conclure que l'immersion française n'avait aucun effet nocif sur le développement de la langue anglaise, y compris chez les élèves qui éprouvent des difficultés en langue maternelle. Même qu'elle avait un impact positif sur la performance scolaire en général.
Somme toute, avant de commencer à implanter quoi que ce soit, il vaudrait peut-être mieux faire le bilan de l'introduction de l'anglais dès la première année, suggère Zita De Koninck. «Ça aurait été bien de savoir ce que ça avait donné, cette mesure-là. Malheureusement, au Québec, on n'est pas très vigilant sur le suivi.»
***
L'anglais intensifen cinq dates
1993: Le projet d'anglais intensif débute au Saguenay
2001: Le rapport des États généraux sur la langue française recommande l'anglais intensif en 6e année.
2006: L'anglais langue seconde est désormais enseigné dès la première année du primaire.
2011: Dans son discours inaugural, le premier ministre annonce l'implantation de l'anglais intensif en 6e année.
2015: Toutes les écoles du Québec auront un programme d'anglais intensif en 6e année.
26 février 2012
Lettre du Commissaire (no 529 - 26 février 2012)
Chers amis bonsoir,
Tel que promis, je vous reviens… après avoir corrigé des centaines d'examens intratrimestriels !
Voici donc quelques brèves nouvelles.
Annabelle Marcotte
Tel que promis, je vous reviens… après avoir corrigé des centaines d'examens intratrimestriels !
Voici donc quelques brèves nouvelles.
Annabelle Marcotte
Cette jeune femme a vécu dans La Petite-Patrie pendant son enfance et son adolescence. Elle a fréquenté les écoles Saint-Arsène, Le Plateau et Joseph-François-Perrault. Elle est aujourd'hui altiste à l'Orchestre Symphonique de Montréal. Elle est syndiquée et active dans son unité syndicale. Le journal Le monde ouvrier, journal des membres de la FTQ, lui a rendu hommage dans sa dernière édition.
Victor-Doré et Joseph-Charbonneau
J'ai eu l'occasion récemment, avec les membres de la haute direction de la CSDM, de rencontrer les présidences des conseils d'établissement de Victor-Doré et de Joseph-Charbonneau. Je ne connaissais pas Mme Lise Dupont, la présidente du CE de Victor-Doré, mais je connais depuis plus de 10 ans François Gagnon, le président du CE de Joseph-Charbonneau.
Il s'agissait pour nous tous de faire le point sur les projets d'agrandissement des deux écoles, et évidemment, sur l'enjeu des moisissures. Nous avons tous reconnu que, même si les services centraux de la CSDM avaient bien fait leurs devoisr, il nous fallait prendre le temps de refaire ces devoirs à la lumière notamment des recommandations de la direction de la santé publique quant à la qualité de l'air. Les services centraux de la CSDM devraient pouvoir déposer un nouvel échéancier au plus tard ce printemps.
La cour de Saint-Ambroise : mes excuses aux parents
J'ai péché par omission. Dans ma dernière lettre, j'ai fait état des acteurs qui avaient été à la base des projets de réaménagement de cours d'école. Dans le cas de l'école Saint-Ambroise, j'ai fait référence au rôle particulier de la Ville de Montréal au début des années 90. Cette information est juste… mais tout à fait incomplète! Il y a eu une deuxième phase dans le réaménagement de la cour de l'école Saint-Ambroise et c'est un groupe de parents de l'école qui a eu l'initiative de cette deuxième phase et qui a organisé des activités de financement.
Je suis reconnaissant à la directrice de l'école Saint-Ambroise, Mme Johanne Lévesque, d'avoir rafraîchi ma mémoire et je m'excuse sincèrement auprès des parents que j'aurais pu heurter par omission.
École Gadbois : demande de dérogation
Tous les ans, le Conseil des commissaires doit demander à la ministre de l'Éducation l'autorisation de déroger au régime pédagogique pour des raisons particulières. Dans notre quartier, la demande a été faite pour l'école Gadbois. Plus spécifiquement, nous demandons le remplacement de l'anglais par l'enseignement de la langue des signes. Je rappelle que l'école Gadbois est fréquentée par quelque 80 enfants audi-muets.
Le jeune Conseil des commissaires
Encore cette année, certains membres des conseils étudiants des écoles secondaires de mon quartier pourront m'accompagner le 25 avril prochain. Ils seront avec moi au caucus, réunion non publique des commissaires, et au Conseil des commissaires où ils pourront intervenir… mais ne pourront pas voter. Cela fait quelques années que se déroule cette journée des « Commissaires d'un jour » et les jeunes qui m'accompagnent semblent bien apprécier l'expérience.
Saint-Gérard
La qualité de l'air est un enjeu fort important et la direction de la Santé publique nous a fortement recommandé de faire davantage de travaux à l'école Georges-Vanier avant de faire entrer les enfants et le personnel de Saint-Gérard. En conséquence, c'est le 13 mars que tout ce beau monde de Saint-Gérard occupera les nouveaux locaux à l'arrière de l'école Georges-Vanier. Autrement dit, compte tenu de la semaine de relâche, ils passeront cinq jours de plus au Cégep Ahuntsic, où, je le sais fort bien, les enfants sont très à l'aise.
Voilà pour cette semaine.
Des questions ? Des commentaires ? Écrivez-moi
Embrassez vos enfants pour moi
Bonne semaine
Kenneth
Victor-Doré et Joseph-Charbonneau
J'ai eu l'occasion récemment, avec les membres de la haute direction de la CSDM, de rencontrer les présidences des conseils d'établissement de Victor-Doré et de Joseph-Charbonneau. Je ne connaissais pas Mme Lise Dupont, la présidente du CE de Victor-Doré, mais je connais depuis plus de 10 ans François Gagnon, le président du CE de Joseph-Charbonneau.
Il s'agissait pour nous tous de faire le point sur les projets d'agrandissement des deux écoles, et évidemment, sur l'enjeu des moisissures. Nous avons tous reconnu que, même si les services centraux de la CSDM avaient bien fait leurs devoisr, il nous fallait prendre le temps de refaire ces devoirs à la lumière notamment des recommandations de la direction de la santé publique quant à la qualité de l'air. Les services centraux de la CSDM devraient pouvoir déposer un nouvel échéancier au plus tard ce printemps.
La cour de Saint-Ambroise : mes excuses aux parents
J'ai péché par omission. Dans ma dernière lettre, j'ai fait état des acteurs qui avaient été à la base des projets de réaménagement de cours d'école. Dans le cas de l'école Saint-Ambroise, j'ai fait référence au rôle particulier de la Ville de Montréal au début des années 90. Cette information est juste… mais tout à fait incomplète! Il y a eu une deuxième phase dans le réaménagement de la cour de l'école Saint-Ambroise et c'est un groupe de parents de l'école qui a eu l'initiative de cette deuxième phase et qui a organisé des activités de financement.
Je suis reconnaissant à la directrice de l'école Saint-Ambroise, Mme Johanne Lévesque, d'avoir rafraîchi ma mémoire et je m'excuse sincèrement auprès des parents que j'aurais pu heurter par omission.
École Gadbois : demande de dérogation
Tous les ans, le Conseil des commissaires doit demander à la ministre de l'Éducation l'autorisation de déroger au régime pédagogique pour des raisons particulières. Dans notre quartier, la demande a été faite pour l'école Gadbois. Plus spécifiquement, nous demandons le remplacement de l'anglais par l'enseignement de la langue des signes. Je rappelle que l'école Gadbois est fréquentée par quelque 80 enfants audi-muets.
Le jeune Conseil des commissaires
Encore cette année, certains membres des conseils étudiants des écoles secondaires de mon quartier pourront m'accompagner le 25 avril prochain. Ils seront avec moi au caucus, réunion non publique des commissaires, et au Conseil des commissaires où ils pourront intervenir… mais ne pourront pas voter. Cela fait quelques années que se déroule cette journée des « Commissaires d'un jour » et les jeunes qui m'accompagnent semblent bien apprécier l'expérience.
Saint-Gérard
La qualité de l'air est un enjeu fort important et la direction de la Santé publique nous a fortement recommandé de faire davantage de travaux à l'école Georges-Vanier avant de faire entrer les enfants et le personnel de Saint-Gérard. En conséquence, c'est le 13 mars que tout ce beau monde de Saint-Gérard occupera les nouveaux locaux à l'arrière de l'école Georges-Vanier. Autrement dit, compte tenu de la semaine de relâche, ils passeront cinq jours de plus au Cégep Ahuntsic, où, je le sais fort bien, les enfants sont très à l'aise.
Voilà pour cette semaine.
Des questions ? Des commentaires ? Écrivez-moi
Embrassez vos enfants pour moi
Bonne semaine
Kenneth
22 février 2012
PV - Conseil d'établissement du 22 février 2012
Procès-verbal
Réunion du Conseil d'établissement de l'école Saint-Ambroise
Le mercredi 22 février 2012 à 19h
Parents
|
Présences
|
Équipe-école
|
Présences
|
Martine Bussières
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√
|
Julie Balthazar
|
√
|
Frédéric Gouin
|
√
|
Martine Côté
|
√
|
Catherine Leduc
|
√
|
Amélie Pelletier-Houde
|
√
|
Christine Charles
|
√
|
Annie-Pier Guénette
|
X
|
Jamie Le Tual
|
√
|
Sonia Tremblay
|
√
|
Laurence Boucheron
|
√
|
Catia Aguzzi
|
√
|
Marie-Hélène Tremblay
|
√
|
Karine Hassell
|
X
|
Geneviève Cadieux, directrice adjointe
|
√
|
||
Johanne Lévesque, directrice
|
√
|
Le quorum est respecté et l’assemblée est ouverte.
2. Adoption de l’ordre du jour (19h)
L’ordre du jour est lu. On rajoute le point 5.4 : Prix Merci pour les parents bénévoles. L’adoption de l’ordre du jour modifié est proposée par Sonia Tremblay et appuyée par Catia Aguzzi.
3. Adoption du procès-verbal de la réunion du 23 novembre 2011
Marie-Hélène Tremblay propose l’adoption du procès-verbal, appuyée par Julie Balthazar.
4. Suites au procès-verbal (19h08)
4.1 Campagne de financement
Le moment est venu de réfléchir sur la tenue d’une campagne de financement globale. Johanne pense que beaucoup de choses se passent dans l’école cette année, ainsi que plusieurs collectes de fonds. Comme nous n’avons pas vraiment de projet rassembleur cette année en dehors de celui de la chanson francophone d’ici et d’ailleurs et le spectacle de fin d’année, il n’est pas justifié de faire une telle campagne. Le CÉ approuve cette orientation.
5. Points de discussion, d’approbation ou d’adoption
5.1 Approbation des sorties et activités incluant celles présentées par courriel
Voici le détail d’une vente de collation approuvée via courriel avant ce CÉ. Les élèves de 3e année ont planifié depuis longtemps de faire une vente de collations pour financer une partie de leur dodo au Biodôme et surtout pour supporter les quelques familles qui en particulier ne pourraient défrayer le coût de l’activité. Bien que cette activité ne soit pas très dispendieuse (autour de 40 $), nous souhaitons aider
les familles dans le besoin et diminuer la facture de toutes si cela est possible. Les enseignants de 3e année ont prévu une vente de collation le 9 février 2012.
L’information parviendra aux parents via l’info-parents ainsi que par un petit communiqué.
Pour certaines classes de 2e cycle, sortie au cinéma. Visite de quelques joueurs des Alouettes pour le 3e cycle.
L’approbation des sorties est proposée par Marie-Hélène Tremblay et appuyée par Catia Aguzzi.
5.2 Résolution pour l’utilisation des budgets de fonctionnement et de formation du CÉ : suggestions des enseignants
Pour le budget de fonctionnement, nous attendons les suggestions des enseignants. Johanne mentionne que l’école a toujours besoin de matériel pour l’activité physique extérieure.
Catherine propose d’utiliser le budget de fonctionnement du CÉ pour l’achat de matériel d’activités physiques pour les récréations. Appuyée par Martine Bussières. Adoptée à l’unanimité.
En ce qui concerne le budget de formation, nous attendrons jusqu’au mois d’avril pour les invitations des comités de parents. Si personne n’est intéressé, nous tenterons d’organiser une conférence école qui traiterait de persévérance scolaire.
5.3 Ristourne photo (proposition d’utilisation)
Nous avons reçu 1000 $ de l’entreprise de photographie Cinq-Mars. Geneviève nous propose de les affecter à la fête de fin d’année qui concerne tous les élèves. Cette question sera traitée au point 6.3 Informations de la direction, rubrique « Le projet de la chanson francophone d’ici et d’ailleurs et le spectacle de fin d’année ».
5.4 Prix merci pour les parents bénévoles
Les membres de la direction suggèrent de proposer Martine Bussières candidate à ce concours.
Le CÉ approuve à l’unanimité! Merci beaucoup à Martine pour son implication.
6. Informations
6.1 Du service de garde (19h25)
Catia nous rappelle que l’activité cabane à sucre avait été abandonnée l’an dernier à cause des coûts trop élevés. Cette année, une entreprise propose de transporter la cabane à sucre à l’école. L’équipe du service de garde trouve l’idée géniale. Le coût est de moins de 5 $ par élève et l’activité aurait lieu le 5 avril.
Le plus gros du problème de disponibilité de personnel est sous contrôle à l’école, même si la pénurie existe encore.
Frédéric demande s’il existe à notre école un problème de recouvrement des frais de garde. Johanne nous dit que malgré le fait que certains parents éprouvent certaines difficultés à régler leur solde, il n’existe pas vraiment de gros problème ni abondance de mauvais payeurs.
6.2 De l’organisme de participation des parents (OPP) (19h35)
Il y aura une rencontre de l’OPP le 28 février prochain.
L’activité du 13 février (café et invitation à entrer dans la cour et l’école) a amené une vingtaine de parents. Marie-Hélène a l’impression que les invitations qui passent par les enfants sont plus efficaces que celles intégrées à l’info-parents.
Il y aura une soirée de la chanson francophone au mois d’avril. (L’OPP avait dit fin mars mais c’est trop vite.) On parle de recruter les parents artistes de l’école.
6.3 De la direction (19h45)
L’équipe de la CSDM investiguera la classe de Christine et les sous-sol des deux pavillons.
Proposé par Marie-Hélène Tremblay et appuyé par Frédéric Gouin.
Adoptée à l’unanimité.
L’activité est proposée par Marie-Hélène Tremblay et appuyée par Christine Charles.
Adoptée à l’unanimité.
Le CÉ discute des documents. Nous avons quelques commentaires à transmettre au sujet de ces deux documents. Les commentaires seront transmis aux personnes concernées.
2. Adoption de l’ordre du jour (19h)
L’ordre du jour est lu. On rajoute le point 5.4 : Prix Merci pour les parents bénévoles. L’adoption de l’ordre du jour modifié est proposée par Sonia Tremblay et appuyée par Catia Aguzzi.
3. Adoption du procès-verbal de la réunion du 23 novembre 2011
Marie-Hélène Tremblay propose l’adoption du procès-verbal, appuyée par Julie Balthazar.
4. Suites au procès-verbal (19h08)
4.1 Campagne de financement
Le moment est venu de réfléchir sur la tenue d’une campagne de financement globale. Johanne pense que beaucoup de choses se passent dans l’école cette année, ainsi que plusieurs collectes de fonds. Comme nous n’avons pas vraiment de projet rassembleur cette année en dehors de celui de la chanson francophone d’ici et d’ailleurs et le spectacle de fin d’année, il n’est pas justifié de faire une telle campagne. Le CÉ approuve cette orientation.
5. Points de discussion, d’approbation ou d’adoption
5.1 Approbation des sorties et activités incluant celles présentées par courriel
Voici le détail d’une vente de collation approuvée via courriel avant ce CÉ. Les élèves de 3e année ont planifié depuis longtemps de faire une vente de collations pour financer une partie de leur dodo au Biodôme et surtout pour supporter les quelques familles qui en particulier ne pourraient défrayer le coût de l’activité. Bien que cette activité ne soit pas très dispendieuse (autour de 40 $), nous souhaitons aider
les familles dans le besoin et diminuer la facture de toutes si cela est possible. Les enseignants de 3e année ont prévu une vente de collation le 9 février 2012.
L’information parviendra aux parents via l’info-parents ainsi que par un petit communiqué.
Pour certaines classes de 2e cycle, sortie au cinéma. Visite de quelques joueurs des Alouettes pour le 3e cycle.
L’approbation des sorties est proposée par Marie-Hélène Tremblay et appuyée par Catia Aguzzi.
5.2 Résolution pour l’utilisation des budgets de fonctionnement et de formation du CÉ : suggestions des enseignants
Pour le budget de fonctionnement, nous attendons les suggestions des enseignants. Johanne mentionne que l’école a toujours besoin de matériel pour l’activité physique extérieure.
Catherine propose d’utiliser le budget de fonctionnement du CÉ pour l’achat de matériel d’activités physiques pour les récréations. Appuyée par Martine Bussières. Adoptée à l’unanimité.
En ce qui concerne le budget de formation, nous attendrons jusqu’au mois d’avril pour les invitations des comités de parents. Si personne n’est intéressé, nous tenterons d’organiser une conférence école qui traiterait de persévérance scolaire.
5.3 Ristourne photo (proposition d’utilisation)
Nous avons reçu 1000 $ de l’entreprise de photographie Cinq-Mars. Geneviève nous propose de les affecter à la fête de fin d’année qui concerne tous les élèves. Cette question sera traitée au point 6.3 Informations de la direction, rubrique « Le projet de la chanson francophone d’ici et d’ailleurs et le spectacle de fin d’année ».
5.4 Prix merci pour les parents bénévoles
Les membres de la direction suggèrent de proposer Martine Bussières candidate à ce concours.
Le CÉ approuve à l’unanimité! Merci beaucoup à Martine pour son implication.
6. Informations
6.1 Du service de garde (19h25)
Catia nous rappelle que l’activité cabane à sucre avait été abandonnée l’an dernier à cause des coûts trop élevés. Cette année, une entreprise propose de transporter la cabane à sucre à l’école. L’équipe du service de garde trouve l’idée géniale. Le coût est de moins de 5 $ par élève et l’activité aurait lieu le 5 avril.
Le plus gros du problème de disponibilité de personnel est sous contrôle à l’école, même si la pénurie existe encore.
Frédéric demande s’il existe à notre école un problème de recouvrement des frais de garde. Johanne nous dit que malgré le fait que certains parents éprouvent certaines difficultés à régler leur solde, il n’existe pas vraiment de gros problème ni abondance de mauvais payeurs.
6.2 De l’organisme de participation des parents (OPP) (19h35)
Il y aura une rencontre de l’OPP le 28 février prochain.
L’activité du 13 février (café et invitation à entrer dans la cour et l’école) a amené une vingtaine de parents. Marie-Hélène a l’impression que les invitations qui passent par les enfants sont plus efficaces que celles intégrées à l’info-parents.
Il y aura une soirée de la chanson francophone au mois d’avril. (L’OPP avait dit fin mars mais c’est trop vite.) On parle de recruter les parents artistes de l’école.
6.3 De la direction (19h45)
L’intimidation (situation à l’école)Johanne nous présente les activités qui ont lieu à l’école en prévention. Maternelle : ateliers d’habiletés sociales. Premier cycle : petits groupes d’élèves sélectionnés en ateliers pour travailler les habiletés sociales. En 5e année, on travaille les agressions indirectes (dont on ne connait pas la provenance) et la cyber-intimidation. Pour l’an prochain, on pense peut-être utiliser la vidéo que les 6e années produirons peut-être cette année. On s’interroge sur la pertinence d’inviter un policier éducateur pour en parler.
La campagne de vaccination contre la rougeole.Cette activité est reportée au 22 mars. Les vaccins seront tous faits en une seule journée. Les carnets de vaccination ont tous étés vérifiés par les infirmières, cela a réduit de beaucoup la quantité d’élèves à vacciner.
La qualité de l’air intérieurJohanne a fait une démarche auprès de son patron car elle avait des inquiétudes quant à la qualité de l’air dans l’école. L’équipe de la CSDM a décidé de fermer de façon préventive la classe de Christine (MD) dans laquelle il y avait déjà eu des infiltrations d’eau (vendredi le 24 février cette classe déménagera dans le local du SDG du pavillon de Normanville).
L’équipe de la CSDM investiguera la classe de Christine et les sous-sol des deux pavillons.
Le projet de chanson francophone d’ici et d’ailleurs et le spectacle de fin d’annéeC’est un projet à long terme avec une thématique. Dans ce cadre, Alexis et ses musiciens viendront à la fin de l’année pour faire un spectacle de survol de la chanson francophone (québécoise et française). En fait, le spectacle aura lieu en deux temps, maternelle et premier cycle, puis deuxième et troisième cycles. Le spectacle coute 1800 $. Les 1000 $ de financement proviendraient, avec l’accord des parents, de la ristourne photo. Les 800 $ restant proviendraient des surplus du fonds 4.
Proposé par Marie-Hélène Tremblay et appuyé par Frédéric Gouin.
Adoptée à l’unanimité.
HandballL’école a une équipe de handball (5e et 6e années) subventionnée par le programme Écoles en forme et en santé. La saison se termine avec les jeux de Montréal à la fin mars. Les entraineurs ont proposé de commencer à former cette année les élèves intéressés de quatrième année avec 7 entrainements du 18 avril au 30 mai 2012 et un tournoi en juin. Il en couterait 25 $ par élève. Nous avons besoin de 20 garçons et 20 filles. Une lettre sera envoyée à tous les enfants de quatrième année.
L’activité est proposée par Marie-Hélène Tremblay et appuyée par Christine Charles.
Adoptée à l’unanimité.
Photo scolaire (état de la situation)Au regard des nombreuses insatisfactions des parents et des enseignants quant à la qualité et au délai de livraison des photos de cette année, Geneviève est à la recherche d’une nouvelle entreprise qui prendra les photos scolaires l’an prochain. L’école voudrait une entreprise qui se sert d’internet et qui prend en charge les paiements et l’envoi des photos et commandes.
Projet de recherche en 6e annéeIl y aura un projet de recherche sur l’impact des cours d’anglais intensif. Madame Katrin Kedzo, étudiante à l’Université de Duisburg Essen en Allemagne, distribuera un questionnaire et une tâche d’écriture dans la classe de Madame Elena Martinez. Les résultats ne serviront qu’à compléter son mémoire et ne seront pas publiés.
Deux consultations (politique relative à la démocratie scolaire et projet de règlement sur la résolution des différends et sur le traitement des plaintes)Johanne nous présente les documents de consultation. Elle note beaucoup d’effets positifs du processus de consultation sur la rédaction de ces documents.
Le CÉ discute des documents. Nous avons quelques commentaires à transmettre au sujet de ces deux documents. Les commentaires seront transmis aux personnes concernées.
Varia
La transition vers les documents courriel est commencée : le prochain info-parents sera envoyé en version électronique aux parents qui l’ont signifié lors du sondage. .
L’école signera une convention de gestion de réussite éducative (CGRÉ) avec la CSDM. La CSDM injecte l’argent du plan Réussir à la réalisation de la CGRÉ dans les écoles.
6.4 De la présidence (21h05)
Éclairage cour d’école.
Il y avait un problème d’éclairage dans la cour. C’est réglé.
6.5 Du délégué(e) du CPR-Centre (21h07)
Deux principaux sujets ont été discutés au cours des dernières rencontres : les problèmes de recouvrement dans les services de garde et la qualité de l’air dans les écoles.
Levée de l’assemblée (21h10)
Proposée par Sonia Tremblay et appuyé par Julie Balthazar
L’école signera une convention de gestion de réussite éducative (CGRÉ) avec la CSDM. La CSDM injecte l’argent du plan Réussir à la réalisation de la CGRÉ dans les écoles.
6.4 De la présidence (21h05)
Éclairage cour d’école.
Il y avait un problème d’éclairage dans la cour. C’est réglé.
6.5 Du délégué(e) du CPR-Centre (21h07)
Deux principaux sujets ont été discutés au cours des dernières rencontres : les problèmes de recouvrement dans les services de garde et la qualité de l’air dans les écoles.
Levée de l’assemblée (21h10)
Proposée par Sonia Tremblay et appuyé par Julie Balthazar
Ordre du jour - Conseil d'établissement du 22 février 2012
ORDRE DU JOUR
Conseil d’établissement de l’école Saint-Ambroise
Le mercredi 22 février 2012
Sous réserve de son approbation par les membres
1. Vérification du quorum et ouverture de l’assemblée (19h00)
2. Adoption de l’ordre du jour (19h05)
3. Adoption du procès-verbal du mercredi 23 novembre (19h10)
4. Suites au procès-verbal (19h20)
4.1 Campagne de financement
5. Points de discussion, d’approbation ou d’adoption (19h30)
5.1 Approbation des sorties et activités incluant celles faites par courriel
5.2 Résolution pour l’utilisation des budgets de fonctionnement et de formation du CÉ : suggestions des enseignants
5.3 Ristourne photo (proposition d’utilisation)
6. Informations
6.1 Du service de garde (19h45)
6.2 De l’organisme de participation des parents (OPP) (19h55)
6.3 De la direction (20h05)
· L’intimidation (situation à l’école)
· La campagne de vaccination contre la rougeole
· La qualité de l’air intérieur
· Le projet de chanson francophone et spectacle de fin d’année
· Handball
· Photo scolaire (état de situation)
· Projet de recherche en 6e année
· Deux consultations (politique relative à la démocratie scolaire et projet de règlement sur la résolution des différends et sur le traitement des plaintes)
6.4 De la présidence (20h45)
· Éclairage cour d’école
6.5 Du délégué(e) du CPR-Centre (20h50)
7. Levée de l’assemblée (21h00)
17 février 2012
Avant le crime
Par Christian Rioux
Cette semaine, j'écoutais la ministre de l'Éducation du Québec, Line Beauchamp, défendre son projet d'enseignement intensif de l'anglais en sixième année. «Je pense qu'on amène du changement», disait-elle avant d'ajouter qu'elle trouvait «légitime de vouloir être fonctionnel [functional] dans une deuxième langue». La ministre n'en avait probablement pas conscience, mais en prononçant cette dernière phrase, elle utilisait un anglicisme. En effet, en français, si un meuble peut être fonctionnel, il peut être insultant d'appliquer ce mot à un individu. Celui-ci est plutôt habile, alerte, compétent, adroit ou même connaissant, comme dans la belle expression Ti-Jos Connaissant dont l'un de nos écrivains a fait un roman savoureux.Il n'est évidemment pas question de tenir rigueur à Mme Beauchamp d'une telle peccadille. Mais, cela m'incite à penser que notre ministre devrait y réfléchir à deux fois avant de s'engager plus à fond dans une réforme dont la nécessité n'a jamais été vraiment démontrée. Près d'un Québécois sur deux est déjà bilingue et toutes les études montrent que ce taux progresse sans qu'on ait le moindre effort à faire! Avons-nous conscience que l'anglais est sur le point de devenir, et de loin, la matière la plus importante du dernier cycle du primaire, loin devant le français, les mathématiques ou l'histoire? Avant de commettre l'irréparable, je suggérerais à la ministre de lire le livre que vient tout juste de publier à Paris le linguiste Claude Hagège et qui s'intitule Contre la pensée unique (Odile Jacob).
Il y a plusieurs années, j'avais interviewé ce fervent défenseur du multilinguisme et de l'enseignement des langues secondes au primaire. Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir que, s'agissant de l'anglais au Québec, ce polyglotte de plus de 70 ans estimait que le bilinguisme précoce était une aberration dans un pays où «l'évolution naturelle mène déjà à l'anglicisation».
Hagège affirmait que, chez les élèves les plus faibles et les immigrants, un enseignement trop tôt ou trop intensif de l'anglais risquait de développer «une double incompétence linguistique», amenant ainsi ces enfants à être «doublement marginaux». J'ose à peine imaginer ce qu'il dirait du projet mur à mur de Line Beauchamp qui, en plus de parachuter dans un univers anglophone des enfants déjà largement exposés à l'anglais dans leur voisinage, sinon à la télévision, par la culture pop et sur Internet, veut les priver de cours de français pendant la moitié de l'année.
Tout enseignant sait qu'un élève qui revient de deux mois de vacances a désappris une partie de ce qu'il avait acquis l'année précédente. Imaginons dans quel état seront ceux qui entreront au secondaire après avoir passé jusqu'à sept mois (cinq mois d'anglais plus deux mois de vacances) à ne rien faire dans les autres matières. Sans compter ce qu'ils n'auront jamais appris. Car, à qui fera-t-on croire que l'on peut faire en cinq mois le programme scolaire d'une année? La ministre ressemble à ces politiciens qui promettent l'équilibre fiscal, mais n'osent pas avouer dans quels services ils vont couper.
N'ayons pas peur de le dire. À cause de la situation précaire du Québec en Amérique du Nord, la langue des enfants de 6e est souvent incertaine et approximative. La faiblesse de leur vocabulaire est flagrante comparativement à celui des élèves de la plupart des autres pays francophones. Après six mois d'anglais intensif, nombre de ces enfants qui arrivent déjà au secondaire dans un état de fragilité y entreront avec tout un nouveau bagage d'anglicismes et de faux-amis. Claude Hagège l'a mainte fois expliqué. L'anglais et le français ont cette particularité de partager des milliers de mots qui s'écrivent pratiquement de la même façon mais qui ne veulent pas dire la même chose. On n'a qu'à écouter nos députés à Ottawa ou ces sportifs qui baignent quotidiennement dans l'anglais, pour deviner à quel français médiocre nous condamnons ainsi nos enfants.
Si elle lisait le livre de Claude Hagège, notre ministre de l'Éducation comprendrait aussi comment, en pénétrant insidieusement la langue française, les mots et expressions anglais y introduisent un certain nombre d'idées et de concepts qui sont, comme par hasard, ceux du monde anglo-américain. Ce n'est pas un hasard si l'anglais accepte qu'un individu soit «fonctionnel», mais pas le français. Le livre foisonne d'exemples qui montrent qu'une langue est une façon de percevoir le monde et comment, d'anglicismes en calques grossiers, nous finissons par parler un jargon indigent, sans nuances, qui n'a plus que l'apparence du français. Une langue dont l'esprit s'est envolé. Ceux qui en veulent un exemple n'ont qu'à lire les torchons, écrits dans une langue abâtardie évidemment traduite de l'anglais, que le club Le Canadien distribue impunément dans nos écoles.
Cette réforme est éminemment symptomatique de la fatigue culturelle des Québécois. Faire de l'anglais la matière unique de ce moment charnière entre le primaire et le secondaire, c'est indiquer sans détour que les «vraies affaires», celles des adultes «fonctionnels», se font et se feront en anglais.
Cette semaine, j'écoutais la ministre de l'Éducation du Québec, Line Beauchamp, défendre son projet d'enseignement intensif de l'anglais en sixième année. «Je pense qu'on amène du changement», disait-elle avant d'ajouter qu'elle trouvait «légitime de vouloir être fonctionnel [functional] dans une deuxième langue». La ministre n'en avait probablement pas conscience, mais en prononçant cette dernière phrase, elle utilisait un anglicisme. En effet, en français, si un meuble peut être fonctionnel, il peut être insultant d'appliquer ce mot à un individu. Celui-ci est plutôt habile, alerte, compétent, adroit ou même connaissant, comme dans la belle expression Ti-Jos Connaissant dont l'un de nos écrivains a fait un roman savoureux.Il n'est évidemment pas question de tenir rigueur à Mme Beauchamp d'une telle peccadille. Mais, cela m'incite à penser que notre ministre devrait y réfléchir à deux fois avant de s'engager plus à fond dans une réforme dont la nécessité n'a jamais été vraiment démontrée. Près d'un Québécois sur deux est déjà bilingue et toutes les études montrent que ce taux progresse sans qu'on ait le moindre effort à faire! Avons-nous conscience que l'anglais est sur le point de devenir, et de loin, la matière la plus importante du dernier cycle du primaire, loin devant le français, les mathématiques ou l'histoire? Avant de commettre l'irréparable, je suggérerais à la ministre de lire le livre que vient tout juste de publier à Paris le linguiste Claude Hagège et qui s'intitule Contre la pensée unique (Odile Jacob).
Il y a plusieurs années, j'avais interviewé ce fervent défenseur du multilinguisme et de l'enseignement des langues secondes au primaire. Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir que, s'agissant de l'anglais au Québec, ce polyglotte de plus de 70 ans estimait que le bilinguisme précoce était une aberration dans un pays où «l'évolution naturelle mène déjà à l'anglicisation».
Hagège affirmait que, chez les élèves les plus faibles et les immigrants, un enseignement trop tôt ou trop intensif de l'anglais risquait de développer «une double incompétence linguistique», amenant ainsi ces enfants à être «doublement marginaux». J'ose à peine imaginer ce qu'il dirait du projet mur à mur de Line Beauchamp qui, en plus de parachuter dans un univers anglophone des enfants déjà largement exposés à l'anglais dans leur voisinage, sinon à la télévision, par la culture pop et sur Internet, veut les priver de cours de français pendant la moitié de l'année.
Tout enseignant sait qu'un élève qui revient de deux mois de vacances a désappris une partie de ce qu'il avait acquis l'année précédente. Imaginons dans quel état seront ceux qui entreront au secondaire après avoir passé jusqu'à sept mois (cinq mois d'anglais plus deux mois de vacances) à ne rien faire dans les autres matières. Sans compter ce qu'ils n'auront jamais appris. Car, à qui fera-t-on croire que l'on peut faire en cinq mois le programme scolaire d'une année? La ministre ressemble à ces politiciens qui promettent l'équilibre fiscal, mais n'osent pas avouer dans quels services ils vont couper.
N'ayons pas peur de le dire. À cause de la situation précaire du Québec en Amérique du Nord, la langue des enfants de 6e est souvent incertaine et approximative. La faiblesse de leur vocabulaire est flagrante comparativement à celui des élèves de la plupart des autres pays francophones. Après six mois d'anglais intensif, nombre de ces enfants qui arrivent déjà au secondaire dans un état de fragilité y entreront avec tout un nouveau bagage d'anglicismes et de faux-amis. Claude Hagège l'a mainte fois expliqué. L'anglais et le français ont cette particularité de partager des milliers de mots qui s'écrivent pratiquement de la même façon mais qui ne veulent pas dire la même chose. On n'a qu'à écouter nos députés à Ottawa ou ces sportifs qui baignent quotidiennement dans l'anglais, pour deviner à quel français médiocre nous condamnons ainsi nos enfants.
Si elle lisait le livre de Claude Hagège, notre ministre de l'Éducation comprendrait aussi comment, en pénétrant insidieusement la langue française, les mots et expressions anglais y introduisent un certain nombre d'idées et de concepts qui sont, comme par hasard, ceux du monde anglo-américain. Ce n'est pas un hasard si l'anglais accepte qu'un individu soit «fonctionnel», mais pas le français. Le livre foisonne d'exemples qui montrent qu'une langue est une façon de percevoir le monde et comment, d'anglicismes en calques grossiers, nous finissons par parler un jargon indigent, sans nuances, qui n'a plus que l'apparence du français. Une langue dont l'esprit s'est envolé. Ceux qui en veulent un exemple n'ont qu'à lire les torchons, écrits dans une langue abâtardie évidemment traduite de l'anglais, que le club Le Canadien distribue impunément dans nos écoles.
Cette réforme est éminemment symptomatique de la fatigue culturelle des Québécois. Faire de l'anglais la matière unique de ce moment charnière entre le primaire et le secondaire, c'est indiquer sans détour que les «vraies affaires», celles des adultes «fonctionnels», se font et se feront en anglais.
15 février 2012
Dire oui plus souvent!
Dire oui plus souvent!
Louise Poulin, conseillère ASGEMSQ
Tiré du Feuillet pédagogique d’octobre 2011
Ma collègue m’a parlé récemment d’un tout petit truc d’intervention fort simple, et très efficace, mais qui demande un bel effort mental. Ai-je piqué votre curiosité?
Pour diminuer le nombre d’interventions, elle suggère de faire une liste des demandes auxquelles on dit généralement « NON » et tenter de répondre par « OUI, SI… ».
Voici quelques exemples :
Je me suis alors mise à analyser silencieusement l’impact de mon OUI : je n’avais pas balayé sa question par un NON catégorique, j’avais écouté, j’avais acquiescé à sa demande, mais en mettant une condition qui faisait bien du sens. Et ça avait changé toute la dynamique de la conversation. Elle n’était pas froissée et la tenue du party dépendait de sa décision, de son implication.
Je vous invite donc à essayer de dire OUI plus souvent, même si la mode actuelle est d’apprendre à dire NON.
Et pour aller plus loin, je joins quelques extraits d’un article sur le même sujet :
Et si nous disions OUI plus souvent?
Par réflexe, par peur de la nouveauté ou d’échouer, et parce qu’on a parfois une idée préconçue de nous-mêmes ou de certaines choses, on dit NON… alors qu’on gagnerait peut-être à essayer. On a tendance à trouver toutes sortes d’arguments pour éviter certaines situations, certaines décisions ou simplement pour éviter de sortir de sa zone de confort… que ce soit dans sa carrière ou dans sa vie en général.
Nous ne nous rendons pas toujours compte que nous sommes bien dans notre univers connu et que c’est simplement l’habitude qui nous pousse à fermer la porte avant même d’avoir essayé. Ou une expérience passée nous a amenés à coller une étiquette à quelque chose. Ça peut sembler anodin – mais à faire ça pendant des années, nous créons des barrières invisibles. Nous nous cloisonnons dans une définition de nous-mêmes que nous ne nous donnons même pas la chance de réinventer. Nous nous empêchons nous-mêmes de nous découvrir de nouveaux talents, de nouveaux goûts et de nouvelles passions.
Alors, aujourd’hui, répondrez-vous OUI à cette invitation?
Pendant la prochaine année, je dirai OUI à 30 choses auxquelles j’aurais habituellement dit NON!
J’arrive à l’école, à la maison et au bureau avec l’esprit ouvert, le jugement moins rapide et une curiosité renouvelée. Je vais peut-être me jumeler à un collègue que je connais moins, offrir mon soutien à l’école, donner mon opinion en réunion, aller saluer un membre du personnel différent chaque jour, faire de la peinture aux doigts avec mes enfants, etc.
Vous n’avez pas besoin de prévoir les 30 items, ni l’ordre dans lequel vous leur donnerez leur « chance ». Plutôt, gardez tout ça en tête, surveillez les opportunités et adoptez l’attitude « Oui à la nouveauté » toute l’année.
Allez-y, pratiquez-vous. Dites-le haut et fort : OUI, OUI, OUI!
Tiré du Feuillet pédagogique d’octobre 2011
Ma collègue m’a parlé récemment d’un tout petit truc d’intervention fort simple, et très efficace, mais qui demande un bel effort mental. Ai-je piqué votre curiosité?
Pour diminuer le nombre d’interventions, elle suggère de faire une liste des demandes auxquelles on dit généralement « NON » et tenter de répondre par « OUI, SI… ».
Voici quelques exemples :
Question d’enfant: On peut faire jouer la radio?Pour m’amuser, je l’ai essayé avec mon enfant en fin de semaine :
Réponse négative: Non, ça va déranger, ça va faire trop de bruit.
Suggestion de réponse positive: Oui, si on ne parle pas trop fort.
Question d’enfant: Puis-je aller à la toilette?
Réponse négative: Non, pas maintenant.
Suggestion de réponse positive: Oui, quand tu auras fini de dîner.
Question d’enfant: Peut-on aller à La Ronde?
Réponse négative: Non, ça coûte trop cher.
Suggestion de réponse positive Oui, si on trouve une façon de ramasser l’argent nécessaire.
« Maman, est-ce que je peux faire un party d’Halloween? »Et à ma grande surprise, au lieu de se braquer devant mon NON habituel et prendre son air d’ado frustrée, elle a répondu sarcastique : « Ben là, j’suis mieux de commencer tout de suite ou… de demander à Laurence de le faire avec moi ou… on va le faire carrément ailleurs. » Puis, elle a continué son devoir comme si de rien n’était. Je n’en revenais pas!
(Ce n’est pas encore naturel et j’avais en tête leur dernier party) :
« NNOOOOUII, si tu fais le ménage des pièces de la maison que vous allez utiliser avant et après. »
Je me suis alors mise à analyser silencieusement l’impact de mon OUI : je n’avais pas balayé sa question par un NON catégorique, j’avais écouté, j’avais acquiescé à sa demande, mais en mettant une condition qui faisait bien du sens. Et ça avait changé toute la dynamique de la conversation. Elle n’était pas froissée et la tenue du party dépendait de sa décision, de son implication.
Je vous invite donc à essayer de dire OUI plus souvent, même si la mode actuelle est d’apprendre à dire NON.
Et pour aller plus loin, je joins quelques extraits d’un article sur le même sujet :
Et si nous disions OUI plus souvent?
Par réflexe, par peur de la nouveauté ou d’échouer, et parce qu’on a parfois une idée préconçue de nous-mêmes ou de certaines choses, on dit NON… alors qu’on gagnerait peut-être à essayer. On a tendance à trouver toutes sortes d’arguments pour éviter certaines situations, certaines décisions ou simplement pour éviter de sortir de sa zone de confort… que ce soit dans sa carrière ou dans sa vie en général.
Nous ne nous rendons pas toujours compte que nous sommes bien dans notre univers connu et que c’est simplement l’habitude qui nous pousse à fermer la porte avant même d’avoir essayé. Ou une expérience passée nous a amenés à coller une étiquette à quelque chose. Ça peut sembler anodin – mais à faire ça pendant des années, nous créons des barrières invisibles. Nous nous cloisonnons dans une définition de nous-mêmes que nous ne nous donnons même pas la chance de réinventer. Nous nous empêchons nous-mêmes de nous découvrir de nouveaux talents, de nouveaux goûts et de nouvelles passions.
Alors, aujourd’hui, répondrez-vous OUI à cette invitation?
Pendant la prochaine année, je dirai OUI à 30 choses auxquelles j’aurais habituellement dit NON!
J’arrive à l’école, à la maison et au bureau avec l’esprit ouvert, le jugement moins rapide et une curiosité renouvelée. Je vais peut-être me jumeler à un collègue que je connais moins, offrir mon soutien à l’école, donner mon opinion en réunion, aller saluer un membre du personnel différent chaque jour, faire de la peinture aux doigts avec mes enfants, etc.
Vous n’avez pas besoin de prévoir les 30 items, ni l’ordre dans lequel vous leur donnerez leur « chance ». Plutôt, gardez tout ça en tête, surveillez les opportunités et adoptez l’attitude « Oui à la nouveauté » toute l’année.
Allez-y, pratiquez-vous. Dites-le haut et fort : OUI, OUI, OUI!
14 février 2012
Enseignement intensif de l’anglais : Pour une implantation harmonieuse et respectueuse des milieux
La Fédération des comités de parents du Québec (FCPQ) est en faveur de l’implantation de l’anglais intensif, mais insiste sur l’importance de respecter les réalités et les contextes propres à chaque milieu. «Les parents font part de préoccupations majeures. L’anglais intensif, oui, mais il est absolument nécessaire que sa mise en oeuvre soit harmonieuse», déclare M. Gaston Rioux, président de la FCPQ.
Pour y arriver, la Fédération insiste sur trois conditions gagnantes:
1- Respect des besoins des milieux
Pour M. Rioux, il est « primordial de respecter les besoins des milieux. Pour nous, c’est fondamental. Ça veut dire qu’il faut faire preuve d’ouverture et se donner le temps de faire les choses. » Pour y arriver, la FCPQ fait une proposition : Que le réseau réalise un bilan national d’implantation, à la troisième année, permettant la diffusion des bonnes pratiques et la mise en place de mesures d’ajustement nécessaires à la réussite des élèves.
« Certains milieux feront l’implantation de l’anglais intensif en 5 ans, d’autres plus rapidement tandis que certains auront besoin de plus de temps, explique M. Rioux. Mais au bout de 3 ans, prenons la photo. Analysons la situation et ajustons le plan de match, le cas échéant! Ce qui compte, c’est de permettre aux milieux de préparer convenablement le terrain pour que l’opération soit un succès ».
2- Souplesse dans le modèle
« Certains milieux feront l’implantation de l’anglais intensif en 5 ans, d’autres plus rapidement tandis que certains auront besoin de plus de temps, explique M. Rioux. Mais au bout de 3 ans, prenons la photo. Analysons la situation et ajustons le plan de match, le cas échéant! Ce qui compte, c’est de permettre aux milieux de préparer convenablement le terrain pour que l’opération soit un succès ».
2- Souplesse dans le modèle
Pour les parents, il est nécessaire de faire preuve de souplesse pour le modèle retenu. Par exemple, en ce qui concerne le nombre d’heures d’enseignement de l’anglais, est-ce que ce sera 400 heures, 350 ou plutôt 300? « Il faut permettre cette souplesse, croit M. Rioux. Il en va de même pour le modèle : est-ce qu’on choisit 5 mois intensifs, ou chaque matinée consacrée à l’anglais ou un modèle de tiers/temps? Le fait-on en 5e ou en 6e année? Encore ici, nous estimons qu’il appartient à chaque milieu de déterminer la formule qui lui convient. L’expérience nous démontre qu’un modèle retenu peut même évoluer dans le temps, année après année ».
3- Respect des élèves avec des besoins particuliers
3- Respect des élèves avec des besoins particuliers
Pour respecter les élèves avec des besoins particuliers, le plan d’intervention s’avère l’outil tout désigné. Aussi, pour favoriser l’implantation harmonieuse de l’anglais intensif, les parents estiment essentiel que les mesures, ressources et moyens nécessaires à la réussite des élèves ayant des besoins particuliers soient présents dans les plans d’intervention. « Il faut que les parents aient l’assurance que l’on se donnera les moyens de nos ambitions. Car, la priorité absolue, c’est d’assurer la réussite de l’élève en répondant à ses besoins », résume M. Rioux.
L’expérience « terrain » des parents
L’expérience « terrain » des parents
La recherche est claire quant aux bénéfices associés à l’enseignement intensif de l’anglais. Ce programme scolaire a fait ses preuves. « On l’a testé au cours des 30 dernières années. Il y a eu des études, des rapports, et de beaux succès. Songez à ce qui se fait depuis des années au Lac-Saint-Jean!», souligne le président de la FCPQ.
Plus important encore, les parents rappellent toute leur expérience « terrain », développée au cours des dernières décennies. L’anglais intensif n’est pas nouveau au Québec. Onestime qu’environ 12% des classes des écoles offrent le programme. Il faut savoir que l’anglais intensif est une demande régulièrement formulée par les parents, depuis longtemps. « La plupart des milieux qui l’ont implanté l’ont justement fait à la suite des demandes des parents. Voilà pourquoi j’insiste sur notre connaissance pratique du dossier. »
Une impression de déjà-vu
Plus important encore, les parents rappellent toute leur expérience « terrain », développée au cours des dernières décennies. L’anglais intensif n’est pas nouveau au Québec. Onestime qu’environ 12% des classes des écoles offrent le programme. Il faut savoir que l’anglais intensif est une demande régulièrement formulée par les parents, depuis longtemps. « La plupart des milieux qui l’ont implanté l’ont justement fait à la suite des demandes des parents. Voilà pourquoi j’insiste sur notre connaissance pratique du dossier. »
Une impression de déjà-vu
La raison pour laquelle les parents mettent de l’avant ces pistes de solutions et croient qu’elles sont essentielles à la réussite de l’entreprise est qu’ils ont encore frais en mémoire ce qui s’est passé lors de l’implantation de la Réforme de l’éducation.
« Nous nous sommes retrouvés coincés entre l’arbre et l’écorce, pris en otage, entre les uns et les autres, se souvient Gaston Rioux. Or, nous ne voulons pas rejouer dans ce film. Ce que nous savons, c’est que les parents souhaitent l’implantation harmonieuse de l’anglais intensif. Alors, il est de notre devoir de s’y atteler avec sérieux et ouverture, tous ensemble, dès maintenant. Nos enfants n’ont pas à payer pour les ratés observés dans le passé. »
Dans l’intérêt de nos enfants
« Nous nous sommes retrouvés coincés entre l’arbre et l’écorce, pris en otage, entre les uns et les autres, se souvient Gaston Rioux. Or, nous ne voulons pas rejouer dans ce film. Ce que nous savons, c’est que les parents souhaitent l’implantation harmonieuse de l’anglais intensif. Alors, il est de notre devoir de s’y atteler avec sérieux et ouverture, tous ensemble, dès maintenant. Nos enfants n’ont pas à payer pour les ratés observés dans le passé. »
Dans l’intérêt de nos enfants
Cette position, rendue publique aujourd’hui, résume les propos exprimés par les parents lors d’un récent conseil général regroupant des parents de tout le Québec et d’un forum de parents ayant des EHDAA, provenant également de toutes les régions. Ils ont également été consultés, via un sondage, afin de connaître et préciser l’ensemble de leurs préoccupations.
Cependant, la FCPQ ne se contente pas d’en faire état. Elle tient également à mettre de l’avant des solutions. « Les défis sont réels. Importants. Mais, nous croyons que si nos trois conditions gagnantes sont remplies, il n’y a aucune raison de croire que c’est mission impossible. Après tout, c’est dans l’intérêt de nos enfants », conclut M. Rioux.
Cependant, la FCPQ ne se contente pas d’en faire état. Elle tient également à mettre de l’avant des solutions. « Les défis sont réels. Importants. Mais, nous croyons que si nos trois conditions gagnantes sont remplies, il n’y a aucune raison de croire que c’est mission impossible. Après tout, c’est dans l’intérêt de nos enfants », conclut M. Rioux.
13 février 2012
CPR-Centre - PV de la réunion du 13 février 2012
COMPTE RENDU DE LA RÉUNION RÉGULIÈRE
TENUE LE 13 FÉVRIER 2012
AU CENTRE ADMINISTRATIF DE LA CSDM
Appel des membres : D = Délégué S = Substitut P = Président O = Observateur
Abs = Absence Abs-M = Absence motivée
X = pas de délégué, ne compte pas dans le quorum
Quartier 5 :
Académie de Roberval Anne Gillespie D
Georges-Vanier Mark Hird D
Hélène-Boullé Martin Lefrançois D
Lucien-Pagé Pas de délégué X
Marie-Favery Annie Pontbriand Abs
Saint-Barthélemy Virginie Wenglenski D et P
Saint-Gabriel-Lalemant Pas de délégué X
Saint-Gérard Parents à tour de rôle Abs
Saint-Grégoire-le-Grand Julie McKenzie Abs
Sainte-Cécile Marie-Ève Tousignant Abs
Édith Laperle Abs
Quartier 6 :
Barclay Mor BA Abs
Barthélemy-Vimont Omar Ben Youssef Abs
Camille-Laurin Pas de délégué X
Quartier 7 :
La Mennais Stéphane Marcouiller D
La Petite-Patrie Cathy Morrissette Abs
Robin Long Abs
Madeleine-de-Verchères Rémi Leroux Abs
Père-Marquette Lynda Laurencelle D
Saint-Ambroise Frédéric Gouin D
Saint-Arsène Éric Fortin Abs-M
Saint-Étienne Claude-Sébastien Jean Abs-M
Quartier 8 :
Alphonse-Desjardins Nathalie Éthier Abs
Marguerite-de Lajemmerais Pas de CÉ X
Marie-Rollet Nathalie Khayat Abs
Notre-Dame-du-Foyer Geneviève Beauregard Abs
Rose-des-Vents Caroline Nadon Abs
Saint-Albert-le-Grand Sophie Panneton Abs-M
Saint-Émile Pas de délégué X
Saint-François-Solano Diego Gallego D
Saint-Jean-de-Brébeuf Pas de délégué X
Saint-Jean-de-la-Lande Michel Ouellet Abs-M
Saint-Jean-Vianney Joëlle Simard Abs
Saint-Marc Florence Ardanuy D
Sainte-Bernadette-Soubirous Rachid Berki Abs
Sainte-Bibiane Parents à tour de rôle Abs
Sans-Frontières Guylène Dhormes D
Conseils d'établissement représentés : 29
Conseils d’établissement sans délégué : 6
10 parents présents représentants 10 écoles : soit 10/29 35%
Invité: Monsieur Maurice Lachance, directeur du réseau Centre
Secrétaire : Diane Roy
Compte rendu de la réunion générale du 13 février 2012
1. Ouverture de la réunion et mot de bienvenue.
Lynda Laurencelle, la présidente souhaite la bienvenue à tous.
L’ouverture de la réunion débute à 19h35.
Mme Laurencelle constate qu’il n’y a pas quorum, ce sera donc une rencontre d’information
2. Dépôt de l’ordre du jour.
1. Mot de bienvenue
2. Dépôt de l’ordre du jour
3. Dépôt du procès-verbal du 12 décembre 2011 (à noter que la réunion du 16 janvier 2012 a été annulée) et suivis
4. Mot de M. Maurice Lachance, directeur du réseau Centre
4.1 Politique relative à l’initiation des élèves à la démocratie scolaire
4.2 Qualité de l’air intérieur dans les écoles
4.3 Déclaration de principes sur le civisme et l’éthique à la CSDM
4.4 Semaine de la persévérance scolaire
5. Mot des commissaires présents
PAUSE SANTÉ
6. Mot de la présidente du CPR-Centre, Lynda Laurencelle
6.1 Consultation sur le projet de politique relative à l’initiation des élèves à la démocratie scolaire
6.2 Présentation du projet de règlement sur la résolution des différends et le traitement des plaintes
6.3 Correspondance (conférence pour parents : Jeudi 1er mars, école Lucien-Pagé)
6.4 Information du Comité central des parents
6.4.1 Prix Implic-action
6.4.2 Recensement des bénévoles
6.4.3 Sondage « anglais intensif »
6.5 Fédération des comités de parents du Québec (Information sur la planification stratégique pour les 5 prochaines années)
7. M. Mark Hird représentant (école Georges-Vanier) veut des informations concernant la location des salles dans les écoles
Mme Guylène Dhormes, représentante (école Sans-Frontières) veut des informations sur le fait qu’en cas d’absence d’un concierge, de la secrétaire de l’école ou d’une TES, c’est à l’école d’assumer le salaire du personnel de remplacement.
Question sur les services de garde
8. Tour de table (si le temps le permet)
9. Avis de proposition
10. Divers
11. Parole aux observateurs
12. Levée de la réunion
3. Dépôt du procès-verbal du 12 décembre 2011
Le procès-verbal du 12 décembre 2011 est déposé.
4. Mot de Maurice Lachance, directeur du réseau Centre
4.1 Politique relative à l’initiation des élèves à la démocratie scolaire
C’est en décembre 2006 que le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport du Québec a modifié la Loi sur l’instruction publique (LIP) en ajoutant un article relatif à la démocratie scolaire (LIP, article 211.1). Ce nouvel article se lit comme suit : « sous réserve des orientations que peut établir le ministre, la commission scolaire adopte une politique relative à l’initiation des élèves à la démocratie scolaire prévoyant notamment une forme de représentation des élèves auprès du conseil des commissaires.
Dans certaines écoles, il y a déjà des conseils de coopération qui ont été expérimentés. Mais avec la nouvelle politique qui sera en vigueur en juin 2012, ce sera l’ensemble des établissements de la CSDM qui devront s’approprier les règles de la démocratie scolaire.
M. Lachance mentionne que les membres des conseils d’établissement (CÉ) seront consultés aussi. Certains membres ont déjà eu leur réunion de CÉ et effectivement ils ont eu à répondre à un petit questionnaire. Plusieurs pensaient que la politique était déjà adoptée. C’est pour cela qu’ils n’ont pas trop analysé le document. Ils trouvaient que la documentation n’était pas claire et que la plupart des questions étaient trop pointues.
En général les parents sont en faveur de cette politique (en soulignant que personne n’est contre la vertu !).
4.2 Qualité de l’air intérieur dans les écoles
Suite à la fermeture de l’école Saint-Gérard et de problèmes survenus à l’école Hochelaga, la CSDM avec la direction de la Santé publique de Montréal va établir, d’ici la mi-mars, une liste d’écoles qui seront inspectées prioritairement quant à la qualité de l’air intérieur.
Plusieurs façons de faire seront revues, entre autres, celles des concierges. Certaines pratiques, comme le lavage à grande eau des planchers, seront sûrement changées pour contrer l’infiltration de moisissures dans certaines parties des locaux.
Les élèves de l’école St-Gérard sont actuellement hébergés temporairement au Cégep Ahuntsic. La CSDM est en train d’aménager des locaux à l’intérieur de l’école secondaire Georges-Vanier, dont les locaux qui étaient utilisés par le réseau Centre, pour y installer le personnel et les élèves de l’école St-Gérard. C’est la raison pour laquelle le réseau Centre a dû déménager rapidement et est maintenant (en partie) au siège administratif de la CSDM.
L’école Georges-Vanier a la capacité d’accueillir au moins 2 000 élèves et n’en a que 1 200 actuellement. L’école avait donc de la place pour y héberger une école primaire.
M. Lachance rappelle aux membres qu’il est important d’être à l’affut de certains signes qui permettent d’avoir des doutes sur la qualité de l’air intérieur dans l’école. Pour poser des questions sur l’état de leur établissement ou partager leurs inquiétudes, les parents d’élèves qui fréquentent les écoles de la CSDM peuvent parler à leur direction, composer le 514 596-CSDM, la ligne téléphonique pour les parents, du lundi au jeudi de 11 h à 15 h, ou joindre leur commissaire scolaire au 514 596-7541 ou par courriel en accédant au site Web de la CSDM, au
www.csdm.qc.ca/commissaires. Les membres du personnel sont invités à communiquer avec la direction de leur établissement.
4.3 Déclaration de principes sur le civisme et l’éthique à la CSDM
M. Lachance invite les membres à prendre connaissance de la déclaration de principes sur le civisme et l’éthique à la CSDM qui vient d’être adoptée par le Conseil des commissaires.
La secrétaire, Diane Roy, la fera parvenir à tous les délégués par courrier électronique.
À la prochaine rencontre du mois de mars, on pourra voir plus en détail ces différents principes.
4.4 Semaine de la persévérance scolaire
Un ruban blanc et vert est distribué aux délégués. C’est le symbole adopté par les organisateurs de cette semaine thématique pour souligner l’adhésion de tous aux efforts liés à la persévérance scolaire.
Les délégués sont invités à se rendre sur le site du Réseau réussite Montréal pour avoir plus de détails sur les différentes initiatives proposées.
http://www.reseaureussitemontreal.ca
5. Mot des commissaires présents
Aucun commissaire présent.
Le commissaire Kenneth George qui comptait venir vers 21h45 a été averti de ne pas se rendre, puisque la rencontre s’est terminée plus tôt.
6. Mot de la présidente du CPR-Centre
6.1 Consultation sur le projet de politique relative à l’initiation des élèves à la démocratie scolaire.
Ce point a été fait avec M. Lachance à 4.1
6.2 Présentation du projet de règlement sur la résolution des différends et le traitement des plaintes.
Mme Lynda Laurencelle explique que ce dossier sera présenté par la secrétaire générale de la CSDM, Me France Pedneault, lors de la réunion du Comité central des parents de mardi prochain, le 21 février. Les délégués de tous les comités de parents de réseau sont invités à venir à cette rencontre de consultation, à 19h30 au 3737, rue Sherbrooke Est, Montréal.
6.3 Correspondance
Conférence pour parents : Le passage primaire/secondaire
De grand du primaire à petit au secondaire…Ce n’est pas le monde à l’envers….
Date : 1er mars 2012, de 19 H 00 à 21 H 30
Lieu: École Lucien-Pagé, 8200, boulevard Saint-Laurent, Montréal H2P 2L8
Intervenant: Louis Bienvenue
6.4 Information du Comité central des parents
6.4.1 Prix Implic-action
C’est un prix pour souligner et valoriser l’implication et la qualité du bénévolat d’un parent de la structure parentale (OPP, CÉ, CPR, CCP). Les candidatures doivent être acheminées à Annick Rocheleau au plus tard le 2 mars 2012 à 13h.
6.4.2 Recensement des bénévoles
Votre direction d’école a jusqu’au 24 février pour mettre à jour la liste des bénévoles de votre école.
Chaque année, la CSDM organise une réception à laquelle sont conviés les bénévoles ayant 5, 10, 15 et 20 ans et plus de bénévolat à leur actif.
C’est lors de cette soirée que sont remis les prix Gérardine-Bissonnette, Merci et Implic-action.
6.4.3 Sondage « anglais intensif »
Le comité central des parents prépare un sondage sur l’enseignement de l’anglais intensif.
6.5 Fédération des comités de parents du Québec (FCPQ)
La FCPQ entreprend sa planification stratégique pour les 5 prochaines années. Elle demande à ses membres, les comités de parents de chacune des commissions scolaires d’identifier des enjeux auxquels il faudra répondre.
Mme Laurencelle suggère aux membres présents de lui faire parvenir par courriel leurs suggestions.
7. Demandes d’information
· M. Mark Hird représentant (école Georges-Vanier) veut des informations concernant la location des salles dans les écoles
M. Lachance nous informe que même s’il est dit, à l’article 93 de la LIP, que « le conseil d’établissement approuve l’utilisation des locaux ou immeubles mis à la disposition de l’école proposée par le directeur… » Au sens de la loi, l’école n’est pas à proprement parler la bâtisse elle-même mais un établissement scolaire (art. 36). Elle a une mission éducative et aussi une vocation communautaire étant appelée à « collaborer au développement social et culturel de la communauté » (art.36)
La location des salles dans les écoles a été centralisée à la CSDM. Les revenus de location reviennent à la CSDM. La commission scolaire redistribue certaines sommes d’argent pour payer les frais encourus par les écoles (produits d’entretien, concierge).
· Mme Guylène Dhormes, représentante (école Sans-Frontières) veut des informations sur le fait qu’en cas d’absence d’un concierge, de la secrétaire de l’école ou d’une TES, c’est à l’école d’assumer le salaire du personnel de remplacement. M. Lachance confirme que c’est à l’école de payer le salaire d’un remplaçant pour ces catégories d’emploi. Chaque réseau a un montant d’environ 150 000 $ pour couvrir les frais en cas d’absentéisme. Le réseau Centre a réussi à éponger près de 75% des déficits de ses écoles.
· Mme Dhormes voudrait attirer l’attention des membres sur le fait que, maintenant, les services de garde n’acceptent plus les frais impayés. Elle fait remarquer que pendant plusieurs années, la CSDM a fait preuve de laxisme dans ce dossier et que maintenant, il y a de l’intransigeance. Il faudrait plus de discernement pour ne pas pénaliser des familles en difficulté mais qui pourraient prendre des arrangements pour payer leurs frais de garde.
8. Tour de table
Il n’y a pas de tour de table
9. Avis de proposition
Aucun avis n’est déposé.
10. Divers
Pas de point soulevé
11. Parole aux observateurs
Pas d’observateurs
12. Levée de l’assemblée
La levée de l’assemblée est faite à 21h15
Loi du l’instruction publique
36. L'école est un établissement d'enseignement destiné à dispenser aux personnes visées à l'article 1 les services éducatifs prévus par la présente loi et le régime pédagogique établi par le gouvernement en vertu de l'article 447 et à collaborer au développement social et culturel de la communauté. Elle doit, notamment, faciliter le cheminement spirituel de l'élève afin de favoriser son épanouissement.
Elle a pour mission, dans le respect du principe de l'égalité des chances, d'instruire, de socialiser et de qualifier les élèves, tout en les rendant aptes à entreprendre et à réussir un parcours scolaire.
Elle réalise cette mission dans le cadre d'un projet éducatif mis en oeuvre par un plan de réussite.
93. Le conseil d'établissement approuve l'utilisation des locaux ou immeubles mis à la disposition de l'école proposée par le directeur de l'école, sous réserve des obligations imposées par la loi pour l'utilisation des locaux de l'école à des fins électorales et des ententes d'utilisation conclues par la commission scolaire avant la délivrance de l'acte d'établissement de l'école.
Toute entente du conseil d'établissement pour l'utilisation des locaux ou immeubles mis à la disposition de l'école doit être préalablement autorisée par la commission scolaire si l'entente est faite pour plus d'un an.
Le conseil d'établissement approuve l'organisation par la commission scolaire, dans les locaux de l'école, de services qu'elle fournit à des fins culturelles, sociales, sportives, scientifiques ou communautaires.
266. La commission scolaire a pour fonctions:
1° d'acquérir ou de prendre en location les biens requis pour l'exercice de ses activités et de celles de ses établissements d'enseignement, y compris accepter gratuitement des biens;
2° de construire, réparer ou entretenir ses biens;
3° de déterminer l'utilisation de ses biens et de les administrer, sous réserve du droit de ses établissements d'enseignement à l'utilisation des biens mis à leur disposition;
4° de favoriser l'utilisation de ses immeubles par les organismes publics ou communautaires de son territoire ou de donner en location ses meubles et ses immeubles, sous réserve du droit de ses établissements d'enseignement à l'utilisation des locaux ou immeubles mis à leur disposition.
Une commission scolaire peut être propriétaire ou locataire de locaux ou d'immeubles situés en dehors des limites de son territoire.
Le procès-verbal du 12 décembre 2011 est déposé.
4. Mot de Maurice Lachance, directeur du réseau Centre
4.1 Politique relative à l’initiation des élèves à la démocratie scolaire
C’est en décembre 2006 que le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport du Québec a modifié la Loi sur l’instruction publique (LIP) en ajoutant un article relatif à la démocratie scolaire (LIP, article 211.1). Ce nouvel article se lit comme suit : « sous réserve des orientations que peut établir le ministre, la commission scolaire adopte une politique relative à l’initiation des élèves à la démocratie scolaire prévoyant notamment une forme de représentation des élèves auprès du conseil des commissaires.
Dans certaines écoles, il y a déjà des conseils de coopération qui ont été expérimentés. Mais avec la nouvelle politique qui sera en vigueur en juin 2012, ce sera l’ensemble des établissements de la CSDM qui devront s’approprier les règles de la démocratie scolaire.
M. Lachance mentionne que les membres des conseils d’établissement (CÉ) seront consultés aussi. Certains membres ont déjà eu leur réunion de CÉ et effectivement ils ont eu à répondre à un petit questionnaire. Plusieurs pensaient que la politique était déjà adoptée. C’est pour cela qu’ils n’ont pas trop analysé le document. Ils trouvaient que la documentation n’était pas claire et que la plupart des questions étaient trop pointues.
En général les parents sont en faveur de cette politique (en soulignant que personne n’est contre la vertu !).
4.2 Qualité de l’air intérieur dans les écoles
Suite à la fermeture de l’école Saint-Gérard et de problèmes survenus à l’école Hochelaga, la CSDM avec la direction de la Santé publique de Montréal va établir, d’ici la mi-mars, une liste d’écoles qui seront inspectées prioritairement quant à la qualité de l’air intérieur.
Plusieurs façons de faire seront revues, entre autres, celles des concierges. Certaines pratiques, comme le lavage à grande eau des planchers, seront sûrement changées pour contrer l’infiltration de moisissures dans certaines parties des locaux.
Les élèves de l’école St-Gérard sont actuellement hébergés temporairement au Cégep Ahuntsic. La CSDM est en train d’aménager des locaux à l’intérieur de l’école secondaire Georges-Vanier, dont les locaux qui étaient utilisés par le réseau Centre, pour y installer le personnel et les élèves de l’école St-Gérard. C’est la raison pour laquelle le réseau Centre a dû déménager rapidement et est maintenant (en partie) au siège administratif de la CSDM.
L’école Georges-Vanier a la capacité d’accueillir au moins 2 000 élèves et n’en a que 1 200 actuellement. L’école avait donc de la place pour y héberger une école primaire.
M. Lachance rappelle aux membres qu’il est important d’être à l’affut de certains signes qui permettent d’avoir des doutes sur la qualité de l’air intérieur dans l’école. Pour poser des questions sur l’état de leur établissement ou partager leurs inquiétudes, les parents d’élèves qui fréquentent les écoles de la CSDM peuvent parler à leur direction, composer le 514 596-CSDM, la ligne téléphonique pour les parents, du lundi au jeudi de 11 h à 15 h, ou joindre leur commissaire scolaire au 514 596-7541 ou par courriel en accédant au site Web de la CSDM, au
www.csdm.qc.ca/commissaires. Les membres du personnel sont invités à communiquer avec la direction de leur établissement.
4.3 Déclaration de principes sur le civisme et l’éthique à la CSDM
M. Lachance invite les membres à prendre connaissance de la déclaration de principes sur le civisme et l’éthique à la CSDM qui vient d’être adoptée par le Conseil des commissaires.
La secrétaire, Diane Roy, la fera parvenir à tous les délégués par courrier électronique.
À la prochaine rencontre du mois de mars, on pourra voir plus en détail ces différents principes.
4.4 Semaine de la persévérance scolaire
Un ruban blanc et vert est distribué aux délégués. C’est le symbole adopté par les organisateurs de cette semaine thématique pour souligner l’adhésion de tous aux efforts liés à la persévérance scolaire.
Les délégués sont invités à se rendre sur le site du Réseau réussite Montréal pour avoir plus de détails sur les différentes initiatives proposées.
http://www.reseaureussitemontreal.ca
5. Mot des commissaires présents
Aucun commissaire présent.
Le commissaire Kenneth George qui comptait venir vers 21h45 a été averti de ne pas se rendre, puisque la rencontre s’est terminée plus tôt.
6. Mot de la présidente du CPR-Centre
6.1 Consultation sur le projet de politique relative à l’initiation des élèves à la démocratie scolaire.
Ce point a été fait avec M. Lachance à 4.1
6.2 Présentation du projet de règlement sur la résolution des différends et le traitement des plaintes.
Mme Lynda Laurencelle explique que ce dossier sera présenté par la secrétaire générale de la CSDM, Me France Pedneault, lors de la réunion du Comité central des parents de mardi prochain, le 21 février. Les délégués de tous les comités de parents de réseau sont invités à venir à cette rencontre de consultation, à 19h30 au 3737, rue Sherbrooke Est, Montréal.
6.3 Correspondance
Conférence pour parents : Le passage primaire/secondaire
De grand du primaire à petit au secondaire…Ce n’est pas le monde à l’envers….
Date : 1er mars 2012, de 19 H 00 à 21 H 30
Lieu: École Lucien-Pagé, 8200, boulevard Saint-Laurent, Montréal H2P 2L8
Intervenant: Louis Bienvenue
6.4 Information du Comité central des parents
6.4.1 Prix Implic-action
C’est un prix pour souligner et valoriser l’implication et la qualité du bénévolat d’un parent de la structure parentale (OPP, CÉ, CPR, CCP). Les candidatures doivent être acheminées à Annick Rocheleau au plus tard le 2 mars 2012 à 13h.
6.4.2 Recensement des bénévoles
Votre direction d’école a jusqu’au 24 février pour mettre à jour la liste des bénévoles de votre école.
Chaque année, la CSDM organise une réception à laquelle sont conviés les bénévoles ayant 5, 10, 15 et 20 ans et plus de bénévolat à leur actif.
C’est lors de cette soirée que sont remis les prix Gérardine-Bissonnette, Merci et Implic-action.
6.4.3 Sondage « anglais intensif »
Le comité central des parents prépare un sondage sur l’enseignement de l’anglais intensif.
6.5 Fédération des comités de parents du Québec (FCPQ)
La FCPQ entreprend sa planification stratégique pour les 5 prochaines années. Elle demande à ses membres, les comités de parents de chacune des commissions scolaires d’identifier des enjeux auxquels il faudra répondre.
Mme Laurencelle suggère aux membres présents de lui faire parvenir par courriel leurs suggestions.
7. Demandes d’information
· M. Mark Hird représentant (école Georges-Vanier) veut des informations concernant la location des salles dans les écoles
M. Lachance nous informe que même s’il est dit, à l’article 93 de la LIP, que « le conseil d’établissement approuve l’utilisation des locaux ou immeubles mis à la disposition de l’école proposée par le directeur… » Au sens de la loi, l’école n’est pas à proprement parler la bâtisse elle-même mais un établissement scolaire (art. 36). Elle a une mission éducative et aussi une vocation communautaire étant appelée à « collaborer au développement social et culturel de la communauté » (art.36)
La location des salles dans les écoles a été centralisée à la CSDM. Les revenus de location reviennent à la CSDM. La commission scolaire redistribue certaines sommes d’argent pour payer les frais encourus par les écoles (produits d’entretien, concierge).
· Mme Guylène Dhormes, représentante (école Sans-Frontières) veut des informations sur le fait qu’en cas d’absence d’un concierge, de la secrétaire de l’école ou d’une TES, c’est à l’école d’assumer le salaire du personnel de remplacement. M. Lachance confirme que c’est à l’école de payer le salaire d’un remplaçant pour ces catégories d’emploi. Chaque réseau a un montant d’environ 150 000 $ pour couvrir les frais en cas d’absentéisme. Le réseau Centre a réussi à éponger près de 75% des déficits de ses écoles.
· Mme Dhormes voudrait attirer l’attention des membres sur le fait que, maintenant, les services de garde n’acceptent plus les frais impayés. Elle fait remarquer que pendant plusieurs années, la CSDM a fait preuve de laxisme dans ce dossier et que maintenant, il y a de l’intransigeance. Il faudrait plus de discernement pour ne pas pénaliser des familles en difficulté mais qui pourraient prendre des arrangements pour payer leurs frais de garde.
8. Tour de table
Il n’y a pas de tour de table
9. Avis de proposition
Aucun avis n’est déposé.
10. Divers
Pas de point soulevé
11. Parole aux observateurs
Pas d’observateurs
12. Levée de l’assemblée
La levée de l’assemblée est faite à 21h15
ANNEXE
36. L'école est un établissement d'enseignement destiné à dispenser aux personnes visées à l'article 1 les services éducatifs prévus par la présente loi et le régime pédagogique établi par le gouvernement en vertu de l'article 447 et à collaborer au développement social et culturel de la communauté. Elle doit, notamment, faciliter le cheminement spirituel de l'élève afin de favoriser son épanouissement.
Elle a pour mission, dans le respect du principe de l'égalité des chances, d'instruire, de socialiser et de qualifier les élèves, tout en les rendant aptes à entreprendre et à réussir un parcours scolaire.
Elle réalise cette mission dans le cadre d'un projet éducatif mis en oeuvre par un plan de réussite.
93. Le conseil d'établissement approuve l'utilisation des locaux ou immeubles mis à la disposition de l'école proposée par le directeur de l'école, sous réserve des obligations imposées par la loi pour l'utilisation des locaux de l'école à des fins électorales et des ententes d'utilisation conclues par la commission scolaire avant la délivrance de l'acte d'établissement de l'école.
Toute entente du conseil d'établissement pour l'utilisation des locaux ou immeubles mis à la disposition de l'école doit être préalablement autorisée par la commission scolaire si l'entente est faite pour plus d'un an.
Le conseil d'établissement approuve l'organisation par la commission scolaire, dans les locaux de l'école, de services qu'elle fournit à des fins culturelles, sociales, sportives, scientifiques ou communautaires.
266. La commission scolaire a pour fonctions:
1° d'acquérir ou de prendre en location les biens requis pour l'exercice de ses activités et de celles de ses établissements d'enseignement, y compris accepter gratuitement des biens;
2° de construire, réparer ou entretenir ses biens;
3° de déterminer l'utilisation de ses biens et de les administrer, sous réserve du droit de ses établissements d'enseignement à l'utilisation des biens mis à leur disposition;
4° de favoriser l'utilisation de ses immeubles par les organismes publics ou communautaires de son territoire ou de donner en location ses meubles et ses immeubles, sous réserve du droit de ses établissements d'enseignement à l'utilisation des locaux ou immeubles mis à leur disposition.
Une commission scolaire peut être propriétaire ou locataire de locaux ou d'immeubles situés en dehors des limites de son territoire.
12 février 2012
Lettre du commissaire (no 528 - 12 février 2012)
Chers amis bonjourr,
Tout de go, je vous informe que je ne vous réécrirai que le 26 février. Ce n'est pas que je vais dormir pour deux semaines, c'est plutôt que je devrai m'investir grandement dans la correction des examens intra-trimestriels de mes étudiants. Pour vous donner une idée de ce que veut dire cette correction, je précise que dans mon seul cours d'introduction à l'UdeM, il y a 108 étudiants… et c'est moi-même qui corrige, je refuse de faire corriger par un correcteur… et ce n'est pas un examen objectif, loin de là.
Je vous réécrirai donc le 26 février.
Semaine de relâche
On approche de cette semaine et, comme par le passé, dans l'arrondissement Rosemont/La Petite-Patrie, des camps de jour sont organisés du lundi 5 mars au vendredi 9 mars. Pour plus de renseignements, on peut aller sur le site de l'arrondissement.
Moniteur de camp de jour l'été
Tout jeune de 16 ans ou plus - et qui aura complété son secondaire 4 en juin - pourrait travailler comme moniteur de camp de jour dans l'arrondissement Rosemont/La Petite-Patrie au cours de l'été 2012. Il faudra cependant remplir une autre condition : s'inscrire au programme de formation. La date limite d'inscription à ce programme est le 16 février. Pour en savoir davantage, on compose le 514 872-9448, ou encore on va sur www.formation-animation.qc.ca ; www.ville.montreal.qc.ca/rpp/emploisetudiants; rh-rosemont@ville.montreal.qc.ca
Une maîtrise universitaire sur l'aménagement des cours d'école
Au cours des dernières années, j'ai eu un certain rôle à jouer dans l'aménagement des nouvelles cours d'école à Saint-Arsène, Saint-Ambroise, Saint-Gabriel-Lalemant et Saint-Gérard. J'ai eu le plaisir de rencontrer cette semaine une étudiante universitaire qui prépare un mémoire de maîtrise sur le rôle des divers intervenants dans l'aménagement des cours d'école.
Vous souvenez-vous des acteurs qui ont été partenaires dans ces projets? À Saint-Arsène, ce fut beaucoup l'ex-député André Boisclair ; à Saint-Gabriel-Lalemant, l'Association des pompiers de Montréal ; à Saint-Gérard, le Fonds de solidarité des travailleurs du Québec ; à Saint-Ambroise, la Ville de Montréal. Quel malheur qu'il n'y ait pas un centre d'histoire où tout cela pourrait être ramassé !
Qu'est-ce que fait un commissaire?
La semaine dernière j'ai rencontré les grands de 6e année de l'école Saint-Arsène. Quelles brillantes questions ils m'ont posées sur la fonction que j'occupe, les interventions que je fais auprès des écoles, d'enseignants, de parents et de jeunes. Ils m'ont aussi interrogé sur le parti dont je suis membre (le MÉMO), mes relations avec la présidente de la Commission scolaire, mon salaire, le temps que je mets à cette fonction, les raisons de mon engagement. Vraiment des enfants allumés !
Budget du commissaire
Vous souvenez-vous des acteurs qui ont été partenaires dans ces projets? À Saint-Arsène, ce fut beaucoup l'ex-député André Boisclair ; à Saint-Gabriel-Lalemant, l'Association des pompiers de Montréal ; à Saint-Gérard, le Fonds de solidarité des travailleurs du Québec ; à Saint-Ambroise, la Ville de Montréal. Quel malheur qu'il n'y ait pas un centre d'histoire où tout cela pourrait être ramassé !
Qu'est-ce que fait un commissaire?
La semaine dernière j'ai rencontré les grands de 6e année de l'école Saint-Arsène. Quelles brillantes questions ils m'ont posées sur la fonction que j'occupe, les interventions que je fais auprès des écoles, d'enseignants, de parents et de jeunes. Ils m'ont aussi interrogé sur le parti dont je suis membre (le MÉMO), mes relations avec la présidente de la Commission scolaire, mon salaire, le temps que je mets à cette fonction, les raisons de mon engagement. Vraiment des enfants allumés !
Budget du commissaire
J'insiste encore. J'ai reçu des demandes des écoles Père-Marquette, Saint-Ambroise, Saint-Arsène, Gadbois, Saint-Gabriel-Lalemant, Joseph-Charbonneau. J'attends toujours les autres demandes.
Rencontre du CE de Marie-Favery
Mardi soir dernier, j'ai eu l'occasion de rencontrer les membres du CE. La question du jour : vivra-t-on à Marie-Favery ce qui a été vécu à Saint-Gérard? J'ai eu l'occasion d'expliquer la source du problème à Saint-Gérard, telle qu'analysée par la Direction de la santé publique, de faire état des actions que notre Commission scolaire posera dans les mois et les années à venir et des actions qu'elle ne posera pas. Une chose était importante : garder ouvertes les voies de communication.
Rencontre du CE de Saint-Gabriel-Lalemant
Le même soir, j'ai rencontré les membres du CE de Saint-Gabriel-Lalemant. Devinez de quoi nous avons parlé ? Encore ici, l'objectif était de permettre que les craintes s'expriment et qu'on s'entende localement sur les gestes à poser et ceux à ne pas poser.
Merci à François Limoges
A cause des travaux, les enfants qui fréquentent Saint-Arsène doivent passer par la ruelle pour accéder à l'école. La Ville de Montréal n'a pas l'habitude de déblayer les ruelles de sorte qu'il était assez difficile pour les enfants et leurs parents de marcher dans cet espace pour se rendre à la cour d'école.
Rencontre du CE de Marie-Favery
Mardi soir dernier, j'ai eu l'occasion de rencontrer les membres du CE. La question du jour : vivra-t-on à Marie-Favery ce qui a été vécu à Saint-Gérard? J'ai eu l'occasion d'expliquer la source du problème à Saint-Gérard, telle qu'analysée par la Direction de la santé publique, de faire état des actions que notre Commission scolaire posera dans les mois et les années à venir et des actions qu'elle ne posera pas. Une chose était importante : garder ouvertes les voies de communication.
Rencontre du CE de Saint-Gabriel-Lalemant
Le même soir, j'ai rencontré les membres du CE de Saint-Gabriel-Lalemant. Devinez de quoi nous avons parlé ? Encore ici, l'objectif était de permettre que les craintes s'expriment et qu'on s'entende localement sur les gestes à poser et ceux à ne pas poser.
Merci à François Limoges
A cause des travaux, les enfants qui fréquentent Saint-Arsène doivent passer par la ruelle pour accéder à l'école. La Ville de Montréal n'a pas l'habitude de déblayer les ruelles de sorte qu'il était assez difficile pour les enfants et leurs parents de marcher dans cet espace pour se rendre à la cour d'école.
À la suite d'interventions faites jeudi et vendredi il y a deux semaines, la ruelle a été totalement dégagée. Plus encore, nous sommes à trouver une solution pour le reste de l'hiver.
Mille mercis au conseiller municipal François Limoge qui a permis la solution du problème.
Comité des lève-tôt
C'est mardi matin à 8 h que le comité se réunira au sous-sol de la Caisse Saint-Arsène. Un mot sur ma participation : je ne pourrai pas y être mardi matin à cause d'un rendez-vous médical qui a été déplacé à mon insu (ce que je déteste !!!).
Voilà pour cette semaine.
Des questions? Des commentaires?
Écrivez-moi.
Embrassez vos enfants pour moi.
Bonne semaine.
Kenneth
Comité des lève-tôt
C'est mardi matin à 8 h que le comité se réunira au sous-sol de la Caisse Saint-Arsène. Un mot sur ma participation : je ne pourrai pas y être mardi matin à cause d'un rendez-vous médical qui a été déplacé à mon insu (ce que je déteste !!!).
Voilà pour cette semaine.
Des questions? Des commentaires?
Écrivez-moi.
Embrassez vos enfants pour moi.
Bonne semaine.
Kenneth
5 février 2012
Lettre du commissaire (no 527 - 5 février 2012)
Chers amis bonsoir,
Il se passe tant de choses chez nous !
Votre ado veut-il devenir DJ ?
La maison de jeunes, L'Hôte-Maison, formera 12 ados qui deviendront de vrais DJ après avoir participé à 16 ateliers musicaux. Le tout se fera sur du matériel adapté et des tables tournantes professionnelles.
Ce service est gratuit. Les cours débutent le 27 février (jusqu'au 25 juin) et se donneront les lundis de 18 h à 21 h. Cela intéresse votre ado? Inscrivez-le en appelant au 514 273-0805.
Le plan triennal
Tous les ans, le Conseil des commissaire doit revoir son plan d'utilisation des immeubles. Dans le cas de Villeray–Petite-Patrie, aucun changement n'est prévu pour les écoles primaires et secondaires régulières, ni pour l'École des Métiers du Meuble.
On prévoit toutefois des changements pour les écoles spécialisées du quartier. La baisse de la clientèle de l'école Henri-Julien nous amène à envisager le démantèlement des préfabriquées à l'école Henri-Julien pour l'année 2012-2013. Cela représente une dépense approximative de 100 000 $. Par ailleurs, nous sommes toujours à réaliser le projet d'agrandissement de l'école Victor-Doré et d'aménagement de l'école Joseph-Charbonneau, ce qui nécessitera le maintien pour un certain temps des 12 unités préfabriquées (une dépense de 76 000 $).
Un changement aussi à l'école Marie-Favery qui devra être agrandie.
Initier les élèves à la démocratie
En décembre dernier, le Conseil des commissaires a décidé de procéder à une consultation des différents milieux sur une politique relative à l'initiation des élèves à la démocratie scolaire. La politique propose des objectifs à atteindre, des principes à respecter, des conditions de réalisation, etc.
Alternatives à la suspension
Que font les adolescents lorsqu'ils sont suspendus de l'école? De fait, peu d'élèves sont de fait suspendus, mais ceux qui le sont, que font-ils?
Ce qui est sûr, c'est qu'ils sont laissés souvent à eux-mêmes. Pour cette raison, depuis quelques années, le Conseil des commissaires octroie une subvention aux YMCA de Montréal qui accueillent les élèves suspendus
Fusion Jeunesse
À sa dernière réunion, le Conseil des commissaires a décidé d'octroyer une somme de 107 000 $ à l'organisme Fusion Jeunesse, situé dans La Petite-Patrie, qui réalisera des projets dans une dizaine d'écoles secondaires de la commission scolaire. Les projets sont dans le domaine de la musique, de la science et de la technologie, du journalisme, etc. Les écoles Père-Marquette et Georges-Vanier comptent parmi les écoles où l'organisme interviendra. Fusion Jeunesse compte sur l'action d'étudiants universitaires qui interviennent en son nom dans les écoles secondaires.
Il se passe tant de choses chez nous !
Votre ado veut-il devenir DJ ?
La maison de jeunes, L'Hôte-Maison, formera 12 ados qui deviendront de vrais DJ après avoir participé à 16 ateliers musicaux. Le tout se fera sur du matériel adapté et des tables tournantes professionnelles.
Ce service est gratuit. Les cours débutent le 27 février (jusqu'au 25 juin) et se donneront les lundis de 18 h à 21 h. Cela intéresse votre ado? Inscrivez-le en appelant au 514 273-0805.
Le plan triennal
Tous les ans, le Conseil des commissaire doit revoir son plan d'utilisation des immeubles. Dans le cas de Villeray–Petite-Patrie, aucun changement n'est prévu pour les écoles primaires et secondaires régulières, ni pour l'École des Métiers du Meuble.
On prévoit toutefois des changements pour les écoles spécialisées du quartier. La baisse de la clientèle de l'école Henri-Julien nous amène à envisager le démantèlement des préfabriquées à l'école Henri-Julien pour l'année 2012-2013. Cela représente une dépense approximative de 100 000 $. Par ailleurs, nous sommes toujours à réaliser le projet d'agrandissement de l'école Victor-Doré et d'aménagement de l'école Joseph-Charbonneau, ce qui nécessitera le maintien pour un certain temps des 12 unités préfabriquées (une dépense de 76 000 $).
Un changement aussi à l'école Marie-Favery qui devra être agrandie.
Initier les élèves à la démocratie
En décembre dernier, le Conseil des commissaires a décidé de procéder à une consultation des différents milieux sur une politique relative à l'initiation des élèves à la démocratie scolaire. La politique propose des objectifs à atteindre, des principes à respecter, des conditions de réalisation, etc.
Alternatives à la suspension
Que font les adolescents lorsqu'ils sont suspendus de l'école? De fait, peu d'élèves sont de fait suspendus, mais ceux qui le sont, que font-ils?
Ce qui est sûr, c'est qu'ils sont laissés souvent à eux-mêmes. Pour cette raison, depuis quelques années, le Conseil des commissaires octroie une subvention aux YMCA de Montréal qui accueillent les élèves suspendus
Fusion Jeunesse
À sa dernière réunion, le Conseil des commissaires a décidé d'octroyer une somme de 107 000 $ à l'organisme Fusion Jeunesse, situé dans La Petite-Patrie, qui réalisera des projets dans une dizaine d'écoles secondaires de la commission scolaire. Les projets sont dans le domaine de la musique, de la science et de la technologie, du journalisme, etc. Les écoles Père-Marquette et Georges-Vanier comptent parmi les écoles où l'organisme interviendra. Fusion Jeunesse compte sur l'action d'étudiants universitaires qui interviennent en son nom dans les écoles secondaires.
Lyne St-Pierre, directrice adjointe au Réseau Ouest
L'ex-directrice de l'école Georges-Vanier a été confirmée au poste de directrice adjointe du Réseau Ouest par le Conseil des commissaires. Le Conseil a pris note, entre autres, de l'expérience variée de Mme St-Pierre tant en pédagogie qu'en administration scolaire. Mme St-Pierre est aussi reconnue pour son dynamisme et sa capacité à mobiliser les ressources nécessaires, tant à l'intérieur de la CSDM qu'à l'extérieur, pour atteindre ses objectifs. Autrement dit, Mme St-Pierre s'est révélée leader, pédagogue avertie et gestionnaire compétente.
Poste disponible : adjoint à la direction du Centre Lajeunesse
Le Centre doit remplacer la personne qui prend un congé de maternité. Pour plus de renseignements, www.centrelejeunesse.org
Voilà pour cette semaine.
Des questions? Des commentaires?
Écrivez-moi.
Embrassez vos enfants pour moi.
Bonne semaine.
Kenneth
L'ex-directrice de l'école Georges-Vanier a été confirmée au poste de directrice adjointe du Réseau Ouest par le Conseil des commissaires. Le Conseil a pris note, entre autres, de l'expérience variée de Mme St-Pierre tant en pédagogie qu'en administration scolaire. Mme St-Pierre est aussi reconnue pour son dynamisme et sa capacité à mobiliser les ressources nécessaires, tant à l'intérieur de la CSDM qu'à l'extérieur, pour atteindre ses objectifs. Autrement dit, Mme St-Pierre s'est révélée leader, pédagogue avertie et gestionnaire compétente.
Poste disponible : adjoint à la direction du Centre Lajeunesse
Le Centre doit remplacer la personne qui prend un congé de maternité. Pour plus de renseignements, www.centrelejeunesse.org
Voilà pour cette semaine.
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Bonne semaine.
Kenneth
1 février 2012
Coupure dans les commissions scolaires
Une animation (stop motion) en Légo réalisée par un enseignant: http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=dyc1_NRRMBU
Signalé sur le blogue de Patrick Lagacé
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