20 novembre 2012
L’école le 25 juin demeure une possibilité | Le Devoir
Le Comité central des parents (CCP) déplore l’impasse dans laquelle la Commission scolaire de Montréal (CSDM) et l’Alliance des professeurs de Montréal se retrouvent et qui pourrait forcer les élèves à entrer en classe au lendemain de la fête nationale. Ceux-ci doivent en effet reprendre la journée du 4 septembre, manquée en raison des élections provinciales. Le scénario consistant à les faire rentrer à l’école un 25 juin avait d’abord été écarté par la CSDM, mais il semble que, deux mois plus tard, celle-ci soit toujours en discussion sur le sujet. Le CCP souhaite la conversion d’une journée pédagogique flottante en jour de classe, comme c’est le cas lorsqu’il n’y a pas classe pour cause de force majeure (tempête, panne, etc.) « Il est dommage de constater que les dirigeants de la CSDM et de l’Alliance ne peuvent s’entendre sur un élément qui, pour les parents, relève du gros bon sens », a indiqué la présidente du CCP, Manon Ricard, par voie de communiqué.
13 novembre 2012
Mes souhaits pour le TDAH | FCPQ
Publié sur le blogue de la FCPQ
Récemment avait lieu la Semaine canadienne de sensibilisation au TDAH (Trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité). Une mère a rédigé des souhaits pour l’occasion, un message d’une grande clarté, au propos fort pertinent.
(À l’occasion de la Semaine de sensibilisation) Plusieurs bonnes actions seront soulevées, des inégalités dans notre système de santé et des lacunes dans notre système scolaire seront dénoncées, des trous de services pour les personnes TDAH seront nommés, ainsi que le manque de financement dans des organismes œuvrant auprès des personnes ayant le TDAH.
Alors, j’ai pensé faire autre chose, quelque chose qu’on ne fait pas souvent… faire des souhaits!
(À l’occasion de la Semaine de sensibilisation) Plusieurs bonnes actions seront soulevées, des inégalités dans notre système de santé et des lacunes dans notre système scolaire seront dénoncées, des trous de services pour les personnes TDAH seront nommés, ainsi que le manque de financement dans des organismes œuvrant auprès des personnes ayant le TDAH.
Alors, j’ai pensé faire autre chose, quelque chose qu’on ne fait pas souvent… faire des souhaits!
J’aimerais qu’on arrête de penser que c’est ma fatigue qui fait que mon jeune est hyperactif, mais plutôt le contraire.
J’aimerais pouvoir dire ouvertement que je suis épuisé, sans pour autant qu’on me diagnostique une dépression.
J’aimerais qu’on change le regard des étrangers à l’épicerie, qui pensent que mes enfants sont mal élevés.
J’aimerais qu’on change les commentaires que j’entends, en file à la banque, parce que c’est gênant et bruyant des enfants hyperactifs.
J’aimerais ne plus jamais entendre que je choisis la facilité quand je médicamente mon enfant, parce qu’il n’y a rien de plus difficile que de faire un choix aussi négativement perçu.
J’aimerais qu’on change les rencontres avec l’équipe-école quand ils ont tous l’air d’avoir eu une rencontre avant la rencontre, parce que je me sens toute seule dans mes culottes de parent, incomprise et qu’ils ont tous l’air d’attendre que je dise « ok je m’en occupe ».
J’aimerais qu’on change les plans d’interventions qui sont souvent préparés d’avance, qui ne contiennent que des actions que mon jeune devra faire (ou ne plus faire), avec très peu d’aide concrète ou sans nombre d’heures indiquées.
J’aimerais que ce plan d’intervention ne reste pas qu’un formulaire obligatoire, consigné au bureau de la direction, mais bien un plan d’aide évolutif et aidant.
J’aimerais qu’on change les interventions faites à l’école, basées sur le comportement négatif à éliminer, au lieu d’être basées sur l’encouragement du comportement positif que l’on souhaite que le jeune adopte.
J’aimerais que tous les matins, les intervenants scolaires mettent leur compteur à zéro et ne tiennent pas compte des erreurs d’hier, comme le font les TDAH.
J’aimerais bien qu’on arrête de me demander de « comprendre » les difficultés que vivent les intervenants à l’école, mais qu’ils (elles) comprennent ce que c’est de « vivre » les difficultés 24h/365 jours.
J’aimerais qu’on change l’attitude générale d’exclusion qu’on retrouve à l’école quand on entend « si on le fait pour votre jeune on va devoir le faire pour tout le monde ».
J’aimerais qu’on ajoute, une fois par mois, un système de pige pour les enfants différents qui n’ont jamais droit aux privilèges, aux sorties, aux bonus, etc., afin qu’eux aussi puissent avoir UNE VRAIE chance!
25 octobre 2012
Mieux accueillir et éduquer les enfants d’âge préscolaire
Le Conseil supérieur de l'éducation du Québec a rendu public mercredi, le 24 octobre 2012, un avis intitulé « Mieux accueillir et éduquer les enfants d’âge préscolaire, une triple question d’accès, de qualité et de continuité des services ». De quelle façon la société québécoise répond-elle actuellement aux besoins d’éducation et d’accueil des enfants de 4 et 5 ans? Que devrait-elle faire pour mieux favoriser leur développement et leur apprentissage? Telles sont les questions centrales de l'avis.
Cet avis, son sommaire en français et le communiqué de presse sont publiés sur le site Internet du Conseil:
4 octobre 2012
Conférence - Les devoirs et les leçons: mission possible
INVITATION À TOUS LES PARENTS DE LA CSDM
CONFÉRENCE
Les devoirs et les leçons: mission possible
Organisateur : Comité central des parents de la CSDM
Conférencier : Robert Darche, enseignant, formateur et conférencier
Lieu : Auditorium de l’école Marguerite-de-Lajemmerais, 5555, rue Sherbrooke Est – près du boul. l’Assomption
Date : Le jeudi 11 octobre 2012
Accueil à partir de 18 h 30
Conférence : de 19 h à 21 h
Cette conférence s’adresse aux parents des élèves du préscolaire et du primaire.
La réussite de votre enfant vous tient à coeur? Vous voulez connaître votre rôle de parent en ce qui concerne la supervision des travaux scolaires à la maison ? Vous voulez apprendre à votre enfant à développer des méthodes de travail efficaces ? Vous voulez savoir comment accroître l’autonomie et développer la motivation chez votre enfant ?
Entrée gratuite
Stationnement
Pas de service de garde
Prochaines conférences :
Jeudi 25 octobre 2012 : Conférencier M. Denis Carignan – Accompagner mon ado
Samedi 3 novembre 2012 : Conférencier M. Serge Lanoue – Estime de soi
Jeudi 22 novembre 2012 : Conférencière Mme Christiane Sylvestre – Vivre avec le TDHA au quotidien
Jeudi 6 décembre 2012 : Conférencières Mmes Linda Gravel et Linda Mastrovito –
La discipline… pour être moins en réaction
5 octobre - Journée mondiale des enseignants
Soutenez les enseignant(e)s et les syndicats de l’éducation le 5 octobre!
À l’occasion de la Journée mondiale des enseignant(e)s (JME), le 5 octobre, l’IE soulignera une fois de plus l’importance des éducatrices et éducateurs au niveau mondial. Elle rappellera également qu’il importe de mettre l’accent, pas seulement le 5 octobre mais aussi tout au long de l’année, sur le rôle important que jouent les groupements d’éducatrices et éducateurs dans tout système éducatif qui se veut efficace. Les syndicats de l’éducation œuvrent à une profession qui continue d’attirer et de retenir les éducatrices et éducateurs « les plus compétent(e)s et les plus enthousiastes ».
À l’occasion de la Journée mondiale des enseignant(e)s (JME), le 5 octobre, l’IE soulignera une fois de plus l’importance des éducatrices et éducateurs au niveau mondial. Elle rappellera également qu’il importe de mettre l’accent, pas seulement le 5 octobre mais aussi tout au long de l’année, sur le rôle important que jouent les groupements d’éducatrices et éducateurs dans tout système éducatif qui se veut efficace. Les syndicats de l’éducation œuvrent à une profession qui continue d’attirer et de retenir les éducatrices et éducateurs « les plus compétent(e)s et les plus enthousiastes ».
3 octobre 2012
Un concours d’écriture pour rendre hommage aux enseignantes et enseignants | FCPQ
Par Manon Bernard, présidente de la FSE-CSQ
Le 5 octobre de chaque année, les enseignantes et enseignants de la Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ) célèbrent la Journée mondiale des enseignantes et des enseignants, de concert avec les 30 millions d’enseignants membres de l’Internationale de l’Éducation.
Cette journée arrive à point nommé dans l’année scolaire. En effet, nous, les enseignantes et enseignants, commençons toujours l’année en courant, en organisant nos cours, notre tâche, notre horaire, en revoyant le matériel que nous utiliserons et en mettant tout en œuvre pour accueillir nos élèves comme nous le souhaitons. La rentrée des classes est une période stimulante, mais combien exigeante !
Puis octobre arrive, avec ses questionnements, son besoin de souffler et de faire les ajustements nécessaires pour répondre aux besoins des élèves dont nous aurons la responsabilité pour un bout de chemin. C’est dans ce contexte que notre Journée mondiale invite à prendre un moment pour respirer, pour apprécier le travail accompli dans le but de rendre l’année scolaire la plus heureuse possible auprès de vos enfants.
Les enseignantes et enseignants mettent beaucoup de cœur et d’énergie pour organiser le quotidien de vos enfants. Or, le milieu scolaire n’a pas toujours le temps de souligner la qualité de leur travail, et les médias, à travers plusieurs débats d’actualité, ne leur rendent pas toujours justice. Même s’ils motivent et encouragent les élèves tous les jours, il arrive qu’eux aussi aient besoin de se sentir appréciés.
Pour remédier en partie à cette situation, la FSE a lancé un concours d’écriture intitulé « Ces profs qui ont changé nos vies ! ». Celui-ci est un des éléments d’une campagne de valorisation de la profession enseignante, dont le thème est « J’enseigne, je prépare l’avenir ».
Les enseignantes et enseignants sont des personnes des plus importantes pour les élèves, car même s’ils posent toutes et tous quotidiennement des gestes qui peuvent vous sembler ordinaires, leur portée, elle, est extraordinaire puisqu’ils contribuent à bâtir la société de demain. Ces enseignantes et enseignants, ils ont de multiples facettes : tantôt une blagueuse, une complice, un mentor, un motivateur, une confidente, un éveilleur de passions, une inspiration, un coach, une donneuse de confiance en soi, et j’en passe. Combien de parcours ont-ils influencés ? On réalise assez facilement qu’ils font la différence pour plusieurs élèves, qu’ils ont changé bien des vies ou sont en voie de le faire.
En tant que parents, vous êtes les témoins privilégiés et quotidiens de ces belles réussites avec vos enfants. Je vous invite à rendre hommage à cette enseignante ou à cet enseignant marquant pour vous ou votre enfant, à raconter une anecdote le concernant ou à faire connaître un aspect de sa personnalité qui a eu un impact dans vos vies.
Pour ce faire, il suffit de nous acheminer un texte évocateur d’un maximum de 500 mots pour nous faire connaître cette personne. Vous trouverez à l’adresse profmafierte.comtous les détails de ce concours d’écriture qui prendra fin le 16 novembre et qui pourrait vous permettre, à vous ou à votre enfant, de faire partie du tournage d’une vidéo qui sera diffusée dans le cadre d’une publicité nationale !
En terminant, j’aimerais vous remercier de faire équipe avec les enseignantes et enseignants. Vous êtes un ingrédient essentiel de leur réussite devant une salle de classe, en plus d’être régulièrement ce précieux relais du travail et de toute la réflexion qui se fait à l’école. Soyez-en assurés, c’est tous ensemble que nous préparons l’avenir.
Avec la collaboration de Sylvie Lemieux, attachée de presse
Le 5 octobre de chaque année, les enseignantes et enseignants de la Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ) célèbrent la Journée mondiale des enseignantes et des enseignants, de concert avec les 30 millions d’enseignants membres de l’Internationale de l’Éducation.
Cette journée arrive à point nommé dans l’année scolaire. En effet, nous, les enseignantes et enseignants, commençons toujours l’année en courant, en organisant nos cours, notre tâche, notre horaire, en revoyant le matériel que nous utiliserons et en mettant tout en œuvre pour accueillir nos élèves comme nous le souhaitons. La rentrée des classes est une période stimulante, mais combien exigeante !
Puis octobre arrive, avec ses questionnements, son besoin de souffler et de faire les ajustements nécessaires pour répondre aux besoins des élèves dont nous aurons la responsabilité pour un bout de chemin. C’est dans ce contexte que notre Journée mondiale invite à prendre un moment pour respirer, pour apprécier le travail accompli dans le but de rendre l’année scolaire la plus heureuse possible auprès de vos enfants.
Les enseignantes et enseignants mettent beaucoup de cœur et d’énergie pour organiser le quotidien de vos enfants. Or, le milieu scolaire n’a pas toujours le temps de souligner la qualité de leur travail, et les médias, à travers plusieurs débats d’actualité, ne leur rendent pas toujours justice. Même s’ils motivent et encouragent les élèves tous les jours, il arrive qu’eux aussi aient besoin de se sentir appréciés.
Pour remédier en partie à cette situation, la FSE a lancé un concours d’écriture intitulé « Ces profs qui ont changé nos vies ! ». Celui-ci est un des éléments d’une campagne de valorisation de la profession enseignante, dont le thème est « J’enseigne, je prépare l’avenir ».
Les enseignantes et enseignants sont des personnes des plus importantes pour les élèves, car même s’ils posent toutes et tous quotidiennement des gestes qui peuvent vous sembler ordinaires, leur portée, elle, est extraordinaire puisqu’ils contribuent à bâtir la société de demain. Ces enseignantes et enseignants, ils ont de multiples facettes : tantôt une blagueuse, une complice, un mentor, un motivateur, une confidente, un éveilleur de passions, une inspiration, un coach, une donneuse de confiance en soi, et j’en passe. Combien de parcours ont-ils influencés ? On réalise assez facilement qu’ils font la différence pour plusieurs élèves, qu’ils ont changé bien des vies ou sont en voie de le faire.
En tant que parents, vous êtes les témoins privilégiés et quotidiens de ces belles réussites avec vos enfants. Je vous invite à rendre hommage à cette enseignante ou à cet enseignant marquant pour vous ou votre enfant, à raconter une anecdote le concernant ou à faire connaître un aspect de sa personnalité qui a eu un impact dans vos vies.
Pour ce faire, il suffit de nous acheminer un texte évocateur d’un maximum de 500 mots pour nous faire connaître cette personne. Vous trouverez à l’adresse profmafierte.comtous les détails de ce concours d’écriture qui prendra fin le 16 novembre et qui pourrait vous permettre, à vous ou à votre enfant, de faire partie du tournage d’une vidéo qui sera diffusée dans le cadre d’une publicité nationale !
En terminant, j’aimerais vous remercier de faire équipe avec les enseignantes et enseignants. Vous êtes un ingrédient essentiel de leur réussite devant une salle de classe, en plus d’être régulièrement ce précieux relais du travail et de toute la réflexion qui se fait à l’école. Soyez-en assurés, c’est tous ensemble que nous préparons l’avenir.
Avec la collaboration de Sylvie Lemieux, attachée de presse
2 octobre 2012
PV-Assemblée générale 2012
Procès-Verbal
Assemblée générale annuelle des parents de l’école Saint-Ambroise
Le jeudi 20 septembre 2012 à 19h
Sous réserve de son approbation lors de la prochaine assemblée
1. Vérification du quorum et ouverture de l’assemblée
Marie-Hélène Tremblay déclare l’assemblée ouverte (19h6, 26 personnes).
2. Adoption de l’ordre du jour
Marie-Hélène Tremblay fait lecture de l’ordre du jour.
L’adoption est proposée par Marie-Joëlle Filion, appuyée par Marie-Ève …
L’ordre du jour est adopté.
3. Adoption des procès-verbaux des assemblées générales annuelles du 22 septembre 2011 et du 9 septembre 2010
Les procès-verbaux ont été distribués aux participants.
L’adoption du procès-verbal 2010 est proposée par Caroline Boucher, appuyée par Hugo Roy.
Le procès-verbal 2010 est adopté.
L’adoption du procès-verbal 2011 est proposée par Marie-Ève …, appuyée par Frédéric Gouin.
Le procès-verbal 2011 est adopté.
4. Information sur la composition et les fonctions
4.1. Du Conseil d’établissementMarie-Hélène Tremblay présente le Conseil d’établissement, sa composition, ses fonctions et responsabilités.
Elle explique que le calendrier des réunions sera moins lourd avec une réunion aux six semaines.
4.2. Du comité de parents du réseauFrédéric Gouin présente le rôle consultatif du CPR et son rôle de relai de l’information. Il mentionne brièvement les sujets de discussion abordés l’an dernier.
4.3. De l’OPPMarie-Ève … présente l’organisation de participation des parents, son rôle et les activités réalisées les dernières années :
- 4 à 6 d’accueil pour la rentréeL’an dernier, 6 parents étaient impliqués de manière régulière et plusieurs autres parents se sont ajoutés ponctuellement.
- Frisk Fête en décembre
- Journée merci à l’équipe école
- Café pour les parents, journée de la persévérance scolaire (13 février)
- Soirée chante-la ta chanson autour d’un feu de foyer
- Pique-nique (8 juin)
Cette année, l’OPP est à la recherche de quelqu’un qui a envie de prendre un certain leadership.
En réponse à une question, Marie-Ève explique que la fréquence des rencontres est variable, selon les besoins, au gré des activités.
5. Rapport annuel
5.1. De l’écolePrésentation de l’école par Johanne Lévesque.
Il y a 460 élèves inscrits et la clientèle est stable (452 il y a 5 ans). À cause de la diminution des ratios, il n’y a plus de locaux disponibles. Mais la situation devrait s’améliorer d’ici 2 ans puisqu’il n’y a cette année plus que 3 groupes de maternelle au lieu de 4.
L’école compte aussi six classes d’élèves en difficultés (TED). Avant il y avait en plus deux classes d’élèves en déficience intellectuelle, mais ce point de service n’a pas été maintenu. Dix élèves TED son intégrés en classes régulières.
415 élèves sont inscrits au service de garde.
L’école compte 95 membres du personnel.
Il y a un plan de surveillance en place sur la cour d’école. Un plan d’urgence est aussi en place. Un exercice d’évacuation a eu lieu cette semaine.
Parmi les équipements et services : laboratoire informatique avec une personne ressource; bibliothèque, qui vit grâce au bénévolat des parents.
L’école a fait l’acquisition de trois tableaux numériques en 4e année. On va essayer de voir comment on poursuit ça. Le budget école pour les TIC ne permet pas d’acheter d’autres tableaux, donc dépendant des subventions gouvernementales. On ne sait pas si le nouveau gouvernement va poursuivre cette politique.
Tous les élèves ont 2 périodes d’éducation physique par semaine. Les plus petits en ont 4 de même que les enfants TED.
L’anglais est enseigné dans les classes par manque de locaux.
Deux éducatrices du service de garde sont disponibles pendant les récréations pour animer, organiser des jeux, ce qui contribue à diminuer la violence qu’il pouvait y avoir dans la cour de récréation.
L’aide aux devoirs est dispensé par le CLIPP : 12 places chez les petits, 12 places chez les plus vieux. La référence doit être faite par les enseignants. La priorité va aux parents allophones qui ont plus de difficultés à aider leurs enfants.
Programme école en forme et en santé : handball offert au 3e cycle. C’est une activité gratuite, à l’exception des tournois.
Activités parascolaires : liste de nombreuses activités. Bourses disponibles pour les parents qui auraient de la difficulté à s’acquitter des frais.
Le projet éducatif de l’école est basé sur une vaste consultation des enfants et des parents qui a permis de dégager notamment les constats suivants: beaucoup plus de familles monoparentales et un nombre important de familles démunies. Les garçons sont plus en difficulté que les filles dans le système scolaire actuel. Le taux de réussite est très élevé (86-92%) mais lorsqu’on analyse les résultats, on découvre qu’il y a un nombre important d’élèves à risque (notes entre 60-69%). Donc, l’objectif est d’augmenter les moyennes et non pas seulement que les enfants réussissent, particulièrement en écriture chez les garçons.
Pour travailler en ce sens, l’école avait choisi la BD comme thème littéraire, la poésie, les contes et légendes. Cette année, avec le budget de l’école montréalaise, les enseignants vont déposer des projets d’ici au 19 octobre, par niveau ou par cycle. Cette année il n’y aura pas de thème pour l’école au complet.
En réponse à une question, Johanne Lévesque précise que les sommes allouées représentent environ 8 000 $, soit environ 4 000$ qui provient du ministère et qui est complété par des sommes qui viennent du budget de l’école et d’autres subventions (école montréalaise). Les enseignants utilisent aussi leur budget de classe pour garnir la bibliothèque de classe pour la lecture au quotidien.
5.2. Du Conseil d’établissementMarie-Hélène Tremblay présente les sujets qui ont été discutés au Conseil d’établissement :
Approbation du plan de réussite et du projet éducatif.
Adoption des règles de régie interne.
Adoption du code de vie de l’école
À chacune des rencontres, la responsable du service de garde informe de ce qui se passe.
Un membre de l’OPP était aussi membre du CÉ ce qui facilite l’échange d’information.
Approbation des sorties par classe, par niveau.
Bilan des réunions du CPR
Approbation des campagnes de financement, grandes et petites. Le CÉ a porté une attention particulière à ne pas avoir trop de levées de fonds.
Consultation sur la modification à la politiques d’admission à l’école.
La caisse scolaire a fait l’objet de discussions et le CÉ a décidé de continuer. Mais la question est appelée à revenir sur le tapis.
La liste des effets scolaires par niveau a été approuvée par le CÉ
Information sur la campagne de vaccination pour la rougeole.
La photo scolaire a été confiée à une nouvelle entreprise suite aux demandes des parents.
Le budget de l’école aurait dû être adopté mais ça n’a pas été possible donc ce devra être fait en début d’année.
Présentation du calendrier scolaire et de la grille horaire.
Budget de fonctionnement du CÉ de 400$ : chaque année ce budget est donné pour l’achat de matériel pour les enfants.
Budget de perfectionnement du CÉ de 400 $ : a servi à acheter des livres de référence pour les parents : estime de soi, anxiété, etc.
En réponse à une question, Marie-Hélène Tremblay précise que le budget du Conseil d’établissement vient directement du ministère, mais une grande partie est retournée à l’école.
6. Élections au Conseil d’établissement et au comité de parents
6.1. Nomination d’un président et d’un secrétaire d’électionsMarie-Ève … propose Marie-Hélène Tremblay comme présidente des élections, appuyée par Isabelle Drouin.
La proposition est adoptée.
Marie-Hélène Tremblay propose Geneviève Cadieux comme secrétaire des élections, appuyé par Valérie Damoiseau.
La proposition est adoptée.
6.2. Procédure de mises en candidaturesMarie-Hélène Tremblay explique les procédures de mises en candidatures
6.3. Nombre de représentants des parents au CÉ à élire et durée des mandats2 postes de 1 an
3 postes de 2 ans
6.4. Élection au CÉSont candidates :
- Simone BonenfantLes candidates se présentent.
- Claudine Dugas
- Isabelle Drouin
- Valérie Damoiseau
- Julie Lafrenière
- Marie-Claude Bouchard
Les membres procèdent à un vote au bulletin secret.
Après dépouillement, les candidates élues sont :
- Claudine Dugas
- Isabelle Drouin
- Valérie Damoiseau
- Julie Lafrenière
- Marie-Claude Bouchard
6.5. Élection au CPR-CentreL’assemblée générale nomme Claudine Dugas comme représentante au CPR-Centre.
6.6. Nomination d’un substitut au CPRPersonne ne se propose.
7. Formation de l’OPP
8. Formation d’un comité pour la mise en place de deux campagnes de financement école
L’an dernier, le Conseil d’établissement a adopté comme objectif d’organiser une sortie pour toute l’école avec les enseignants : un moment privilégié, passer une journée complète de loisir. Il a été choisi que cette sortie aura lieu au Camp Boute-en-Train à Chertsey. Le dépaert aura lieu à 8h le matin pour toute l’école. Les enfants seront en groupes de 14 avec des animateurs. Les enseignants accompagnent les élèves pour s’amuser. C’est sportif, dehors, nature. C’est 9 autobus scolaires et le coût du camp représente 11 000 $.
Pour que ce soit possible, il faudrait mettre sur pied 2 campagnes de financement : la campagne des oranges à l’automne, une autre campagne au printemps.
Mme Valérie Boucher se propose pour s’occuper de la campagne d’agrumes.
Mme Violaine Gauvreau se propose pour les 2 campagnes.
M. Hugo Roy se propose pour s’occuper de la 2e campagne.
9. Levée de l’assemblée
La levée de l »assemblée est proposé par Marie-Ève …, appuyé par Frédéric Gouin.
La proposition est adoptée et l’assemblée est levée (20h45).
7.1. Règles de fonctionnementMarie-Ève … explique les règles de fonctionnement.
7.2. NominationsMarie-Ève … prend en note la liste des parents qui souhaitent s’impliquer au sein de l’OPP.
8. Formation d’un comité pour la mise en place de deux campagnes de financement école
L’an dernier, le Conseil d’établissement a adopté comme objectif d’organiser une sortie pour toute l’école avec les enseignants : un moment privilégié, passer une journée complète de loisir. Il a été choisi que cette sortie aura lieu au Camp Boute-en-Train à Chertsey. Le dépaert aura lieu à 8h le matin pour toute l’école. Les enfants seront en groupes de 14 avec des animateurs. Les enseignants accompagnent les élèves pour s’amuser. C’est sportif, dehors, nature. C’est 9 autobus scolaires et le coût du camp représente 11 000 $.
Pour que ce soit possible, il faudrait mettre sur pied 2 campagnes de financement : la campagne des oranges à l’automne, une autre campagne au printemps.
Mme Valérie Boucher se propose pour s’occuper de la campagne d’agrumes.
Mme Violaine Gauvreau se propose pour les 2 campagnes.
M. Hugo Roy se propose pour s’occuper de la 2e campagne.
9. Levée de l’assemblée
La levée de l »assemblée est proposé par Marie-Ève …, appuyé par Frédéric Gouin.
La proposition est adoptée et l’assemblée est levée (20h45).
Un enseignant sur dix a obtenu un congé de maladie prolongé en 2011 • National • 98,5 fm Montréal
(Cogeco Nouvelles) - Près d'un enseignant sur dix au Québec s'est retrouvé en congé de maladie de longue durée l'an dernier, la plupart pour épuisement professionnel.
Pour écouter le reportage et lire la suite de l'article: ici
27 septembre 2012
Réussir sa 6e année en 5 mois, est-ce réaliste?
Pour se renseigner sur l'anglais intensif:
http://www.anglaisintensifauprimaire.com/index.php?id=8151
http://www.anglaisintensifauprimaire.com/index.php?id=8151
L’année scolaire la plus importante de toutes
Le saviez-vous? Il existe une année, dans toute la scolarité de vos enfants, bien plus importante que les autres. Fondamentale, en fait. Celle qui déterminera si vos enfants réussiront, ou pas. Carrément.
C’est du moins ce qui ressort de récentes études, dont les résultats sont rapportés ici, dans le magazine Time. Et de quelle année s’agit-il, à votre avis? Non, pas de la première année, ni non plus du secondaire trois. Mais bien … de la troisième année du primaire!
Pourquoi celle-là? Parce qu’il s’agirait d’une année clé dans l’évolution de la lecture. L’année où la lecture cesse d’être une lecture d’histoires, pour devenir une lecture d’information. L’année où l’on lit pour apprendre, donc, et non plus pour se divertir. Conséquence: c’est ici que les meilleurs apprendront davantage, et que les moins bons prendront du coup du retard. Toujours d’après les dernières études sur la question, les élèves de troisième année les moins doués pour la lecture seraient aussi quatre fois plus à risque de décrocher que les plus doués. D’où l’accent mis sur cette année charnière.
Qu’en pensez-vous? Je ne sais pas si vous avez un enfant en troisième année, mais personnellement, je trouve cette information à la fois terriblement intéressante et stressante…
26 septembre 2012
Dangereux, marcher pour aller à l’école en ville?|La mère blogue
Mes deux filles marchent pour aller à l’école toutes seules, depuis cette année. À sept et dix ans, je me suis dit qu’il était temps. En plus, avec mon petit bébé à la maison, disons que j’ai d’autres chats à fouetter. Il était temps de les responsabiliser. Et sans blague, j’adore ça. Elles reviennent si fières le soir, c’est adorable. Mes deux grandes ont pris un coup de vieux!
Vrai, parfois, elles sont quelques minutes en retard: “il y avait un gros camion qui bloquait le trottoir, on a dû attendre”. Vrai, souvent, ces jours-ci, les trottoirs sont bloqués, pour toutes sortes de raisons: travaux, rénos, etc. C’est le règne du cône orange. Vrai, aussi, il n’y a plus de brigadier le soir, au coin de ma rue. Pour une question de délimitation du quartier, le temps que mes filles reviennent de l’école, à 16h, le brigadier est déjà parti.
Est-ce que tout cela me fait peur? Non. Est-ce que, à la lecture denouvelles comme celles-ci, qui indiquent qu’il est plus dangereux pour les enfants de Montréal de marcher pour aller à l’école, je vais changer d’avis? Non plus. À un moment donné, on ne peut plus tout contrôler. Mais ça, c’est mon avis.
Et vous? Qu’en pensez-vous? Les dangers de la ville vous font-ils peur pour vos enfants? Votre verdict: à pied, ou pas?
Vrai, parfois, elles sont quelques minutes en retard: “il y avait un gros camion qui bloquait le trottoir, on a dû attendre”. Vrai, souvent, ces jours-ci, les trottoirs sont bloqués, pour toutes sortes de raisons: travaux, rénos, etc. C’est le règne du cône orange. Vrai, aussi, il n’y a plus de brigadier le soir, au coin de ma rue. Pour une question de délimitation du quartier, le temps que mes filles reviennent de l’école, à 16h, le brigadier est déjà parti.
Est-ce que tout cela me fait peur? Non. Est-ce que, à la lecture denouvelles comme celles-ci, qui indiquent qu’il est plus dangereux pour les enfants de Montréal de marcher pour aller à l’école, je vais changer d’avis? Non plus. À un moment donné, on ne peut plus tout contrôler. Mais ça, c’est mon avis.
Et vous? Qu’en pensez-vous? Les dangers de la ville vous font-ils peur pour vos enfants? Votre verdict: à pied, ou pas?
22 septembre 2012
Visualiser le futur des technologies éducatives
« 65% des écoliers d'aujourd'hui pratiqueront, une fois diplômés, des métiers qui n'ont même pas encore été inventés », estimele Département d'Etat américain du Travail. D'où la nécessité d'essayer d'anticiper la manière dont les technologies peuvent évoluer, et comment nous pourrons les intégrer dans nos écoles. [...]
La suite ici
13 septembre 2012
Parascolaire ou pas???
Publié sur: Le journal d'Annie
Entre les rendez-vous annuels pour les enfants, le magasinage qui a des allures de jeux olympiques et les rencontres de parents de début des classes, j’ai réfléchi si j’offrais ou non des activités parascolaires à mes enfants. Il faut savoir que dans le passé je trouvais ça de trop que de faire subir ces activités à mes enfants.
J’ai animé dans le Mouvement scout dans mon temps de ‘’sans enfants’’ et j’ai vu beaucoup d’abus des parents face aux activités parascolaire ce qui m’a fait peur. Voici un exemple parmi ce que j’ai vu : Un jour nous partons en camps d’été d’une semaine avec des jeunes filles âgées entre 9 et 12 ans. À notre retour on n’est pas descendu de l’autobus qu’un parent me dit qu’elle a préparé un deuxième sac pour sa fille et qu’elle était attendue dans un autre camp de spécialité pour une autre semaine dans la même journée!!! Ouf c’est fou!! Ça m’a fait quelque chose car la jeune fille était fatiguée et surement avait-elle besoin d’être dans ses affaires et sa famille.
Mais où est le temps que de jouer dehors faisait partie des activités les plus courues après les devoirs? J’adorais jouer à ‘’Kick la canne’’ pendant des heures. Retrouver mes amis au parc était des rencontres inoubliables.
On est influencé beaucoup par la société qui nous pousse à faire de la performance une valeur dans notre rôle de parent.
J’ai peur de manquer de temps dans un horaire déjà assez charger. Je ne voudrais pas que la vie de la famille soit gérer par tous ses occupations et en souffre.
Comme je suis perplexe je vais essayer cette année de donner la possibilité à mes enfants de faire des activités intéressantes. Je vais y aller avec des activités physiques car le manque d’activité physique dans nos écoles me préoccupe beaucoup.
J’ai commencé par consulter le pamphlet des activités dans le milieu communautaire où on peut trouver des activités à peu de frais. Ensuite j’ai consulté le cahier des activités offertes par ma ville. Je trouve très malheureux les couts onéreux car les familles à faible revenu peuvent y voir un obstacle de taille.
Pour chaque enfant j’ai choisi trois ou quatre idées selon leur personnalité et leurs intérêts. Ensuite je me suis assisse avec chacun pour savoir quel était leur choix.
- Mon Ado de 12 ans a décidé de continuer des activités pour enfants TED (autisme) car son besoin est de se retrouver avec des jeunes comme lui (comme il dit) Comme il est dans un groupe régulier la semaine c’est comme une soupape ces activités.
- Ma grande fille de 7 ans a choisi un cours d’Accro-corde. C’est une petite fille qui adore bouger et danser.
- Mon petit bonhomme de 5 ans on l’a inscrit à un cours de danse (initiation) car il a du rythme et adore la musique. Il a aussi un besoin de bouger assez prononcé.
Alors pour terminer je vais prendre l’année pour juger de l’importance de ses activités et je vous en reparle ;)
Entre les rendez-vous annuels pour les enfants, le magasinage qui a des allures de jeux olympiques et les rencontres de parents de début des classes, j’ai réfléchi si j’offrais ou non des activités parascolaires à mes enfants. Il faut savoir que dans le passé je trouvais ça de trop que de faire subir ces activités à mes enfants.
J’ai animé dans le Mouvement scout dans mon temps de ‘’sans enfants’’ et j’ai vu beaucoup d’abus des parents face aux activités parascolaire ce qui m’a fait peur. Voici un exemple parmi ce que j’ai vu : Un jour nous partons en camps d’été d’une semaine avec des jeunes filles âgées entre 9 et 12 ans. À notre retour on n’est pas descendu de l’autobus qu’un parent me dit qu’elle a préparé un deuxième sac pour sa fille et qu’elle était attendue dans un autre camp de spécialité pour une autre semaine dans la même journée!!! Ouf c’est fou!! Ça m’a fait quelque chose car la jeune fille était fatiguée et surement avait-elle besoin d’être dans ses affaires et sa famille.
Mais où est le temps que de jouer dehors faisait partie des activités les plus courues après les devoirs? J’adorais jouer à ‘’Kick la canne’’ pendant des heures. Retrouver mes amis au parc était des rencontres inoubliables.
On est influencé beaucoup par la société qui nous pousse à faire de la performance une valeur dans notre rôle de parent.
J’ai peur de manquer de temps dans un horaire déjà assez charger. Je ne voudrais pas que la vie de la famille soit gérer par tous ses occupations et en souffre.
Comme je suis perplexe je vais essayer cette année de donner la possibilité à mes enfants de faire des activités intéressantes. Je vais y aller avec des activités physiques car le manque d’activité physique dans nos écoles me préoccupe beaucoup.
J’ai commencé par consulter le pamphlet des activités dans le milieu communautaire où on peut trouver des activités à peu de frais. Ensuite j’ai consulté le cahier des activités offertes par ma ville. Je trouve très malheureux les couts onéreux car les familles à faible revenu peuvent y voir un obstacle de taille.
Pour chaque enfant j’ai choisi trois ou quatre idées selon leur personnalité et leurs intérêts. Ensuite je me suis assisse avec chacun pour savoir quel était leur choix.
- Mon Ado de 12 ans a décidé de continuer des activités pour enfants TED (autisme) car son besoin est de se retrouver avec des jeunes comme lui (comme il dit) Comme il est dans un groupe régulier la semaine c’est comme une soupape ces activités.
- Ma grande fille de 7 ans a choisi un cours d’Accro-corde. C’est une petite fille qui adore bouger et danser.
- Mon petit bonhomme de 5 ans on l’a inscrit à un cours de danse (initiation) car il a du rythme et adore la musique. Il a aussi un besoin de bouger assez prononcé.
Alors pour terminer je vais prendre l’année pour juger de l’importance de ses activités et je vous en reparle ;)
10 septembre 2012
Conférence - Internet et la cyber intimidation
INVITATION À TOUS LES PARENTS DE LA CSDM
CONFÉRENCE
Internet et la cyber intimidation
Le jeudi 27 septembre 2012
Organisateur : Comité central des parents de la CSDM
Conférencière: Madame Chantal Labrèche, Club optimiste Montréal – Ahunstic Inc.
Lieu : Auditorium de l’école Marguerite-De Lajemmerais
5555, rue Sherbrooke Est, près du boul. l’Assomption
Accueil à partir de 18:30
Conférence : de 19 h à 21h00
Les statistiques montrent que 99 % des adolescents/adolescentes ont accès à Internet et 94 % des élèves ont admis avoir été cyber intimidés et ne pas en avoir averti un adulte. Ce n'est pas une mince affaire de protéger les enfants de votre collectivité.
Conférencière: Madame Chantal Labrèche, Club optimiste Montréal – Ahunstic Inc.
Lieu : Auditorium de l’école Marguerite-De Lajemmerais
5555, rue Sherbrooke Est, près du boul. l’Assomption
Accueil à partir de 18:30
Conférence : de 19 h à 21h00
Les statistiques montrent que 99 % des adolescents/adolescentes ont accès à Internet et 94 % des élèves ont admis avoir été cyber intimidés et ne pas en avoir averti un adulte. Ce n'est pas une mince affaire de protéger les enfants de votre collectivité.
Cette soirée est offerte aux parents pour les sensibiliser aux pièges qui guettent les jeunes, à leur insu, dans Internet. On y trouve de l'information et des suggestions, à l'intention des adultes, sur la façon de protéger les jeunes qui naviguent dans le cyberespace.
Prochaines conférences :
- Jeudi 11 octobre 2012 : Conférencier M. Robert Darche – Les devoirs et les leçons
- Jeudi 25 octobre 2012 : Conférencier M. Denis Carignan – Accompagner mon ado
- Samedi 3 novembre 2012 : Conférencier M. Serge Lanoue – Estime de soi
- Jeudi 22 novembre 2012 : Conférencière Mme Christiane Sylvestre – Vivre avec le TDHA au quotidien
- Jeudi 6 décembre 2012 : Conférencières Mmes Linda Gravel et Linda Mastrovito – La discipline… pour être moins en réaction
30 août 2012
When to Brief the Teacher, and When to Bite Your Tongue - NYTimes.com
When to Brief the Teacher, and When to Bite Your Tongue
By KJ DELL'ANTONIA
Is your child left-handed? Left-brained? Sensitive to feeling left out? And to the extent you know that these things impact her schoolwork, how much of a heads-up will you give her teachers before or around the first day of school?
The question of whether to brief the teacher on your child’s particular quirks or learning style is one that dogs parents of typically developing children at the start of every school year. Of course, we know our children best. We know which ones weep in frustration over a setback, which will listen to verbal instructions and which need to be shown, and which just need to be allowed to make their own mistakes. Why not help the teacher get them off to a good start?
Is your child left-handed? Left-brained? Sensitive to feeling left out? And to the extent you know that these things impact her schoolwork, how much of a heads-up will you give her teachers before or around the first day of school?
The question of whether to brief the teacher on your child’s particular quirks or learning style is one that dogs parents of typically developing children at the start of every school year. Of course, we know our children best. We know which ones weep in frustration over a setback, which will listen to verbal instructions and which need to be shown, and which just need to be allowed to make their own mistakes. Why not help the teacher get them off to a good start?
29 août 2012
Honor Code
Henry V is one of Shakespeare’s most appealing characters. He was rambunctious when young and courageous when older. But suppose Henry went to an American school.
By about the third week of nursery school, Henry’s teacher would be sending notes home saying that Henry “had another hard day today.” He was disruptive during circle time. By midyear, there’d be sly little hints dropped that maybe Henry’s parents should think about medication for attention deficit hyperactivity disorder. Many of the other boys are on it, and they find school much easier.
By elementary school, Henry would be lucky to get 20-minute snatches of recess. During one, he’d jump off the top of the jungle gym, and, by the time he hit the ground, the supervising teachers would be all over him for breaking the safety rules. He’d get in a serious wrestling match with his buddy Falstaff, and, by the time he got him in a headlock, there’d be suspensions all around.
By about the third week of nursery school, Henry’s teacher would be sending notes home saying that Henry “had another hard day today.” He was disruptive during circle time. By midyear, there’d be sly little hints dropped that maybe Henry’s parents should think about medication for attention deficit hyperactivity disorder. Many of the other boys are on it, and they find school much easier.
By elementary school, Henry would be lucky to get 20-minute snatches of recess. During one, he’d jump off the top of the jungle gym, and, by the time he hit the ground, the supervising teachers would be all over him for breaking the safety rules. He’d get in a serious wrestling match with his buddy Falstaff, and, by the time he got him in a headlock, there’d be suspensions all around.
Je marche, tu marches, nous…
par André Desgagné, directeur au primaire
La belle saison est à nos portes et différents organismes nous proposeront des activités physiques pour améliorer l’état de notre santé et prolonger notre espérance de vie. Nous constatons également qu’il existe plusieurs campagnes de sensibilisation afin de nous inviter à porter une attention particulière à notre forme physique et à modifier notre régime alimentaire.
Il est évident que plus la sensibilisation s’effectue en bas âge, plus un enfant sera susceptible d’adopter une saine alimentation et des habitudes de vie promouvant l’activité physique. Le milieu familial ainsi que le milieu scolaire ont tout intérêt à collaborer afin d’influencer positivement nos jeunes.
Dans mon établissement scolaire, ces deux composantes constituent la pierre angulaire de notre projet éducatif.
Dans le présent article, je désire vous entretenir d’un projet qu’une enseignante de 3e année est venue me présenter il y a trois ans. Elle désirait inciter ses élèves à relever un défi, celui de marcher un kilomètre tous les matins, dès leur arrivée à l’école. À ce moment, je n’entrevoyais pas les effets bénéfiques dont pourraient tirer profit ses élèves. Cependant, aujourd’hui, je ne peux que constater les retombées positives que trois cohortes d’élèves vivent depuis septembre 2009.
Composantes du projet
Sécurité : Dès leur arrivée, à l’école, les élèves déposent leur sac au sol et dès le son de la cloche, ils partent faire le tour du pâté de maisons pour parcourir leur kilomètre. En duo ou en trio, les élèves entreprennent leur marche sur le côté de la rue. Le chef de file et le dernier élève portent un dossard de sécurité. L’enseignante supervise le groupe en faisant la navette entre les premiers marcheurs et les derniers. En début d’année, j’ai remarqué qu’une grande distance séparait les élèves plus rapides des plus lents. Pour résoudre la problématique, des arrêts prédéterminés ont été fixés d’avance. Ces arrêts sont obligatoires et permettent aux élèves de se regrouper.
Avantages : Application des règles de sécurité, respect du terrain d’autrui et des autos
stationnées le long de la rue.
**
Bavardage vs arrivée en classe : L’enseignante me faisait remarquer qu’avant de mettre son projet en place, les élèves étaient bavards lorsqu’ils se présentaient en classe. Nous constatons que pendant la marche, les élèves font leur « bavardage » et leur « social ». Par conséquent, dès qu’ils arrivent à l’école, ils déballent leur sac et sortent leur matériel pour se mettre au travail.
Avantage : Moins de perte de temps pour se mettre à la tâche.
**
Création d’une saine habitude d’exercice physique : Lorsque la température ne permet pas d’entreprendre la marche quotidienne, les élèves se plaignent et demandent à l’enseignante de marcher quand même ou de faire deux kilomètres le lendemain. Dans l’impossibilité de marcher dès l’arrivée le matin, la marche est reportée au cours de la journée.
Avantages : Les élèves ont besoin de cet exercice et commencent à ressentir les effets positifs de celui-ci. Ils deviennent plus actifs et éprouvent le besoin de dépenser leur énergie ou au contraire de l’augmenter. Les enfants sont plus sensibilisés aux distances, car l’enseignante les informe qu’ils ont parcouru la distance d’un marathon, qu’ils se sont rendus à Trois-Rivières, etc.
**
Enseignement en classe : Régulièrement, l’enseignante suscite des discussions afin d’échanger sur les bienfaits de la saine alimentation et de l’activité physique. Les élèves sont convaincus que leur activité quotidienne est bonne pour leur santé.
Avantages : Les élèves éprouvent le goût de se dépasser et de bonnes habitudes se créent.
**
Gestion du stress et du surplus d’énergie : Dans le corridor, près de la porte de classe, deux bicyclettes stationnaires montent la garde. Elles attendent que les élèves qui le désirent viennent les monter. Les élèves qui éprouvent le besoin de dépenser leur énergie ou d’abaisser leur stress s’inscrivent sur une liste pour pédaler à leur rythme, à la condition d’avoir terminé leurs travaux. Même en fin d’année, je suis surpris que l’engouement des élèves demeure pour cette activité.
Avantage : Les élèves qui se sentent trop actifs ou qui veulent se détendre peuvent se prendre en main et ressentir le bienfait de l’exercice.
**
Avant de terminer, j’ai gardé les parents pour la fin. Il est évident que nous avons besoin de leur collaboration, car le projet ne pourrait pas se réaliser. Dès les premiers jours de classe, un sondage est expédié afin d’obtenir leur autorisation pour qu’un tel projet puisse se réaliser. Dès que nous avons compilé tous les résultats, l’activité se met en branle.
Je suis impressionné par le taux d’acceptation des parents, car pendant ces trois années de vécu du projet, ils ont accepté avec un taux de 100%. Je suis encore plus abasourdi de constater que certains parents se joignent à la marche de temps à autre.
Bilan du projet : Distance parcourue chaque année :
2009-2010 : 165 km
2010-2011 : 167 km
2011-2012 : 160 km
*** Par ce projet, nous remarquons une augmentation de la persévérance, de l’endurance physique et du goût de se surpasser chez chacun de nos élèves.
Anecdote
Cette semaine, une élève se présente avec des béquilles. L’enseignante l’autorise à demeurer à l’intérieur pendant que les autres iront marcher. Elle refuse l’offre de sa titulaire et s’est jointe à la marche quotidienne quand même. Il est évident qu’elle a été accompagnée par quelques pairs et qu’elle n’a pas réalisé un temps pour participer aux Olympiques, mais elle a grandement impressionné son directeur.
En terminant, chers lecteurs, j’espère vous avoir convaincus du bienfait de l’exercice et je vous invite à imiter nos élèves pendant la saison estivale.
Je vous souhaite de belles vacances sous le signe de l’activité. N’oubliez pas que la théorie des petits pas vous sera utile si vous n’êtes pas un habitué de l’activité physique.
La belle saison est à nos portes et différents organismes nous proposeront des activités physiques pour améliorer l’état de notre santé et prolonger notre espérance de vie. Nous constatons également qu’il existe plusieurs campagnes de sensibilisation afin de nous inviter à porter une attention particulière à notre forme physique et à modifier notre régime alimentaire.
Il est évident que plus la sensibilisation s’effectue en bas âge, plus un enfant sera susceptible d’adopter une saine alimentation et des habitudes de vie promouvant l’activité physique. Le milieu familial ainsi que le milieu scolaire ont tout intérêt à collaborer afin d’influencer positivement nos jeunes.
Dans mon établissement scolaire, ces deux composantes constituent la pierre angulaire de notre projet éducatif.
Dans le présent article, je désire vous entretenir d’un projet qu’une enseignante de 3e année est venue me présenter il y a trois ans. Elle désirait inciter ses élèves à relever un défi, celui de marcher un kilomètre tous les matins, dès leur arrivée à l’école. À ce moment, je n’entrevoyais pas les effets bénéfiques dont pourraient tirer profit ses élèves. Cependant, aujourd’hui, je ne peux que constater les retombées positives que trois cohortes d’élèves vivent depuis septembre 2009.
Composantes du projet
Sécurité : Dès leur arrivée, à l’école, les élèves déposent leur sac au sol et dès le son de la cloche, ils partent faire le tour du pâté de maisons pour parcourir leur kilomètre. En duo ou en trio, les élèves entreprennent leur marche sur le côté de la rue. Le chef de file et le dernier élève portent un dossard de sécurité. L’enseignante supervise le groupe en faisant la navette entre les premiers marcheurs et les derniers. En début d’année, j’ai remarqué qu’une grande distance séparait les élèves plus rapides des plus lents. Pour résoudre la problématique, des arrêts prédéterminés ont été fixés d’avance. Ces arrêts sont obligatoires et permettent aux élèves de se regrouper.
Avantages : Application des règles de sécurité, respect du terrain d’autrui et des autos
stationnées le long de la rue.
**
Bavardage vs arrivée en classe : L’enseignante me faisait remarquer qu’avant de mettre son projet en place, les élèves étaient bavards lorsqu’ils se présentaient en classe. Nous constatons que pendant la marche, les élèves font leur « bavardage » et leur « social ». Par conséquent, dès qu’ils arrivent à l’école, ils déballent leur sac et sortent leur matériel pour se mettre au travail.
Avantage : Moins de perte de temps pour se mettre à la tâche.
**
Création d’une saine habitude d’exercice physique : Lorsque la température ne permet pas d’entreprendre la marche quotidienne, les élèves se plaignent et demandent à l’enseignante de marcher quand même ou de faire deux kilomètres le lendemain. Dans l’impossibilité de marcher dès l’arrivée le matin, la marche est reportée au cours de la journée.
Avantages : Les élèves ont besoin de cet exercice et commencent à ressentir les effets positifs de celui-ci. Ils deviennent plus actifs et éprouvent le besoin de dépenser leur énergie ou au contraire de l’augmenter. Les enfants sont plus sensibilisés aux distances, car l’enseignante les informe qu’ils ont parcouru la distance d’un marathon, qu’ils se sont rendus à Trois-Rivières, etc.
**
Enseignement en classe : Régulièrement, l’enseignante suscite des discussions afin d’échanger sur les bienfaits de la saine alimentation et de l’activité physique. Les élèves sont convaincus que leur activité quotidienne est bonne pour leur santé.
Avantages : Les élèves éprouvent le goût de se dépasser et de bonnes habitudes se créent.
**
Gestion du stress et du surplus d’énergie : Dans le corridor, près de la porte de classe, deux bicyclettes stationnaires montent la garde. Elles attendent que les élèves qui le désirent viennent les monter. Les élèves qui éprouvent le besoin de dépenser leur énergie ou d’abaisser leur stress s’inscrivent sur une liste pour pédaler à leur rythme, à la condition d’avoir terminé leurs travaux. Même en fin d’année, je suis surpris que l’engouement des élèves demeure pour cette activité.
Avantage : Les élèves qui se sentent trop actifs ou qui veulent se détendre peuvent se prendre en main et ressentir le bienfait de l’exercice.
**
Avant de terminer, j’ai gardé les parents pour la fin. Il est évident que nous avons besoin de leur collaboration, car le projet ne pourrait pas se réaliser. Dès les premiers jours de classe, un sondage est expédié afin d’obtenir leur autorisation pour qu’un tel projet puisse se réaliser. Dès que nous avons compilé tous les résultats, l’activité se met en branle.
Je suis impressionné par le taux d’acceptation des parents, car pendant ces trois années de vécu du projet, ils ont accepté avec un taux de 100%. Je suis encore plus abasourdi de constater que certains parents se joignent à la marche de temps à autre.
Bilan du projet : Distance parcourue chaque année :
2009-2010 : 165 km
2010-2011 : 167 km
2011-2012 : 160 km
*** Par ce projet, nous remarquons une augmentation de la persévérance, de l’endurance physique et du goût de se surpasser chez chacun de nos élèves.
Anecdote
Cette semaine, une élève se présente avec des béquilles. L’enseignante l’autorise à demeurer à l’intérieur pendant que les autres iront marcher. Elle refuse l’offre de sa titulaire et s’est jointe à la marche quotidienne quand même. Il est évident qu’elle a été accompagnée par quelques pairs et qu’elle n’a pas réalisé un temps pour participer aux Olympiques, mais elle a grandement impressionné son directeur.
En terminant, chers lecteurs, j’espère vous avoir convaincus du bienfait de l’exercice et je vous invite à imiter nos élèves pendant la saison estivale.
Je vous souhaite de belles vacances sous le signe de l’activité. N’oubliez pas que la théorie des petits pas vous sera utile si vous n’êtes pas un habitué de l’activité physique.
She Isn't Sexy, She's 7
She Isn’t Sexy, She’s 7
By CORI HOWARD
I am sitting at the dinner table with my 7-year-old daughter and my 10-year-old son. Suddenly, my daughter asks: “What’s passion mean, Mama?” My son, interrupting my chance to explain, answers, “It’s when you’re really into something.”
Then, my daughter asks: “So how do you get passion in your pants?”
If you’re a parent to young children or teenagers, you probably know where this is going. LMFAO, the pop music band, has a song whose lyrics I hear more than a few times a day, sung in pure earnest fervor throughout my house: “There’s passion in my pants and I ain’t afraid to show it, show it, show it. I’m sexy and I know it.”
I am sitting at the dinner table with my 7-year-old daughter and my 10-year-old son. Suddenly, my daughter asks: “What’s passion mean, Mama?” My son, interrupting my chance to explain, answers, “It’s when you’re really into something.”
Then, my daughter asks: “So how do you get passion in your pants?”
If you’re a parent to young children or teenagers, you probably know where this is going. LMFAO, the pop music band, has a song whose lyrics I hear more than a few times a day, sung in pure earnest fervor throughout my house: “There’s passion in my pants and I ain’t afraid to show it, show it, show it. I’m sexy and I know it.”
When middle school students talk dating violence prevention, do the sexes do better together, or apart?
Are Single-Sex Groups Better for Preventing Dating Violence?
By JAN HOFFMAN
With the current national conversation about the reauthorization of the Violence Against Women Act focusing on adults, the notion of dating violence among teenagers seems an afterthought. But despite years of prevention efforts aimed at high school and college students, statistics around intimate violence and older adolescents are stubbornly grim. As I wrote in today’s story, programs are now skewing even younger: the latest drafts of the act make grants eligible to provide services and education to children as young as 11.
Programs for preadolescents tend to have a solidly preventive focus. But even when “dating” is a hazy notion for sixth-graders, the conversations can feel squirmy and self-conscious. When I was in Boise, Idaho, reporting on the Robert Wood Johnson’s Start Strong program, the activities engaged boys and girls together. I wondered whether boys and girls alike would be more candid if they were separated.
With the current national conversation about the reauthorization of the Violence Against Women Act focusing on adults, the notion of dating violence among teenagers seems an afterthought. But despite years of prevention efforts aimed at high school and college students, statistics around intimate violence and older adolescents are stubbornly grim. As I wrote in today’s story, programs are now skewing even younger: the latest drafts of the act make grants eligible to provide services and education to children as young as 11.
Programs for preadolescents tend to have a solidly preventive focus. But even when “dating” is a hazy notion for sixth-graders, the conversations can feel squirmy and self-conscious. When I was in Boise, Idaho, reporting on the Robert Wood Johnson’s Start Strong program, the activities engaged boys and girls together. I wondered whether boys and girls alike would be more candid if they were separated.
L’utilisation des vestes, couvertures et autres objets lestés auprès des enfants : informations, mise en garde et précautions d’usage
par Sybille Pluvinage, rédactrice scientifique
Centre de liaison sur l’intervention et la prévention psychosociales (CLIPP)
Les couvertures et vestes lestées : Qu’est-ce que c’est?
Les couvertures et les vestes lestées sont des accessoires qui peuvent être utilisés par des professionnels de la santé comme des ergothérapeutes, ainsi que par des parents ou des éducateurs. Les couvertures lestées ressemblent à des couvertures en tissu rembourrées avec des écales de sarrasin ou des billes d’acier, alors que les vestes lestées ressemblent à de petits gilets sans manche munis de poches sur les côtés et dans le dos dans lesquelles des poids sont déposés. Ces produits sont offerts en vente libre, particulièrement sur le web, et ne répondent à aucune règle spécifique de
Quand est-ce utilisé?
Ces accessoires sont particulièrement employés auprès d’enfants ayant un trouble envahissant du développement, une déficience physique ou intellectuelle, des troubles de l’apprentissage, des troubles de l’attention avec hyperactivité ou des troubles de la communication. Selon certaines approches thérapeutiques, leur usage est censé produire un effet calmant, une baisse d’anxiété ainsi que favoriser la concentration.
Est-ce efficace et sécuritaire?
Bien que ces objets soient d’apparence banale, il est important de bien connaitre les mises en garde et les précautions d’usage à leur sujet. En effet, l’efficacité de ces objets n’est pas démontrée et leur sécurité n’est pas assurée.
L’usage des couvertures et vestes lestées est inspiré d’une approche appelée intégration sensorielle qui viserait à recentrer et à augmenter le niveau d’attention. Cependant, aucune étude ne permet de conclure à l’efficacité de cette approche et nous ignorons si leur utilisation a des effets positifs.
De plus, un mauvais usage de ces objets comporte des risques. Il en est de même lorsqu’ils sont utilisés sur des enfants qui présentent des troubles de santé précis.
Mise en garde et précaution d’usage
Pour les raisons que nous venons d’énumérer, nous vous invitons à prendre connaissance des mises en garde et les précautions d’usage présentées dans les lignes qui suivent :
Conditions d’usage générales :
En aucun cas, les couvertures et les vestes lestées ne doivent être portées par un enfant qui présente l’une des conditions suivantes : problèmes respiratoires, circulatoires ou cardiaques, épilepsie, hypotonie importante et problèmes cutanés. Il faut donc obtenir d’un professionnel de la santé l’assurance que la couverture n’est pas contre-indiquée pour l’enfant.
Il faut que la constitution physique de l’enfant soit prise en compte dans le calcul du poids de la couverture ou de la veste utilisée.
Il ne faut jamais que la tête de l’enfant soit ou puisse être recouverte par la couverture.
Il faut s’assurer que les signes vitaux de l’enfant puissent toujours être observés.
Il ne faut jamais qu’un enfant soit roulé dans une couverture, à moins qu’un thérapeute soit constamment à ses côtés.
Il ne faut jamais laisser un enfant sans surveillance.
Il faut que l’enfant puisse sortir de la couverture facilement, s’il le désire. Ce n’est pas une contention.
L’enfant doit exprimer un accord, même s’il est non verbal.
Dans le cadre spécifique d’une utilisation à des fins thérapeutiques :
L’utilisation doit être justifiée par des objectifs clairs et mesurables permettant de l’intégrer au plan d’intervention individualisé ou au plan de services.
Le plan d’intervention individualisé ou le plan de services doit prévoir des évaluations périodiques de l’efficacité des vestes lestées et des couvertures, et doit être effectué par un intervenant dûment formé.
L’utilisation de la couverture ou de la veste lestée doit cesser si les bénéfices escomptés ne se réalisent pas.
Tous les intervenants doivent informer les utilisateurs que l’efficacité thérapeutique des vestes et couvertures lestées n’est pas démontrée.
L’utilisation des couvertures et des vestes lestées ne doit jamais être privilégiée aux dépens d’interventions dont l’efficacité a été démontrée scientifiquement.
Conclusion
Les couvertures et les vestes lestées sont souvent présentées comme possiblement thérapeutiques par les fabricants et les détaillants. Leur publicité peut donc laisser croire que leur efficacité est démontrée scientifiquement et que ces accessoires sont sans danger, alors que ce n’est pas le cas. Il est donc important que les parents et les intervenants soient informés des mesures à prendre pour en faire un usage sécuritaire qui respecte soigneusement les recommandations dont nous venons de vous faire part.
Si vous désirez en savoir plus à propos des couvertures et des vestes lestées, vous pouvez télécharger un condensé sur le site de l’INESSS et sur celui du CLIPP :
- CLIPP : www.clipp.ca
- INSTITUT NATIONAL D’EXCELLENCE EN SANTÉ ET EN SERVICES SOCIAUX : www.inesss.qc.ca
D’autres organisations peuvent aussi vous renseigner sur le sujet :
BUREAU DU CORONER : www.coroner.gouv.qc.ca
FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L’AUTISME : www.autisme.qc.ca
ORDRE DES PSYCHOÉDUCATEURS ET PSYCHOÉDUCATRICES DU QUÉBEC :www.ordrepsed.qc.ca
ORDRE DES ERGOTHÉRAPEUTHES DU QUÉBEC : www.oeq.org
SOCIÉTÉ CANADIENNE DE L’AUTISME : www.autismsocietycanada.ca
Centre de liaison sur l’intervention et la prévention psychosociales (CLIPP)
Les couvertures et vestes lestées : Qu’est-ce que c’est?
Les couvertures et les vestes lestées sont des accessoires qui peuvent être utilisés par des professionnels de la santé comme des ergothérapeutes, ainsi que par des parents ou des éducateurs. Les couvertures lestées ressemblent à des couvertures en tissu rembourrées avec des écales de sarrasin ou des billes d’acier, alors que les vestes lestées ressemblent à de petits gilets sans manche munis de poches sur les côtés et dans le dos dans lesquelles des poids sont déposés. Ces produits sont offerts en vente libre, particulièrement sur le web, et ne répondent à aucune règle spécifique de
Quand est-ce utilisé?
Ces accessoires sont particulièrement employés auprès d’enfants ayant un trouble envahissant du développement, une déficience physique ou intellectuelle, des troubles de l’apprentissage, des troubles de l’attention avec hyperactivité ou des troubles de la communication. Selon certaines approches thérapeutiques, leur usage est censé produire un effet calmant, une baisse d’anxiété ainsi que favoriser la concentration.
Est-ce efficace et sécuritaire?
Bien que ces objets soient d’apparence banale, il est important de bien connaitre les mises en garde et les précautions d’usage à leur sujet. En effet, l’efficacité de ces objets n’est pas démontrée et leur sécurité n’est pas assurée.
L’usage des couvertures et vestes lestées est inspiré d’une approche appelée intégration sensorielle qui viserait à recentrer et à augmenter le niveau d’attention. Cependant, aucune étude ne permet de conclure à l’efficacité de cette approche et nous ignorons si leur utilisation a des effets positifs.
De plus, un mauvais usage de ces objets comporte des risques. Il en est de même lorsqu’ils sont utilisés sur des enfants qui présentent des troubles de santé précis.
Mise en garde et précaution d’usage
Pour les raisons que nous venons d’énumérer, nous vous invitons à prendre connaissance des mises en garde et les précautions d’usage présentées dans les lignes qui suivent :
Conditions d’usage générales :
En aucun cas, les couvertures et les vestes lestées ne doivent être portées par un enfant qui présente l’une des conditions suivantes : problèmes respiratoires, circulatoires ou cardiaques, épilepsie, hypotonie importante et problèmes cutanés. Il faut donc obtenir d’un professionnel de la santé l’assurance que la couverture n’est pas contre-indiquée pour l’enfant.
Il faut que la constitution physique de l’enfant soit prise en compte dans le calcul du poids de la couverture ou de la veste utilisée.
Il ne faut jamais que la tête de l’enfant soit ou puisse être recouverte par la couverture.
Il faut s’assurer que les signes vitaux de l’enfant puissent toujours être observés.
Il ne faut jamais qu’un enfant soit roulé dans une couverture, à moins qu’un thérapeute soit constamment à ses côtés.
Il ne faut jamais laisser un enfant sans surveillance.
Il faut que l’enfant puisse sortir de la couverture facilement, s’il le désire. Ce n’est pas une contention.
L’enfant doit exprimer un accord, même s’il est non verbal.
Dans le cadre spécifique d’une utilisation à des fins thérapeutiques :
L’utilisation doit être justifiée par des objectifs clairs et mesurables permettant de l’intégrer au plan d’intervention individualisé ou au plan de services.
Le plan d’intervention individualisé ou le plan de services doit prévoir des évaluations périodiques de l’efficacité des vestes lestées et des couvertures, et doit être effectué par un intervenant dûment formé.
L’utilisation de la couverture ou de la veste lestée doit cesser si les bénéfices escomptés ne se réalisent pas.
Tous les intervenants doivent informer les utilisateurs que l’efficacité thérapeutique des vestes et couvertures lestées n’est pas démontrée.
L’utilisation des couvertures et des vestes lestées ne doit jamais être privilégiée aux dépens d’interventions dont l’efficacité a été démontrée scientifiquement.
Conclusion
Les couvertures et les vestes lestées sont souvent présentées comme possiblement thérapeutiques par les fabricants et les détaillants. Leur publicité peut donc laisser croire que leur efficacité est démontrée scientifiquement et que ces accessoires sont sans danger, alors que ce n’est pas le cas. Il est donc important que les parents et les intervenants soient informés des mesures à prendre pour en faire un usage sécuritaire qui respecte soigneusement les recommandations dont nous venons de vous faire part.
Si vous désirez en savoir plus à propos des couvertures et des vestes lestées, vous pouvez télécharger un condensé sur le site de l’INESSS et sur celui du CLIPP :
- CLIPP : www.clipp.ca
- INSTITUT NATIONAL D’EXCELLENCE EN SANTÉ ET EN SERVICES SOCIAUX : www.inesss.qc.ca
D’autres organisations peuvent aussi vous renseigner sur le sujet :
BUREAU DU CORONER : www.coroner.gouv.qc.ca
FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L’AUTISME : www.autisme.qc.ca
ORDRE DES PSYCHOÉDUCATEURS ET PSYCHOÉDUCATRICES DU QUÉBEC :www.ordrepsed.qc.ca
ORDRE DES ERGOTHÉRAPEUTHES DU QUÉBEC : www.oeq.org
SOCIÉTÉ CANADIENNE DE L’AUTISME : www.autismsocietycanada.ca
30 mai 2012
PV - Conseil d'établissement du 30 mai 2012
Procès-verbal
Réunion du Conseil d'établissement de l'école Saint-Ambroise
Le mercredi 30 mai 2012 à 19h00
Sous réserve de son approbation lors d'une réunion ultérieure
Sous réserve de son approbation lors d'une réunion ultérieure
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Parents
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Présences
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Équipe-école
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Présences
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Martine Bussières
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Julie Balthazar
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Frédéric Gouin
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Martine Côté
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Catherine Leduc
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Amélie Pelletier-Houde
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Christine Charles
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Annie-Pier Guénette
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Jamie Le Tual
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Sonia Tremblay
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Laurence Boucheron
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Catia Aguzzi
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Marie-Hélène Tremblay
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Karine Hassell
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X
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Geneviève Cadieux, directrice adjointe
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Johanne Lévesque, directrice
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1- Vérification du quorum et ouverture de l’assemblée (19h)
Le quorum est respecté et l’assemblée est ouverte.
2-Adoption de l’ordre du jour (19h10)
Quelques points sont ajoutés. Sonia Tremblay propose l’adoption de l’ordre du jour, appuyée d’Annie-Pier Guénette.
L’ordre du jour est adopté à l’unanimité.
3-Adoption du procès-verbal de la réunion du 25 avril (19h10)
Marie-Hélène Tremblay propose l’adoption du procès-verbal, appuyée de Martine Bussières.
Le procès-verbal est adopté à l’unanimité.
4. Suites au procès-verbal (19h20)
Sortie de fin d’année.
L’école a déjà entamé des recherches pour la sortie de fin d’année 2013.
On cherchait un endroit qui puisse accueillir tous les élèves de l’école, qui offre une alternative en cas de pluie, un ratio intéressant pour que les enseignants puissent participer, des activités variées et intéressantes et un prix abordable.
Le camp Bout-en-train est le seul endroit qui offre tous ces services. Le prix serait entre 18 $ et 24 $ par enfant, incluant le transport. Cette activité nécessiterait deux levées de fonds majeures durant l’année. Les agrumes en automne et une vente de produits équitables et chocolat au printemps ou autre concept ou produits intéressants.
Martine propose aussi une campagne de vente de fromage du Québec. C’est à retenir.
Il faut réserver maintenant pour s’assurer d’avoir une place au mois de juin.
Pour le financement, nous devrions demander aux parents à l’Assemblée générale de début d’année. Nous convenons d’ajouter ce point à l’ordre du jour de l’AG des parents.
La réservation pour la sortie de fin d’année est proposée par Julie Balthazar et appuyée par Martine Côté. La proposition de sortie de fin d’année 2013 est approuvée à l’unanimité.
5. Points de discussion, d’approbation ou d’adoption (19h20)
5.1 Approbation des sorties et activités.
Johanne nous remet le tableau des sorties. Nous ajoutons la sortie aux quilles pour la classe A5.
Frédéric demande une explication quant au nombre de sorties, qui est différent pour chacune des classes. Johanne explique que le nombre de sorties diffère surtout à cause du prix. Le programme École Montréalaise donne aussi la possibilité d’avoir accès à des sorties gratuites(en plus du $ 20. Par élève), mais comme il s’agit de tirages au sort, il n’est pas possible de contrôler quelles classes en bénéficieront.
Les plus jeunes ne se déplaçant pas sur une grande distance à pied, ils doivent payer plus de frais de transport pour les autobus scolaires ce qui fait diminuer la quantité de sorties. La quantité d’enfants par classe fait aussi varier le montant total de la contribution volontaire.
Les enseignantes assurent que le montant de la contribution volontaire des parents est généralement dépensé. Quand il ne reste qu’un montant insuffisant pour organiser une activité, l’argent restant est versé au fonds 4 et utilisé pour la fête de fin d’année ou d’autres événements pour tous les élèves et approuvés par le CÉ.
L’approbation des sorties est proposée par Sonia Tremblay et appuyée par Christine Charles.
Les sorties sont adoptées à l’unanimité.
5.2 Approbation des listes des effets scolaires 2012-2013
Geneviève nous présente les ajustements pour les effets scolaires de 5e année. Christine s’interroge sur le montant important que les parents d’élèves de 4e année doivent débourser. Le tableau blanc interactif justifie l’utilisation de matériel qui est plus onéreux. Et, aussi par le fait que les enseignantes de 4e année utilisent plusieurs cahiers d’activités.
On s’interroge sur l’arrivée d’autres TBI : est-ce que ça amènera une augmentation des coûts pour d’autres élèves?
Marie-Hélène Tremblay propose l’adoption de la liste des effets scolaires, appuyée par Annie-Pier Guénette.
Frédéric s’oppose à l’adoption de la liste des effets scolaires pour la première année car il est en désaccord avec l’achat d’un agenda scolaire.
La liste des effets scolaires est adoptée à la majorité.
5.3 Conférence pour les parents (automne 2012)
Geneviève nous propose une conférence sur la cyber-intimidation. Cette conférence aurait lieu en septembre ou octobre, selon les disponibilités de Madame Bourque.
Frédéric Gouin propose que le budget de perfectionnement du CÉ soit attribué à cette conférence, appuyé par Marie-Hélène Tremblay.
La proposition d’utilisation du budget de perfectionnement pour la conférence de Madame Bourque est adoptée à l’unanimité.
6. Informations
6.1 Service de garde (19h40)
Des avis de paiements en retard ont été envoyés à 39 parents. Il en reste 19 qui n’ont toujours pas d’entente de paiement. Les enfants concernés seront donc privés de service de garde à partir de vendredi.
Une éducatrice du service de garde ramasse des sac-à-dos usagés pour envoyer en Guinée. Johanne enverra un message par courriel aux parents pour les informer de ce projet. Il y aura aussi un message envoyé à la fin de l’année.
6.2 De l’organisme de participation des parents (OPP) (19h55)
Le pique-nique aura lieu le 8 juin. Les tables et chaises sont fournies par la ville de Montréal. L’activité sera remise au 15 juin en cas de pluie. Il y aura vente de hot-dogs et jus, et plusieurs activités au menu.
6.3 De la direction (20h06)
Qualité de l’air
La commission scolaire a trouvé des moisissures dans le local de maternelle. La commission scolaire a déterminé qu’une investigation plus poussée du pavillon Chambord au complet aurait lieu durant le mois de juin pour vérifier la qualité de l’air de l’école. Cette investigation se déroulera le soir et les fins de semaine afin de ne pas déranger les élèves et le personnel.
Situation budgétaire à la CSDM
La commission scolaire a demandé à ses écoles de restreindre leurs dépenses au maximum et de pourvoir au fonctionnement afin de couvrir le déficit budgétaire de la commission scolaire. Johanne nous résume les concessions et leurs effets sur l’école.
Corvée au net
Les compressions budgétaires font que l’activité n’aura pas lieu cette année.
Budget pro forma
En raison des compressions à la commission scolaire, il n’y aura pas de dépôt du budget pro forma, il est remis à l’automne.
Caisse scolaire
On s’interroge sur la pertinence de participer à la caisse scolaire l’an prochain, puisque le règlement de la CSDM interdit la publicité d’organismes privés dans les écoles.
Sonia Tremblay demande le vote à ce sujet.
Le CÉ approuve-t-il la tenue de la caisse scolaire à l’école?
Le CÉ maintient à majorité l’activité de la caisse scolaire pour l’année prochaine.
Nous convenons de documenter la participation à cette activité et de consulter les parents à ce sujet au cours de l’année prochaine.
Calendrier scolaire
Le calendrier est présenté. L’équipe école a tenté d’équilibrer les journées pédagogiques. Il y a par contre plus de journées pédagogiques durant ces journées qu’au milieu de la semaine.
Frédéric s’oppose à cette proposition de calendrier, il préfèrerait qu’il y ait un meilleur équilibre hebdomadaire dans la distribution des journées pédagogiques.
6.4 Du délégué du CPR centre (20h54)
Il n’y avait pas quorum à la dernière rencontre du CPR-centre. Il y a quand même eu des points d’information, notamment un portant sur l’organisation des assemblées générales.
6.5 De la présidence (20h57)
Rencontre de juin : il n’y a pas de budget pro forma, nous avons deux points à discuter : l’ordre du jour de l’assemblée générale et la conférence de septembre. Nous nous rencontrerons le 12 juin 18h chez Catherine.
7. Levée de l’assemblée (21h04)
Proposée par Sonia Tremblay et appuyé par Julie Balthazar
Ordre du jour - Conseil d'établissement du 30 mai 2012
ORDRE DU JOUR
Conseil d’établissement de l’école Saint-Ambroise
Le mercredi 30 mai 2012
Sous réserve de son approbation par les membres
1. Vérification du quorum et ouverture de l’assemblée (19h00)
2. Adoption de l’ordre du jour (19h05)
3. Adoption du procès-verbal du mercredi 25 avril (19h10)
4. Suites au procès-verbal (19h20)
5. Points de discussion, d’approbation ou d’adoption (19h30)
5.1 Approbation des sorties et activités
5.2 Approbation des listes des effets scolaires 2012-2013
5.3 Conférence pour les parents (automne 2012)
6. Informations
6.1 Du service de garde (19h50)
6.2 De l’organisme de participation des parents (OPP) (20h00)
6.3 De la direction (20h10)
- Qualité de l’air – situation et travaux à venir6.4 Du délégué(e) du CPR-Centre (20h40)
- Situation budgétaire de la CSDM
- Corvée au net
- Budget pro forma
6.5 De la présidence (20h50)
7. Levée de l’assemblée (20h50)
16 mai 2012
Amitiés numériques entre profs et élèves: pas dans les écoles publiques de New York | Le Devoir
Par Fabien Deglise 2 mai 2012 11h13 dans Le Devoir
Le printemps annonce généralement la saison des grands ménages et les professeurs qui officient dans les écoles publiques de New York vont devoir certainement se plier à l'exercice... dans leurs amitiés numériques.
Et comment! Tout en reconnaissant l'importance que peuvent jouer les réseaux sociaux dans le processus d'éducation, la Commission scolaire de la ville invite en effet depuis hier tous ses membres à ne plus communiquer avec leurs élèves en passant par leurs comptes personnels. Et ce, histoire d'éviter toutes ambiguïtés et surtout de maintenir une saine distance entre l'éducateur et les oreilles attentives qu'il a parfois en face de lui.
Les amitiés numériques, oui, mais pas entre les profs et les élèves. Le New York City Education Department vient de trancher dans un premier code de conduite touchant les réseaux sociaux, code publié hier et qui appelle les professeurs à la retenue et au jugement lorsque vient le temps de tisser des liens en ligne avec des élèves.
En substance, le document, mis en lumière par le Wall Street Journal, invite les profs à tracer la ligne entre travail et loisir en s'abstenant de communiquer avec leurs élèves par l'entremise de pages personnelles ouvertes sur Twitter ou Facebook.
Sans bannir, ni interdire aux enseignants à investir ces lieux dans leur quotidien éducatif, les autorités scolaires soutiennent même que ces réseaux peuvent être efficacement mis à contribution dans un processus d'enseignement, mais doivent trouver leur place dans un cadre «approprié». Pour cela, la Commission songe d'ailleurs à réclamer une autorisation parentale pour permettre à ses élèves à prendre part à ces conversations numériques.
«À l'ère du numérique, les frontières entre les rapports professionnels et personnels sont parfois brouillées», indique le document. «Dans ces nouveaux espaces de communication en plein développement, nous devons donc chercher et encourager l'exploitation du potentiel de ces univers à des fins éducationnelles, et c'est pour cela que nous devons également encourager un usage approprié et acceptable de ces outils très puissants».
L'adoption de ce manuel pour un bon usage des réseaux sociaux par la gent professorale au temps du 2.0, le premier à l'être dans les écoles publiques de New York, survient alors que le nombre de plaintes portées contre des profs pour comportement inapproprié dans les univers numériques est en pleine croissance depuis 2008, rappelle le New York Times. Les enquêtes à ce sujet sont passées de deux à 59 en deux ans à peine. Et bien sûr, la Commission, en appelant ses enseignants à faire aussi la part des choses en format 2.0, espère que cela va s'arrêter là.
Visiblement très préoccupé par les effets, pervers ou pas, de la modernité sur sa mission première — l'enseignement —, le réseau des écoles publiques de New York multiplie depuis plusieurs mois les prises de position sur le terrain numérique, parfois de manière amusante.
L'automne dernier, la Commission a en effet décrété l'interdiction à tous ses élèves d'entrer dans un de ses établissements avec un téléphone cellulaire. La mesure a fait apparaitre sur les trottoirs de la Grosse Pomme un service de «gardiennage» de ces téléphones dans des camions utilisés généralement pour la vente de nourriture à emporter.
Le printemps annonce généralement la saison des grands ménages et les professeurs qui officient dans les écoles publiques de New York vont devoir certainement se plier à l'exercice... dans leurs amitiés numériques.
Et comment! Tout en reconnaissant l'importance que peuvent jouer les réseaux sociaux dans le processus d'éducation, la Commission scolaire de la ville invite en effet depuis hier tous ses membres à ne plus communiquer avec leurs élèves en passant par leurs comptes personnels. Et ce, histoire d'éviter toutes ambiguïtés et surtout de maintenir une saine distance entre l'éducateur et les oreilles attentives qu'il a parfois en face de lui.
Les amitiés numériques, oui, mais pas entre les profs et les élèves. Le New York City Education Department vient de trancher dans un premier code de conduite touchant les réseaux sociaux, code publié hier et qui appelle les professeurs à la retenue et au jugement lorsque vient le temps de tisser des liens en ligne avec des élèves.
En substance, le document, mis en lumière par le Wall Street Journal, invite les profs à tracer la ligne entre travail et loisir en s'abstenant de communiquer avec leurs élèves par l'entremise de pages personnelles ouvertes sur Twitter ou Facebook.
Sans bannir, ni interdire aux enseignants à investir ces lieux dans leur quotidien éducatif, les autorités scolaires soutiennent même que ces réseaux peuvent être efficacement mis à contribution dans un processus d'enseignement, mais doivent trouver leur place dans un cadre «approprié». Pour cela, la Commission songe d'ailleurs à réclamer une autorisation parentale pour permettre à ses élèves à prendre part à ces conversations numériques.
«À l'ère du numérique, les frontières entre les rapports professionnels et personnels sont parfois brouillées», indique le document. «Dans ces nouveaux espaces de communication en plein développement, nous devons donc chercher et encourager l'exploitation du potentiel de ces univers à des fins éducationnelles, et c'est pour cela que nous devons également encourager un usage approprié et acceptable de ces outils très puissants».
L'adoption de ce manuel pour un bon usage des réseaux sociaux par la gent professorale au temps du 2.0, le premier à l'être dans les écoles publiques de New York, survient alors que le nombre de plaintes portées contre des profs pour comportement inapproprié dans les univers numériques est en pleine croissance depuis 2008, rappelle le New York Times. Les enquêtes à ce sujet sont passées de deux à 59 en deux ans à peine. Et bien sûr, la Commission, en appelant ses enseignants à faire aussi la part des choses en format 2.0, espère que cela va s'arrêter là.
Visiblement très préoccupé par les effets, pervers ou pas, de la modernité sur sa mission première — l'enseignement —, le réseau des écoles publiques de New York multiplie depuis plusieurs mois les prises de position sur le terrain numérique, parfois de manière amusante.
L'automne dernier, la Commission a en effet décrété l'interdiction à tous ses élèves d'entrer dans un de ses établissements avec un téléphone cellulaire. La mesure a fait apparaitre sur les trottoirs de la Grosse Pomme un service de «gardiennage» de ces téléphones dans des camions utilisés généralement pour la vente de nourriture à emporter.
1 mai 2012
Lettre du commissaire (no 536 - 29 avril 2012)
Chers amis, bonsoir,
Avant d'arriver aux nouvelles sur le quartier…
La grève des ados! Je suis en beau maudit!
Je viens de lire la chronique « La grève des ados » de Lysiane Gagnon dans La Presse de samedi! Le ton et le propos sont tellement condescendants! Selon cette analyste, ces « ados » ne comprennent rien de ce qui se passe!
Je comprends un peu! Quand j'ai appris que les ados de l'Académie de Roberval et de Joseph-François Perreault faisaient la grève, j'ai sauté! Que peuvent comprendre ces enfants? J'ai eu cette position pendant quelques jours… et je sais que si mes propres filles, à l'école secondaire, avaient voulu aller en grève, je les aurais obligées à aller en classe sous peine de punition sévère si elles me désobéissaient.
Et puis …, j'ai vécu la journée de mercredi dernier. C'était la journée des jeunes commissaires. Près de 30 leaders étudiants de nos écoles secondaires ont participé à la réunion du caucus avant de siéger au Conseil des commissaires en soirée; pour ma part, j'étais accompagné de leaders étudiants de Père-Marquette, de l'Académie de Roberval et de Georges-Vanier.
Avant d'arriver aux nouvelles sur le quartier…
La grève des ados! Je suis en beau maudit!
Je viens de lire la chronique « La grève des ados » de Lysiane Gagnon dans La Presse de samedi! Le ton et le propos sont tellement condescendants! Selon cette analyste, ces « ados » ne comprennent rien de ce qui se passe!
Je comprends un peu! Quand j'ai appris que les ados de l'Académie de Roberval et de Joseph-François Perreault faisaient la grève, j'ai sauté! Que peuvent comprendre ces enfants? J'ai eu cette position pendant quelques jours… et je sais que si mes propres filles, à l'école secondaire, avaient voulu aller en grève, je les aurais obligées à aller en classe sous peine de punition sévère si elles me désobéissaient.
Et puis …, j'ai vécu la journée de mercredi dernier. C'était la journée des jeunes commissaires. Près de 30 leaders étudiants de nos écoles secondaires ont participé à la réunion du caucus avant de siéger au Conseil des commissaires en soirée; pour ma part, j'étais accompagné de leaders étudiants de Père-Marquette, de l'Académie de Roberval et de Georges-Vanier.
Je précise que le caucus est une rencontre privée marquée par une règle d'or : ce qui s'y dit ne doit pas sortir de la salle, à moins qu'on ne se mette d'accord pour en diffuser des extraits. Autrement dit, on se parle beaucoup plus librement en caucus. Les propos tenus au caucus par les jeunes commissaires m'ont tant impressionné! J'ai l'autorisation de vous raconter une partie de ce qui s'est passé au moment où l'on a abordé la question de la grève dans nos écoles secondaires.
« Je serai à l'université dans trois ou quatre ans. C'est à moi que ça coûtera le plus cher! ». « Mon frère est au CEGEP et entrera à l'université en septembre; je ne veux pas que mes parents payent davantage pour lui… et dans quelques années, davantage pour moi!». Ce sont là les propos tenus par presque tous ces jeunes. Le plus fascinant, c'est que tous les jeunes qui se sont exprimés sur cette question, tous, ont signifié qu'ils avaient l'accord de leurs parents pour sécher les cours et manifester leur solidarité avec leurs aînés, souvent leur grand frère ou leur grande sœur!
Bref, que peuvent comprendre ces enfants? Certainement pas tous les enjeux explicites et implicites dans ce débat, mais, assurément, ils comprennent certains de leurs intérêts et les intérêts de leurs parents! Il est malheureux que Mme Gagnon n'ait pas entendu ces jeunes.
Cela dit, j'ai essayé de faire comprendre à ces leaders deux choses : a) après trois jours de grève, il fallait retourner en classe car la commission scolaire n'a absolument pas les moyens de faire prolonger la session comme cela se fait au CEGEP et à l'université… d'autant plus que les examens sont ministériels (donc à la même date à travers le Québec) et b) qu'il fallait éviter d'impliquer les enfants du premier cycle du secondaire dans ces grèves.
1. L'Académie De Roberval au Conseil des commissaires
Mercredi dernier, le CE et l'OPP de l'Académie De Roberval se sont adressés au Conseil des commissaires. Avec raison, les représentants de l'école voulaient faire valoir leur point de vue quant au projet de déménagement de l'école pour permettre l'agrandissement de l'Hôpital Jean-Talon. Je rappelle que les deux objectifs doivent être atteints en même temps : trouver un espace pour construire une nouvelle Académie De Roberval et, alors, céder l'école actuelle à l'Hôpital Jean-Talon.
Les porte-parole de l'Académie De Roberval ont clairement exposé leur point de vue au conseil des commissaires. Le projet d'agrandissement de l'hôpital est fort noble, comme celui d'assurer aux élèves actuels et futurs de l'Académie De Roberval la formation qui est actuellement offerte par cette institution. Plus précisément, dans tout projet, il faudra respecter les caractéristiques fondamentales de l'Académie De Roberval, caractéristiques notamment relatives à la taille de l'école, au programme d'études et aux règles du bien-vivre collectif.
« Je serai à l'université dans trois ou quatre ans. C'est à moi que ça coûtera le plus cher! ». « Mon frère est au CEGEP et entrera à l'université en septembre; je ne veux pas que mes parents payent davantage pour lui… et dans quelques années, davantage pour moi!». Ce sont là les propos tenus par presque tous ces jeunes. Le plus fascinant, c'est que tous les jeunes qui se sont exprimés sur cette question, tous, ont signifié qu'ils avaient l'accord de leurs parents pour sécher les cours et manifester leur solidarité avec leurs aînés, souvent leur grand frère ou leur grande sœur!
Bref, que peuvent comprendre ces enfants? Certainement pas tous les enjeux explicites et implicites dans ce débat, mais, assurément, ils comprennent certains de leurs intérêts et les intérêts de leurs parents! Il est malheureux que Mme Gagnon n'ait pas entendu ces jeunes.
Cela dit, j'ai essayé de faire comprendre à ces leaders deux choses : a) après trois jours de grève, il fallait retourner en classe car la commission scolaire n'a absolument pas les moyens de faire prolonger la session comme cela se fait au CEGEP et à l'université… d'autant plus que les examens sont ministériels (donc à la même date à travers le Québec) et b) qu'il fallait éviter d'impliquer les enfants du premier cycle du secondaire dans ces grèves.
1. L'Académie De Roberval au Conseil des commissaires
Mercredi dernier, le CE et l'OPP de l'Académie De Roberval se sont adressés au Conseil des commissaires. Avec raison, les représentants de l'école voulaient faire valoir leur point de vue quant au projet de déménagement de l'école pour permettre l'agrandissement de l'Hôpital Jean-Talon. Je rappelle que les deux objectifs doivent être atteints en même temps : trouver un espace pour construire une nouvelle Académie De Roberval et, alors, céder l'école actuelle à l'Hôpital Jean-Talon.
Les porte-parole de l'Académie De Roberval ont clairement exposé leur point de vue au conseil des commissaires. Le projet d'agrandissement de l'hôpital est fort noble, comme celui d'assurer aux élèves actuels et futurs de l'Académie De Roberval la formation qui est actuellement offerte par cette institution. Plus précisément, dans tout projet, il faudra respecter les caractéristiques fondamentales de l'Académie De Roberval, caractéristiques notamment relatives à la taille de l'école, au programme d'études et aux règles du bien-vivre collectif.
Ces propos ont été fort bien accueillis; ils correspondent de fait aux orientations que nous avions déjà déterminées.
2. Commissaires d'un jour
Encore cette année, les commissaires scolaires ont pu être accompagnés par des jeunes à l'occasion de la réunion du Conseil des commissaires d'avril. Mercredi dernier, j'étais donc accompagné de a) Nhat Pham de l'Académie De Roberval b) Valentine Larhentec de l'école Georges-Vanier et c) Annie Thériault et Jennifer Prenda Da Silva de l'école Père-Marquette,
Dans l'après-midi, ces jeunes commissaires ont participé à la réunion du caucus (réunion privée des commissaires où l'on discute des enjeux qui seront publiquement discutés au Conseil) avant de se réunir seuls pour formuler des avis à soumettre publiquement au Conseil. En soirée, les jeunes étaient assis avec moi autour de la table du Conseil. Ils pouvaient intervenir à tout moment dans le débat, ils n'avaient cependant pas le droit de voter.
3. Conférence sur la cyberintimidation
Le CE de l'Académie De Roberval nous offre l'occasion d'entendre cette conférence qui sera prononcée par Mme Sophie Bourque, conseillère en prévention de la violence à la CSDM et spécialiste en cyberintimidation. L'événement se déroulera le jeudi 3 mai à 19 h à l'Académie De Roberval, 1370, rue de Castelneau (derrière l'Hôpital Jean-Talon). La conférencière dressera le portrait de l'intimidation et de la cyberintimidation, elle en décrira les manifestations, expliquera les conséquences de cette forme de violence et offrira des outils pour intervenir auprès des jeunes.
4. Georges-Vanier fait encore sa marque en sport
Les garçons juvéniles AAA soccer ont remporté le championnat provincial au terme d'une saison sans défaite. Les garçons juvéniles AA basketball ont remporté le championnat régional pour une troisième année consécutive; cette équipe est actuellement classée numéro 1 au Québec.
Par ailleurs, il y a eu des défaites crève-cœur. Au soccer, les garçons cadets AA ont perdu en tir de barrage lors de la finale provinciale à Gaspé. Par ailleurs les garçons cadets AA basketball se sont inclinés par un point lors de la finale régionale.
5. La toiture de Victor-Doré
Des gros travaux viendront, mais il faut aller au plus pressé. À sa dernière réunion, le comité exécutif de la CSDM a octroyé un contrat de 1 114 00 $ à une entreprise, la plus basse soumissionnaire conforme, pour la réfection de la toiture de cette école.
6. Inauguration à Marie-Favery
Jeudi prochain, nous marquerons l'ouverture officielle de la nouvelle cour d'école à Marie-Favery. Cela fait des années que des parents se mobilisent pour la réalisation de ce projet… qui aurait pu être reporté. En effet, au cours des deux dernières années, le ministère de l'Éducation a déterminé qu'il fallait décontaminer les cours d'école avant qu'on les aménage; le MELS devait par ailleurs financer la décontamination… mais l'argent n'arrivait pas dans les commissions scolaires!!! Le Conseil des commissaires a donc décidé que les huit projets en attente seraient réalisés immédiatement, la CSDM assumant les frais de décontamination en attente de la subvention (qui était assurée) du MELS.
7. Recherché : colocataire et un 5 1/2
Je reçois ce beau message à diffuser :
Bonjour, nous sommes deux filles dynamiques, non fumeuses, calmes et respectueuses; nous recherchons une personne tranquille qui aime les mini-chiens et Patch, un chat fou mais oh! combien attachant et qui désirerait habiter avec deux personnes vraiment cool à Montréal près d'un métro!!! À qui la magnifique chance???
Par le fait même, nous cherchons un 5 1/2 (3 chambres fermées) près d'un métro soit (Beaubiem, Rosemont ou St-Michel) avec le droit au chien miniature et au chat. On écrit à mariemondou@hotmail.com
Voilà pour ce soir.
Des questions? Des commentaires? Écrivez-moi
Embrassez vos enfants pour moi
Bonne semaine
Kenneth
2. Commissaires d'un jour
Encore cette année, les commissaires scolaires ont pu être accompagnés par des jeunes à l'occasion de la réunion du Conseil des commissaires d'avril. Mercredi dernier, j'étais donc accompagné de a) Nhat Pham de l'Académie De Roberval b) Valentine Larhentec de l'école Georges-Vanier et c) Annie Thériault et Jennifer Prenda Da Silva de l'école Père-Marquette,
Dans l'après-midi, ces jeunes commissaires ont participé à la réunion du caucus (réunion privée des commissaires où l'on discute des enjeux qui seront publiquement discutés au Conseil) avant de se réunir seuls pour formuler des avis à soumettre publiquement au Conseil. En soirée, les jeunes étaient assis avec moi autour de la table du Conseil. Ils pouvaient intervenir à tout moment dans le débat, ils n'avaient cependant pas le droit de voter.
3. Conférence sur la cyberintimidation
Le CE de l'Académie De Roberval nous offre l'occasion d'entendre cette conférence qui sera prononcée par Mme Sophie Bourque, conseillère en prévention de la violence à la CSDM et spécialiste en cyberintimidation. L'événement se déroulera le jeudi 3 mai à 19 h à l'Académie De Roberval, 1370, rue de Castelneau (derrière l'Hôpital Jean-Talon). La conférencière dressera le portrait de l'intimidation et de la cyberintimidation, elle en décrira les manifestations, expliquera les conséquences de cette forme de violence et offrira des outils pour intervenir auprès des jeunes.
4. Georges-Vanier fait encore sa marque en sport
Les garçons juvéniles AAA soccer ont remporté le championnat provincial au terme d'une saison sans défaite. Les garçons juvéniles AA basketball ont remporté le championnat régional pour une troisième année consécutive; cette équipe est actuellement classée numéro 1 au Québec.
Par ailleurs, il y a eu des défaites crève-cœur. Au soccer, les garçons cadets AA ont perdu en tir de barrage lors de la finale provinciale à Gaspé. Par ailleurs les garçons cadets AA basketball se sont inclinés par un point lors de la finale régionale.
5. La toiture de Victor-Doré
Des gros travaux viendront, mais il faut aller au plus pressé. À sa dernière réunion, le comité exécutif de la CSDM a octroyé un contrat de 1 114 00 $ à une entreprise, la plus basse soumissionnaire conforme, pour la réfection de la toiture de cette école.
6. Inauguration à Marie-Favery
Jeudi prochain, nous marquerons l'ouverture officielle de la nouvelle cour d'école à Marie-Favery. Cela fait des années que des parents se mobilisent pour la réalisation de ce projet… qui aurait pu être reporté. En effet, au cours des deux dernières années, le ministère de l'Éducation a déterminé qu'il fallait décontaminer les cours d'école avant qu'on les aménage; le MELS devait par ailleurs financer la décontamination… mais l'argent n'arrivait pas dans les commissions scolaires!!! Le Conseil des commissaires a donc décidé que les huit projets en attente seraient réalisés immédiatement, la CSDM assumant les frais de décontamination en attente de la subvention (qui était assurée) du MELS.
7. Recherché : colocataire et un 5 1/2
Je reçois ce beau message à diffuser :
Bonjour, nous sommes deux filles dynamiques, non fumeuses, calmes et respectueuses; nous recherchons une personne tranquille qui aime les mini-chiens et Patch, un chat fou mais oh! combien attachant et qui désirerait habiter avec deux personnes vraiment cool à Montréal près d'un métro!!! À qui la magnifique chance???
Par le fait même, nous cherchons un 5 1/2 (3 chambres fermées) près d'un métro soit (Beaubiem, Rosemont ou St-Michel) avec le droit au chien miniature et au chat. On écrit à mariemondou@hotmail.com
Voilà pour ce soir.
Des questions? Des commentaires? Écrivez-moi
Embrassez vos enfants pour moi
Bonne semaine
Kenneth
25 avril 2012
PV - Conseil d'établissement du 25 avril 2012
Procès-verbal
Réunion du Conseil d'établissement de l'école Saint-Ambroise
Le mercredi 25 avril 2012 à 19h00
Sous réserve de son approbation lors d'une réunion ultérieure
Sous réserve de son approbation lors d'une réunion ultérieure
Parents
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Présences
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Équipe-école
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Présences
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Martine Bussières
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√
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Julie Balthazar
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√
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Frédéric Gouin
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X
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Martine Côté
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√
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Catherine Leduc
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√
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Amélie Pelletier-Houde
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√
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Christine Charles
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X
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Annie-Pier Guénette
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√
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Jamie Le Tual
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X
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Sonia Tremblay
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√
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Laurence Boucheron
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√
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Catia Aguzzi
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X
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Marie-Hélène Tremblay
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√
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Karine Hassell
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X
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Geneviève Cadieux, directrice adjointe
|
X
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||
Johanne Lévesque, directrice
|
√
|
1- Vérification du quorum et ouverture de l’assemblée (19h03)
Le quorum est respecté et l’assemblée est ouverte.
Jeanne Leclerc et Laurent Mercier, deux élèves de 6e année, nous présentent leur campagne de financement pour le camp d’immersion : vente de bloc-notes recyclés.
2-Adoption de l’ordre du jour (19h05)
L’ordre du jour est lu. L’adoption de l’ordre du jour est proposée par Sonia Tremblay et appuyée par Marie-Hélène Tremblay.
3-Adoption du procès-verbal de la réunion du 28 mars (19h10)
Amélie Pelletier-Houde propose l’adoption du procès-verbal, appuyée par Julie Balthazar.
Le procès verbal est adopté à l’unanimité.
4. Suites au procès-verbal (19h19)
4.1 Proposition de sortie pour campagne de financement 2012-2013
Il n’y a pas de proposition formelle pour l’ activité école de fin d’année qui bénéficierait de campagnes de financement de l’école. Le personnel est d’avis que cette activité devrait avoir lieu dans une base de plein air.
Marie-Hélène propose que la sortie et les campagnes associées soient annoncées à l’assemblée générale des parents du mois de septembre afin de mettre sur pied un comité pour les campagnes de financement.
5. Points de discussion, d’approbation ou d’adoption (19h24)
5.1 Approbation des sorties et activités.
La sortie déjà approuvée au centre Bois de Boulogne a été annulée à cause de la grève des étudiants. Les enseignantes travaillent à remplacer cette activité, la même journée si possible, pour continuer à bénéficier de la navette gratuite. Beaucoup de belles sorties sont prévues d’ici à la fin de l’année.
L’approbation des sorties est proposée par Laurence Boucheron et appuyée par Martine Bussières.
Les sorties sont adoptées à l’unanimité.
6. Informations
6.1 Service de garde (19h30)
Aucun point.
6.2 De l’organisme de participation des parents (OPP) (19h31)
Le pique-nique de fin d’année aura lieu le 8 juin et sera remis au 15 s’il pleut le 8. Biz des « Loco Locas »fera quelques chansons et Les Revenants reviennent pour une petite prestation. Il y aura aussi du maquillage. L’activité aura lieu de 17h30 à 20h30.
L’OPP prévoit aussi engager un «monsieur hot dog» pour permettre à tous les parents de profiter pleinement de cette activité.
Une petite annonce sera mise dans l’info-parents de mai et une invitation sera faite aux parents des futurs élèves de maternelle.
6.3 De la direction (19h35)
Compte-rendu sondage aux parents
Johanne nous présente les résultats du sondage effectué auprès des parents de l’école afin de vérifier si les capsules sur l’écriture et les différents outils sont connus et utilisés. Le tout est en lien avec notre projet éducatif ainsi que notre plan de réussite.. Nous sommes forcés de constater que très peu de parents ont répondu. Les informations qu’on en tire sont intéressantes et nous permettra d’ajuster notre démarche et la façon de communiquer l’information.
Explication de la contribution volontaire.
Suite à une demande d’explications sur l’utilisation des contributions volontaires, Johanne nous explique que la gestion de ce budget est faite pour chaque niveau. Les fonds sont généralement dépensés en totalité. Quand il reste de l’argent, il demeure au fonds 4 et est utilisé pour des activités école pour tous les élèves, après approbation du CÉ.
6.4 Du délégué du CPR-centre (19h45)
Martine demande s’il y a un parent disponible pour remplacer Frédéric au comité sur la sécurité autour des écoles. Il n’y a malheureusement pas de parents du CÉ qui soient disponibles.
6.5 De la présidence (19h52)
Préparation de l’assemblée générale de septembre
Marie-Hélène préparera l’ordre du jour pour l’assemblée générale des parents de septembre prochain pour présentation au CÉ au mois de juin. L’ordre du jour sera ensuite distribué aux parents par le bulletin des enfants au mois de juin.
L’objectif de l’assemblée générale sera orienté vers la formation des comités et l’explication de leur rôle plutôt qu’un bilan extensif des rencontres du CÉ.
Les procès verbaux des dernières assemblées (2010 et 2011) qui devront être approuvés seront disponibles sur le site de l’école, et quelques copies seront disponibles le soir de l’assemblée.
Profil de compétences du gestionnaire (sans Johanne)
Nous remplissons ensemble le profil type du gestionnaire de notre école.
7. Levée de l’assemblée (20h15)
Proposée par Sonia Tremblay et appuyée par Julie Balthazar
Ordre du jour - Conseil d'établissement du 25 avril 2012
ORDRE DU JOUR
Conseil d’établissement de l’école Saint-Ambroise
Le mercredi 25 avril 2012
Sous réserve de son approbation par les membres
1. Vérification du quorum et ouverture de l’assemblée (19h00)
2. Adoption de l’ordre du jour (19h05)
3. Adoption du procès-verbal du mercredi 28 mars (19h10)
4. Suites au procès-verbal (19h20)
4.1 Proposition de sortie pour campagne de financement 2012-2013
5. Points de discussion, d’approbation ou d’adoption (19h30)
5.1 Approbation des sorties et activités
6. Informations
6.1 Du service de garde (19h40)
6.2 De l’organisme de participation des parents (OPP) (19h50)
6.3 De la direction (20h00)
Compte rendu sondage aux parents6.4 Du délégué(e) du CPR-Centre (20h30)
Explication gestion de la contribution volontaire
6.5 De la présidence (20h40)
Préparation de l’assemblée générale de septembre7. Levée de l’assemblée (21h00)
Profil de compétence du gestionnaire (remplir document sans Johanne)
21 avril 2012
Finding an End to the Parent-Teacher Wars
According to Ron Clark, Disney’s American Teacher of the Year, new teachers remain in our profession an average of just four and a half years, “and many of them list ‘issues with parents’ as one of their reasons for throwing in the towel.”
La suite ici: http://parenting.blogs.nytimes.com/2012/04/20/finding-an-end-to-the-parent-teacher-wars/
La suite ici: http://parenting.blogs.nytimes.com/2012/04/20/finding-an-end-to-the-parent-teacher-wars/
18 avril 2012
CPR-Centre - Ordre du jour de la réunion du 16 avril 2012
ASSEMBLÉE RÉGULIÈRE DU COMITÉ DE PARENTS DU RÉSEAU CENTRE
Date : Lundi, le 16 avril 2012
Heure : 19h30
Lieu : Siège social de la CSDM, 3737, rue Sherbrooke est, 5e étage, salle Laure-Gaudreault, Montréal H1X 3B3
ORDRE DU JOUR
1. Mot de bienvenue 19h30
2. Adoption de l’ordre du jour 19h33
3. Adoption du procès-verbal du 19 mars 2012 19h35
3.1 Suivis au procès-verbal
4. Mot de M. Maurice Lachance, directeur du réseau Centre 19h40
4.1 Civisme et éthique
4.2 Autres sujets
5. Mot des commissaires présents 20h00
PAUSE SANTÉ 20h15
6. Mot de la présidente du CPR-Centre, Lynda Laurencelle 20h30
6.1 Rôle, fonctions et pouvoirs (droit de vote ?) des commissaires parents
6.2 Projet de loi 56 : Loi visant à lutter contre l’intimidation et la violence à l’école
6.3 Dossiers à suivre à votre CÉ : Budget, frais exigés aux parents, code de vie
6.4 Correspondance (conférence pour parents portant sur la cyber-intimidation : jeudi 19 avril 2012, école Père-Marquette)
6.5 Information du Comité central des parents
6.5.1 Soirée des bénévoles du 11 avril 2012
6.6 Fédération des comités de parents du Québec : Conseil général, le 28 avril prochain à Québec.
7. Tour de table (si le temps le permet) 21h15
8. Avis de proposition 21h35
9. Questions diverses 21h45
10. Parole aux observateurs 21h55
11. Levée de la réunion 22h00
Date : Lundi, le 16 avril 2012
Heure : 19h30
Lieu : Siège social de la CSDM, 3737, rue Sherbrooke est, 5e étage, salle Laure-Gaudreault, Montréal H1X 3B3
ORDRE DU JOUR
1. Mot de bienvenue 19h30
2. Adoption de l’ordre du jour 19h33
3. Adoption du procès-verbal du 19 mars 2012 19h35
3.1 Suivis au procès-verbal
4. Mot de M. Maurice Lachance, directeur du réseau Centre 19h40
4.1 Civisme et éthique
4.2 Autres sujets
5. Mot des commissaires présents 20h00
PAUSE SANTÉ 20h15
6. Mot de la présidente du CPR-Centre, Lynda Laurencelle 20h30
6.1 Rôle, fonctions et pouvoirs (droit de vote ?) des commissaires parents
6.2 Projet de loi 56 : Loi visant à lutter contre l’intimidation et la violence à l’école
6.3 Dossiers à suivre à votre CÉ : Budget, frais exigés aux parents, code de vie
6.4 Correspondance (conférence pour parents portant sur la cyber-intimidation : jeudi 19 avril 2012, école Père-Marquette)
6.5 Information du Comité central des parents
6.5.1 Soirée des bénévoles du 11 avril 2012
6.6 Fédération des comités de parents du Québec : Conseil général, le 28 avril prochain à Québec.
7. Tour de table (si le temps le permet) 21h15
8. Avis de proposition 21h35
9. Questions diverses 21h45
10. Parole aux observateurs 21h55
11. Levée de la réunion 22h00
Diffamation envers des enseignants : les parents n’ont qu’à bien se tenir!
La profession d’enseignant n’est pas de tout repos. Toutefois, il arrive que ce ne soit pas en raison du comportement des élèves, mais bien de celui de leurs parents.
Tout d’abord, dans Rosenstein c. Kanavaros, les parents, qui avaient intenté un recours contre l’enseignante de leur fils, ont conclu une transaction avec cette dernière, laquelle devait demeurer confidentielle. Or, en sortant de la salle d’audience, ils se sont adressés aux médias relativement à la réputation de l’enseignante. La Cour d’appel a conclu que le juge de première instance n’avait pas erré en concluant que les propos des parents étaient mensongers et que ces derniers avaient agi de mauvaise foi en condamnant l’enseignante sur la place publique, sans lui donner la chance de se défendre. Les parents ont été condamnés à verser plus de 234 000 $ à l’enseignante.
Dans Gagnon c. Sinotte, l’enseignante avait mis en place dans sa classe une aire de retrait pour l’un de ses élèves qui avait un comportement perturbateur. Cette assignation n’était pas permanente puisque l’enfant participait aux activités de groupe et aux ateliers organisés de sa classe. Ce n’était que pour la réalisation de ses travaux individuels qu’il était en retrait, ce qui représentait une durée maximale d’environ une heure par jour, de façon non continue. Or, après que ses parents eurent pris connaissance de cette installation, sans attendre les explications du directeur général de la commission scolaire, ils ont accordé des entrevues à des postes de télévision et de radio pour dénoncer la situation. Ils ont notamment mentionné que leur fils était enfermé dans une cage depuis cinq semaines, qu’il ne participait pas aux récréations et que l’enseignante lui aurait dit : «Retourne dans ta cage, t’as pas d’amis…»
Le juge a conclu que ces propos avaient suscité des sentiments défavorables et constituaient une atteinte à la réputation par le mal qui avait été dit au sujet de l’enseignante et la haine, le mépris ou le ridicule auxquels elle avait été exposée. Se référant à la décision précitée, le juge a décidé que l’enseignante est une professionnelle qui n’occupe pas une fonction publique; le fait que l’enseignement puisse, à certains égards, être un sujet d’intérêt public n’a pas pour effet de transformer le statut de professeur en une fonction publique semblable à celle des politiciens. Comme les parents n’étaient pas fondés à dénoncer sur la place publique les mesures prises par l’enseignante, ils ont été condamnés à lui verser 35 000 $ en dommages-intérêts.
À l’ère où les gens croient pouvoir tout dire au sujet d’autrui, ces décisions démontrent qu’il est beaucoup plus respectueux et moins coûteux de laver son linge sale en privé que sur la place publique. Qu’en pensez-vous?
Tout d’abord, dans Rosenstein c. Kanavaros, les parents, qui avaient intenté un recours contre l’enseignante de leur fils, ont conclu une transaction avec cette dernière, laquelle devait demeurer confidentielle. Or, en sortant de la salle d’audience, ils se sont adressés aux médias relativement à la réputation de l’enseignante. La Cour d’appel a conclu que le juge de première instance n’avait pas erré en concluant que les propos des parents étaient mensongers et que ces derniers avaient agi de mauvaise foi en condamnant l’enseignante sur la place publique, sans lui donner la chance de se défendre. Les parents ont été condamnés à verser plus de 234 000 $ à l’enseignante.
Dans Gagnon c. Sinotte, l’enseignante avait mis en place dans sa classe une aire de retrait pour l’un de ses élèves qui avait un comportement perturbateur. Cette assignation n’était pas permanente puisque l’enfant participait aux activités de groupe et aux ateliers organisés de sa classe. Ce n’était que pour la réalisation de ses travaux individuels qu’il était en retrait, ce qui représentait une durée maximale d’environ une heure par jour, de façon non continue. Or, après que ses parents eurent pris connaissance de cette installation, sans attendre les explications du directeur général de la commission scolaire, ils ont accordé des entrevues à des postes de télévision et de radio pour dénoncer la situation. Ils ont notamment mentionné que leur fils était enfermé dans une cage depuis cinq semaines, qu’il ne participait pas aux récréations et que l’enseignante lui aurait dit : «Retourne dans ta cage, t’as pas d’amis…»
Le juge a conclu que ces propos avaient suscité des sentiments défavorables et constituaient une atteinte à la réputation par le mal qui avait été dit au sujet de l’enseignante et la haine, le mépris ou le ridicule auxquels elle avait été exposée. Se référant à la décision précitée, le juge a décidé que l’enseignante est une professionnelle qui n’occupe pas une fonction publique; le fait que l’enseignement puisse, à certains égards, être un sujet d’intérêt public n’a pas pour effet de transformer le statut de professeur en une fonction publique semblable à celle des politiciens. Comme les parents n’étaient pas fondés à dénoncer sur la place publique les mesures prises par l’enseignante, ils ont été condamnés à lui verser 35 000 $ en dommages-intérêts.
À l’ère où les gens croient pouvoir tout dire au sujet d’autrui, ces décisions démontrent qu’il est beaucoup plus respectueux et moins coûteux de laver son linge sale en privé que sur la place publique. Qu’en pensez-vous?
The Teacher Bias Against Girls and Math
In examining the data from a cohort of 15,000 students from their sophomore year of high school, into higher education and the work force, Catherine Riegle-Crumb found a “subtle” but “definitely present” tendency among high school teachers to deem their white female students less competent than white male students with similar grades and scores, and to consider them less comfortable in a particular math class, or to be less capable of advancing.
... la suite: http://parenting.blogs.nytimes.com/2012/04/11/the-teacher-bias-against-girls-and-math/
AQETA / atelier estime de soi pour enfants du primaire
L’ESTIME DE SOI
Atelier interactif enfants du primaire
Ma fleur de Soi
De 9 h à 11 h 30
COÛT : 20 $
ENDROIT : AQETA, 740 rue St-Maurice, bureau 502, Montréal, métro Square Victoria,
Stationnement rue St-Maurice : 10 $
SUR RÉSERVATION : Christine Couston, developpement.services@aqeta.qc.ca
téléphone : 514-847-1324 poste 23, www.aqeta.qc.ca
L’estime de soi des enfants et des préadolescents du primaire se reflète dans leurs sphères de vie développementale, familiale et relationnelle.
L’atelier La fleur de Soi explore l’univers des enfants et facilite la découverte de leurs caractéristiques, leurs différences, leurs intérêts et leurs appréhen-sions, facteurs pouvant interférer dans leur cheminement académique et social.
La confiance et la communication interactionnelle intégrées au monde de l’en-fance leur permettent d’atteindre la réussite de leur objectif principal soit grandir en s’affirmant dans un milieu propice à leur épanouissement.
Dans une approche ludique, l’enfant pourra commencer à s’interroger sur les particularités qui font de lui un être à part entière et développer sa confiance en lui.
Formatrice : MIREILLE BOISVERT, MA, orthopédagogue, enseignante en forma-tion de base et présecondaire, intervenante en employabilité et conférencière agréée par le Bureau des conférenciers.
Conférence: Cyberintimidation
INVITATION À TOUS LES PARENTS DE LA CSDM
CONFÉRENCE
«Cyber intimidation et autres risques reliés à l'utilisation d'Internet chez les jeunes»
Conférencière : Madame Hélène Jacob , Enseignante ressource à l’école Père Marquette
Lieu : Auditorium de l’école Père Marquette
6030, rue Marquette
Stationnement : Sur les rues Bellechasse, Rosemont et Marquette
Date : Le jeudi 19 avril 2012
Accueil à partir de 18:30
Conférence : de 19 h à 21 h
L'utilisation d'Internet est en constante croissance dans notre monde et donc inévitablement dans celui des jeunes. Ceux-ci forgent un peu plus à chaque jour leur identité numérique. L'ordinateur est un outil de travail, de communication et de divertissement fort intéressant, mais peut comporter certains risques. La cyber intimidation, l’exposition de la vie privée et les cyber prédateurs en sont quelques exemples.
Comment aider son jeune à minimiser les risques de la navigation sur le Web? Comment l'accompagner dans la création d'une identité numérique? Comment réagir si une situation problématique reliée à l'utilisation du Web survient? Comme la prévention passe d'abord et avant tout par l'information, cet atelier a pour but de vous informer tout en vous outillant afin de tirer le meilleur du Web.
Entrée gratuite
Pas de service de garde
Comment aider son jeune à minimiser les risques de la navigation sur le Web? Comment l'accompagner dans la création d'une identité numérique? Comment réagir si une situation problématique reliée à l'utilisation du Web survient? Comme la prévention passe d'abord et avant tout par l'information, cet atelier a pour but de vous informer tout en vous outillant afin de tirer le meilleur du Web.
Entrée gratuite
Pas de service de garde
16 avril 2012
CPR-Centre - PV de la réunion du 16 avril 2012
PROCÈS-VERBAL DE LA RÉUNION RÉGULIÈRE
TENUE LE 16 AVRIL 2012
Abs = Absence Abs-M = Absence motivée
X = pas de délégué, ne compte pas dans le quorum
Quartier 5 :
Académie de Roberval Anne Gillespie D
Georges-Vanier Mark Hird D
Hélène-Boullé Martin Lefrançois D
Lucien-Pagé Pas de délégué X
Marie-Favery Annie Pontbriand Abs
Saint-Barthélemy Virginie Wenglenski D
Saint-Gabriel-Lalemant Pas de délégué X
Saint-Gérard Pas de délégué X
Saint-Grégoire-le-Grand Julie McKenzie Abs
Sainte-Cécile Édith Laperle Abs
Benoit Bourque S
Quartier 6 :
Barclay Mor BA Abs
Barthélemy-Vimont Omar Ben Youssef Abs
Camille-Laurin Pas de délégué X
Quartier 7 :
La Mennais Stéphane Marcouiller Abs
La Petite-Patrie Cathy Morrissette Abs
Robin Long Abs
Madeleine-de-Verchères Rémi Leroux Abs-MPère-Marquette Lynda Laurencelle D
Saint-Ambroise Frédéric Gouin D
Saint-Arsène Éric Fortin Abs-M
Saint-Étienne Claude-Sébastien Jean Abs-M
Julie Dumais S
Quartier 8 :
Alphonse-Desjardins Nathalie Éthier D
Marguerite-de Lajemmerais Pas de CÉ X
Marie-Rollet Nathalie Khayat Abs
Marc Dallaire S
Notre-Dame-du-Foyer Geneviève Beauregard AbsRose-des-Vents Caroline Nadon Abs-M
Mélanie Nadeau S
Saint-Albert-le-Grand Sophie Panneton D
Saint-Émile Mireille Mailloux D
Saint-François-Solano Diego Gallego D
Saint-Jean-de-Brébeuf Pas de délégué X
Saint-Jean-de-la-Lande Michel Ouellet Abs
Saint-Jean-Vianney Joëlle Simard Abs
Saint-Marc Florence Ardanuy Abs-M
Serge Frias S
Sainte-Bernadette-Soubirous Rachid Berki Abs-M
Mouloud Madi S
Sainte-Bibiane Parents à tour de rôle Abs
Sans-Frontières Guylène Dhormes Abs
Invité: Monsieur Maurice Lachance, directeur du réseau Centre
Monsieur Daniel Duranleau, commissaire d’Hochelaga-Maisonneuve
Secrétaire : Diane Roy
1. Ouverture de la réunion et mot de bienvenue
Lynda Laurencelle, la présidente, souhaite la bienvenue à tous.
L’ouverture de la réunion débute à 19h35.
Mme Laurencelle constate qu’il y a quorum.
2. Adoption de l’ordre du jour
M. Frias de l’école St-Marc voudrait aborder le sujet des subventions au service de garde pendant la semaine de relâche.
Ce sujet sera donc ajouté au point 9. : Questions diverses
1. Mot de bienvenueL’adoption de l’ordre du jour tel que modifié est :
2. Adoption de l’ordre du jour
3. Adoption du procès-verbal du 19 mars 2012
3.1 Suivis au procès-verbal
4. Mot de M. Maurice Lachance, directeur du réseau Centre
4.1 Civisme et éthique
4.2 Autres sujets
5. Mot des commissaires présents
6. Mot de la présidente du CPR-Centre, Lynda Laurencelle
6.1 Rôle fonctions et pouvoirs (droit de vote ?) des commissaires parents
6.2 Projet de loi 56 : Loi visant à lutter contre l’intimidation et la violence à l’école
6.3 Dossiers à suivre à votre CÉ : Budget, frais exigés aux parents, code de vie
6.4 Correspondance (conférence pour parents portant sur la cyber-intimidation : jeudi 19 avril 2012, école Père-Marquette)
6.5 Information du Comité central des parents
6.5.1 Soirée des bénévoles du 11 avril 2012
6.6 Fédération des comités de parents du Québec : Conseil général, le 28 avril prochain à Québec
7. Tour de table (si le temps le permet)
8. Avis de proposition
9. Questions diverses
9.1 les subventions au service de garde pendant la semaine de relâche.
10. Parole aux observateurs
11. Levée de la réunion
Proposée par : Mark Hird Appuyée par : Marc Dallaire
Adopté à l’unanimité
3. Adoption du procès-verbal du 19 mars 2012
L’adoption du procès-verbal du 19 mars 2012 est :
Proposée par : Nathalie Éthier Appuyée par : Frédéric Gouin
Adopté à l’unanimité
4. Mot de Maurice Lachance, directeur du réseau Centre
4.1 Civisme et éthique
M. Lachance veut revoir avec les délégués le contenu de la Déclaration de principes sur le civisme et l’éthique à la Commission scolaire de Montréal qui a été adoptée par le Conseil des commissaires, le 21 décembre 2011. C’est en vue de bien s’approprier les valeurs communes et les principes directeurs que l’on retrouve dans ce document.
À l’automne 2012, la CSDM proposera une politique sur le civisme et l’éthique afin d’en préciser les orientations, les balises et les normes.
M. Lachance rappelle que depuis environ 5 ans, un comité a travaillé sur ce dossier pour réaliser des actions afin de nourrir une réflexion sur le civisme. Une journée pédagogique institutionnelle (le 19 novembre 2010) a même permis à toutes les unités administratives de la CSDM de participer ensemble à cette vaste réflexion.
La Déclaration de principes s’appuie sur sept valeurs communes qui sont :
La coopération et la collaborationLa CSDM reconnait trois principes directeurs qui s’appuient sur ces valeurs :
La courtoisie et la politesse
L’effort
L’empathie
L’ouverture d’esprit
Le respect
La responsabilité
Le principe de « prendre soin de l’autre »Un délégué s’interroge sur le fait qu’on n’utilise pas le mot obéissance. Est-ce un mot qui ne fait plus partie du vocabulaire moderne ?
Le principe d’être engagé envers sa communauté
Le principe de la loyauté envers l’institution
Mme Laurencelle fait remarquer que l’utilisation du mot « respect » donne un sens plus large que l’utilisation du mot obéissance, qui aussi véhicule un sens péjoratif. On peut aussi s’appuyer sur la valeur de « la courtoisie et de la politesse ».
Un délégué fait remarquer que la valeur de « l’effort » peut être un facteur de levier pour les enseignants.
4.2 Autres sujets
La rénovation des immeubles de la CSDM
M. Lachance rappelle que la CSDM a un parc immobilier qui comporte beaucoup de vieux bâtiments et que malgré les efforts entrepris ces dernières années (avec l’opération des grands chantiers), il est difficile d’être « au-dessus de ses affaires » en termes de rénovation.
On pense aux cas de mauvaise qualité de l’air survenus récemment dans certaines écoles, ce qui a occasionné le déplacement des élèves dans un autre établissement. Pour ce genre de cas (moisissures) et autres problèmes de rénovation majeure, il faudra envisager d’avoir à notre disposition un immeuble « tampon » qui pourra accueillir les élèves de toute une école, pendant que celle-ci sera rénovée. On sait comment il peut être difficile de faire cohabiter les élèves et le personnel d’une école avec une entreprise de construction qui fait des réparations dans l’école.
Concernant l’école La Petite-Patrie, qui a deux pavillons, M. Lachance annonce qu’il y aura une rénovation majeure qui sera entreprise pendant l’année 2012-2013 dans le pavillon St-Jean-de-la Croix. Tous les élèves de ce pavillon seront transférés dans le pavillon Notre-Dame-de-la-Défense qui a assez de locaux et d’espaces pour intégrer tout le monde.
Lorsque le pavillon St-Jean-de-la-Croix sera rénové, il servira d’école de transition pour d’autres établissements qui auront à « subir » des rénovations importantes.
Concernant les 3 classes d’accueil qui étaient installées dans le pavillon St-Jean-de-la Croix, elles seront relocalisées à l’école St-François-Solano.
M. Diego Gallego, le délégué et aussi président de l’école St-François-Solano se dit surpris d’apprendre cette nouvelle. Il aurait aimé que son CÉ en soit informé, avant cette prise de décision, pour pouvoir en discuter et voir les solutions qui auraient pu être mises de l’avant. Il mentionne que ces classes d’accueil s’ajoutent à d’autres classes d’accueil qui sont déjà dans son école.
M. Lachance rappelle que les élèves de ces classes d’accueil sont des enfants du quartier et qu’il est normal d’implanter ces points de service dans les écoles avoisinantes pour éviter un trop grand déplacement d’enfants par autobus.
Le commissaire, M. Daniel Duranleau, rajoute que tout le monde doit faire un effort pour accommoder les écoles qui subissent ces problèmes. M. Duranleau confirme que la CSDM s’attend à ce que plusieurs écoles, dans un avenir rapproché, auront à déménager temporairement pour faire place aux équipes de rénovation.
À une question de M. Mark Hird, M. Lachance confirme que l’espace occupé par les élèves et le personnel de l’école St-Gérard dans les locaux de l’école secondaire Georges-Vanier, servira aussi de lieu de transition pour des établissements en rénovation.
5. Mot des commissaires présents
M. Daniel Duranleau nous informe qu’un comité du Conseil des commissaires travaille actuellement sur le concept de la commission scolaire nouvelle.
On travaille sur le changement de culture pour en venir à la culture du « oui », à la culture du « possible », à la culture de l’évaluation des services.
Autonomie des écoles ? Il faut tout au moins que l’école tienne compte des besoins du milieu et des besoins de ses élèves.
Coopérative de services ? Il faut libérer les ressources pour plus de services à l’élève, plus de soutien pédagogique.
Revoir la manière dont les parents sont partenaires dans l’école par une stratégie proparents
– Amélioration de la communication
Entre le personnel de l’école et les parentsAvoir des assemblées générales de qualité et faire participer davantage de personnes.
Entre les instances institutionnelles de la CSDM, l’école et les parents
Entre la commission scolaire et le public
Entre les structures internes de la CSDM (structure parents / structure administrative et structure politique)
Entre le bureau du transport et les élèves utilisateurs
En terminant, M. Duranleau attire l’attention des délégués sur un article paru dans le Journal de Montréal de dimanche, intitulé : CSDM, Présidente, ses dépenses en hausse de 60% malgré le déficit important de la commission scolaire.
M. Duranleau se porte à la défense de sa présidente, Mme Diane De Courcy et trouve cet article très tendancieux.
6. Mot de la présidente du CPR-Centre
6.1 Rôle, fonctions et pouvoirs (droit de vote ?) des commissaires parents
Vote des commissaires-parents: Mme Laurencelle, étant aussi commissaire parent, explique les pour et les contre de ce droit de vote qui pourrait être accordé aux commissaires parents et la réalité des différents milieux (autres commissions scolaires du Québec). Peut-être que dans certaines régions le vote serait nécessaire, la réalité n'est pas la même partout.
Les délégués tenaient à connaître la position de Mme Laurencelle. Elle leur a dit qu’elle était contre parce que le pouvoir d'influence était ailleurs et plus efficace ainsi. À la CSDM, les commissaires parents sont invités aux différentes tables de travail, là où les dossiers commencent à être travaillés. Elle estime que le pouvoir d'influencer est plus efficace en amont qu’en fin de parcours.
Après discussion, les délégués se disent toutefois incapable de dire un non ou un oui catégorique, pour le moment.
6.2 Projet de loi 56 : Loi visant à lutter contre l’intimidation et la violence à l’école
Pour les délégués, ce n'est qu'une loi et rien de très concret n’est prévu pour supporter les actions sur le terrain.
Ils veulent s'assurer que les milieux pourront appliquer des moyens propres à leur école et veulent aussi savoir ce qui se fait dans d'autres écoles. Ils veulent pouvoir en discuter au CÉ sans compromis, sans se faire dire qu'il n'y a pas de problème dans leur école. Les délégués souhaitent un soutien de la CSDM et du MELS, pas juste des paroles.
Il y a plusieurs projets intéressants dans certaines écoles, il serait bon de les répertorier pour que les autres CÉ puissent les consulter, ça peut donner des idées.
Voici quelques suggestions faites par les délégués :
LE MICROSITE L'INTIMIDATION, C'EST FINI. MOI, J'AGIS : (moijagis.com).
C’est un outil convivial et accessible principalement destiné aux jeunes, qu'ils soient victimes, témoins ou même intimidateurs, mais il s'adresse également à leurs parents ainsi qu'aux éducateurs. De nombreux renseignements concernant l'intimidation y sont présentés, notamment comment la reconnaître, ce qu'il faut faire lorsqu'un jeune en est victime et quelles sont les ressources d'aide disponibles. Des projets inspirants en matière de lutte contre l'intimidation et la violence seront mis en ligne sur le site d’ici l’automne 2012.
VERS LE PACIFIQUE (école St-François-Solano) par l’Institut Pacifique :
http://www.institutpacifique.com/
L’Institut Pacifique développe des programmes et des services afin de prévenir la violence et les problèmes psychosociaux auprès des jeunes en milieu scolaire et auprès des communautés. L’on sait que la violence sous toutes ses formes (physique, verbale et psychologique) suscite la peur, l’isolement, la tristesse, la colère, etc. envers les individus et les communautés qui en sont victimes. C’est dans le but de prévenir ces problèmes et de bâtir des milieux de vie exempts de violence que l’Institut Pacifique fait la promotion des conduites pacifiques au quotidien.
JEUNES MÉDIATEURS EN LIGNE
Afin de mieux équiper les jeunes à faire face à la violence et à la cyberintimidation, l’Institut Pacifique a lancé le 17 février 2012 un programme novateur et unique en son genre : Jeunes médiateurs en ligne. Cette initiative, permettra à des jeunes médiateurs de 10 à 12 ans d’échanger avec leurs pairs sur les meilleures façons de résoudre les conflits à l’école.
JEUNESSE J’ÉCOUTE : http://jeunessejecoute.ca/
http://jeunessejecoute.ca/Teens/InfoBooth/Bullying.aspx
Dans cette section, Vous pourrez vous renseigner sur les différents types d’intimidation, ce qu’un jeune peux faire si tu es victime d’intimidation, témoin d’intimidation, ou si tu intimides les autres. Vous pourrez aussi y lire l’histoire de jeunes qui ont eu à composer avec l’intimidation.
ATELIERS DE KARATÉ (école St-Marc)
Pour faire passer l’agressivité
ATELIERS SUR LA CYBER INTIMIDATION (école Père-Marquette)
Par l’enseignante ressource, Mme Hélène Jacob
FORMATION DONNÉE AUX PARENTS (école Alphonse-Desjardins)
Par la psychoéducatrice Mme Lucie Théberge. Elle a utilisé la trousse «Sensibilisation à l’agression indirecte » qui a été produite par le CLIPP (Le Centre de liaison sur l’intervention et la prévention psychosociales).
La trousse de sensibilisation à l’agression indirecte a été élaborée dans le but de prévenir, chez les jeunes âgés de 10 à 13 ans, une forme de violence invisible et pernicieuse qui se manifeste fréquemment dans les classes, les cours d'école ou les autobus scolaires. Plutôt que de violence physique, on parle ici de violence psychologique et verbale, d’intimidation et d’agression relationnelle. L’agression indirecte peut prendre diverses formes : dégrader ou ridiculiser un camarade, parler dans le dos d’un camarade, colporter des ragots sur d’autres élèves, influencer des amis à ne pas aimer un autre élève, raconter les secrets confiés par un camarade, etc.
Le contenu de la trousse comprend un DVD, un guide pédagogique et le matériel nécessaire au déroulement des ateliers réparti en trois cahiers : cahier de l’enseignant, de l’élève et du parent.
Coût : 105.00$
http://www.clipp.ca/produits-et-services/trousse-de-sensibilisation-a-l-agressionindirecte.html.
CONFÉRENCE (Académie de Roberval, le 3 mai 2012) : La cyberintimidation : comprendre et passer à l’action. Sujets abordés: la technologie et la dynamique des relations interpersonnelles; l'intimidation; la cyberintimidation; les interventions efficaces (survol); la prévention. Conférencière : Mme Sophie Bourque, conseillère pédagogique à la CSDM
6.3 Dossiers à suivre à votre CÉ : Budget, frais exigés aux parents, code de vie
Budget : Budget pro-forma à adopter avant la fin de l’année scolaire
La brochure sur les frais exigés aux parents est distribuée. Diane Roy vous enverra les tableaux comparatifs qui sont faits par le commissaire Kenneth George au sujet des frais chargés dans les écoles du quartier Villeray –La Petite-Patrie.
Code de vie : Le CÉ approuve les règles de conduite proposées par la direction de l’école (art.76). La direction d’école a le devoir d’élaborer la proposition avec le personnel (art.77)
6.4 Correspondance
Conférence pour parents :
Date : 19 avril 2012, de 19 H 00 à 21 H 30
Lieu: École Père-Marquette, 6030, rue Marquette, Montréal H2G 2Y2
Intervenant: Mme Hélène Jacob
Sujet : Cyber intimidation et autres risques reliés à l’utilisation d’Internet chez les jeunes
6.5 Information du Comité central des parents
6.5.1 Soirée des bénévoles du 11 avril 2012Le prix « MERCI » a été remis à M. Claude Sergerie de l’école Saint-Louis pour son engagement dans le projet de construction d’un véritable costumier pour les élèves en art dramatique.
Le prix « GÉRARDINE-BISSONNETTE » récompense la durée de l’implication d’un parent. Il a été attribué à Mme Maryse Lachapelle de l’école Sophie-Barat pour ses 21 ans de bénévolat.
Le prix « IMPLIC-ACTION » est décerné par le Comité central des parents pour reconnaître la participation active au sein de la structure parentale (OPP, CÉ, CPR, CCP).
Le prix a été remis à M. Daniel Pépin de l’école Louis-Hyppolite Lafontaine pour son rapport exceptionnel à l’organisation de participation de parents (OPP).
6.6 Fédération des comités de parents du Québec (FCPQ)
6.6.1. Le Conseil général aura lieu le 28 avril prochain à Québec.Sujets abordés :
Discussion sur le rôle, les fonctions et les pouvoirs des commissaires parents;
Mise à jour de la position de la Fédération sur la pertinence d’un ordre professionnel des enseignants, considérant que depuis l’adoption de la position, de nouveaux règlements et de nouvelles politiques ont été adoptés par le ministère et les commissions scolaires.
6.6.2 Le 36e congrès annuel : les 1er et 2 juin 2012Voici le lien pour voir le programme et la description des différents ateliers :
http://www.fcpq.qc.ca/fr/congres.html.
7. Tour de table
Il n’y a pas de tour de table
8. Avis de proposition
Aucun avis n’est déposé.
9. Questions diverses
9.1 Les subventions au service de garde lors de la semaine de relâche
M. Frias veut porter à l’attention des délégués le fait que le service de garde de son école était ouvert pendant la semaine de relâche et que les deux derniers jours, au moins une trentaine d’enfants inscrits ne se sont pas présentés, ce qui a entrainé un déficit dans le budget du service de garde. En effet, la subvention du MELS n’a pu être réclamée pour cette trentaine d’enfants.
Une déléguée suggère que le service de garde mette une clause dans ses règlements à l’effet que les parents auront une pénalité si leur enfant est inscrit pour une journée de garde et qu’il ne se présente pas. M. Duranleau veut signaler également qu’il y a un problème important de non-paiement de la mesure alimentaire (0.75¢ pour 1 repas et la surveillance de dîner). Cela représente 1/3 des bénéficiaires de cette mesure. Il faut absolument que les personnes se responsabilisent et assument leur part, si minime soit-elle.
10. Parole aux observateurs
Pas d’observateurs
11. Levée de l’assemblée
La levée de l’assemblée est faite à 21h30
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