Chers amis, Bonjour,
Le printemps est arrivé… mais il continue de faire froid !!
La CSDM dans le livre Guinness
La semaine dernière, c’était la semaine de lecture à la CSDM. Un événement particulier a été organisé, unique au monde. Mardi dernier entre 10 h 45 et 11 h tous les élèves, tout le personnel de la CSDM étaient invités à cesser le travail régulier et à se plonger dans un livre, à lire. Cela devrait constituer un record à noter dans le livre Guinness. Il faut espérer que cette expérience se renouvellera.
Georges-Vanier - encore champion
La semaine dernière se tenait le tournoi régional de basketball et de soccer. L’équipe cadette AA - garçons de soccer de Georges-Vanier a gagné le championnat régional comme l’équipe juvénile AA-garçons basketball.
L’équipe de soccer se rendra à Rimouski la fin de semaine du 1er avril pour la finale provinciale. L’équipe de basket participera au tournoi de Rimouski la semaine suivante. Bravo à ces équipes et à leurs entraîneurs.
Spectacle à l’Académie de Roberval
Jeudi et vendredi derniers, les jeunes de cette école ont présenté leurs talents en spectacle, un spectacle de variétés organisé par le conseil étudiant.
Travaux autour de Saint-Gabriel-Lalemant
J’ai été informé cette semaine de travaux que doivent entreprendre trois grandes institutions autour de l’école Saint-Gabriel-Lalemant : la Ville de Montréal, l’Hôpital Jean-Talon et la CSDM elle-même. Comme je n’étais pas sûr que tous ces acteurs allaient se concerter, je me suis permis de communiquer avec eux pour les inviter à se concerter ; il s’agit de mettre en cause le moins possible la sécurité des enfants qui fréquentent l’école. J’ai suggéré à ces institutions que la meilleure personne pour faire cet exercice de concertation serait la directrice de l’école, madame Nadine Leduc.
Nouveaux préposés à Victor-Doré
À sa dernière réunion, le comité exécutif a décidé de créer deux nouveaux postes de préposés aux élèves handicapés à l’école Victor-Doré.
Nancy Lemay à Saint-Gabriel-Lalemant
À sa dernière réunion, le comité exécutif a reconnu les qualités de gestionnaire de la directrice adjointe de Saint-Gabriel-Lalemant, Madame Nancy Lemay. Les gens de Saint-Ambroise se souviendront certainement de madame Lemay qui a déjà travaillé dans ce milieu.
Le rapport soumis au comité exécutif souligne les excellentes aptitudes et ressources personnelles de madame Lemay, son attention aux autres, sa capacité de s’adapter à ses interlocuteurs, son habileté à planifier et à entrevoir les problèmes, sa capacité de réflexion personnelle et sa capacité de travailler en équipe. Déjà, madame Lemay a à son actif la mise en place d’un programme complet d’activités parascolaires et la création d’un journal mensuel destiné aux parents.
Set de chambre de style antique (Médiéval)
À vendre ! Ensemble complet en pin massif naturel vieilli avec ornements en acier rouillé. Fabriqué au Mexique. L’ensemble comprend une armoire-penderie style grand-père pouvant accueillir un grand téleviseur, un lit queen, une table de chevet avec 3 tiroirs, une commode haute (5 tiroirs), un coffre de bout de lit, une tablette murale (36" x 6"). Le tout pour 1400$. On appelle Cédric au 514.574.2872. Pour voir des photos, on clique sur http://montreal.kijiji.ca/c-buy-and-sell-furniture-multi-item-Set-de-chambre-style-antique-Medieval-W0QQAdldZ7270009145
J’ai vu cet ensemble… il est vraiment remarquable.
Emplois étudiants à la Ville de Montréal
Les emplois étudiants d’été en sports et loisirs sont maintenant affichés sur le site de la Ville de Montréal. Pour plus de renseignements, on peut communiquer avec Michel Saint-Pierre au 514 872-3167.
Logement recherché
Éloise se cherche un logement dans le quartier Rosemont-La-Petite-Patrie pour juillet. Elle vient de commencer à la SODER/éco-quartier et souhaite habiter le quartier.
Eloise est une jeune femme de 28 ans, non fumeuse, tranquille, passionnée de l'environnement. Elle cherche un 5 et demi bien éclairé pour environ 850$ avec deux chambres fermées, plancher de bois franc si possible.
Éloise: (514) 668-9737
Voilà pour cette semaine.
Des questions ? Des commentaires ? Écrivez-moi
Embrassez vos enfants pour moi
Bonne semaine
Kenneth
Pour les parents de l'école St-Ambroise: des infos du CÉ, les PV des réunions, etc. Ceci est un blogue: exprimez-vous, commentez, suggérez, critiquez, ... dans le respect de tous. Seuls les commentaires respectant la "Charte néthique" seront publiés. Pour contacter le Conseil d'établissement: cestambroise@gmail.com
30 mars 2011
CONFÉRENCE « Passage Primaire - Secondaire »

CONFÉRENCE
« Passage Primaire - Secondaire »
De grand du primaire à petit au secondaire...
Ce n'est pas le monde à l'envers...
Entrée gratuite
Stationnement
Pas de service de garde
Organisateur : Comité central des parents de la CSDM
Conférencier : Monsieur Louis Bienvenue, Directeur de l'école Lucien-Pagé
Formation en adaptation scolaire
Plusieurs années comme orthopédagogue en centre jeunesse
5 ans directeur adjoint
9 ans à la direction de l'école Père-Marquette
Lieu : Bibliothèque de l'école Lucien
8200, boulevard Saint-Laurent (voir trajet)
Date : Le jeudi 7 avril
• Accueil à partir de 18 h
• Conférence : de 19 h à 21 h
Comment faciliter ce passage?
Pour réussir cette étape, il ne suffit pas simplement d'en parler, mais de la préparer.
Craintes, interrogations, légendes urbaines, peurs et angoisses : Comment savoir si mon adolescent saura s'adapter au monde des grands du secondaire?
Comprendre les enjeux scolaires et sociaux en accompagnant les jeunes dans une structure souvent méconnue, mais très soucieuse du bien-être des élèves qui arrivent.
Vous désirez avoir l'heure juste sur ce qui attend votre enfant au secondaire. Vous souhaitez par-dessus tout lui venir en aide dans ce passage vers le monde des grands.
Que votre enfant soit au troisième cycle du primaire ou déjà au secondaire et que vous vous questionnez à ce propos, cette soirée est pour vous.
POUR VOUS INSCRIRE
Par téléphone : 514 596-6000 poste 6388
au signal sonore, laissez : Votre nom, votre numéro de téléphone et le nom de l’école que votre enfant fréquente.
Par courrier électronique : ccp.formation@csdm.qc.ca
Inscrivez: Votre nom, votre numéro de téléphone et le nom de l’école que votre enfant fréquente.
Vous serez automatiquement inscrit
23 mars 2011
PV-Conseil d'établissement du 23 mars 2011
Procès-verbal
Réunion du Conseil d'établissement de l'école Saint-Ambroise
Le mercredi 23 mars 2011 à 19 h
Parents
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Présences
|
Équipe-école
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Présences
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Martine
Bussières
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X
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Julie
Balthazar
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√
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Frédéric Gouin
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X
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Martine Côté
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√
|
Catherine
Leduc
|
Suzanne St-Pierre
|
√
|
|
Christine
Charles
|
√
|
Maude
Belleville
|
√
|
Hugo Roy
|
√
|
||
Stéphanie
Thibodeau
|
√
|
Catia Aguzzi
|
X
|
Marie-Hélène
Tremblay
|
√
|
||
Marie-Ève Brodeur (OPP) √
|
Geneviève Cadieux, directrice adjointe
|
√
|
|
Johanne
Lévesque, directrice
|
√
|
1. Vérification du quorum et ouverture de l’assemblée
Le quorum est respecté. L'assemblée est ouverte.
2. Adoption de l’ordre du jour L'ordre du jour est lu. Les professeurs quitteront la réunion au point 8, puisqu'ils sont déjà au courant du portrait du milieu des élèves de l'école. Stéphanie Thibodeau demande d'ajouter un point 7.1 f à propos de la collecte de fonds des agrumes. Hugo Roy propose l'adoption de l'ordre du jour tel que modifié, appuyé par Julie Balthazar. L'ordre du jour est adopté à l'unanimité.
3.1 Adoption du procès-verbal de la réunion du 19 janvier 2011 Les passages ayant nécessité des corrections sont lus par Johanne Lévesque. L'adoption du procès-verbal est proposée par Julie Balthazar et appuyée par Suzanne St-Pierre.
3.2 Adoption du procès-verbal de la réunion du 16 février 2011 Les passages ayant nécessité des corrections sont lus par Johanne Lévesque. L'adoption du procès-verbal est proposée par Marie-Hélène Tremblay et appuyée par Stéphanie Thibodeau.
4. Suites au procès-verbal
4.1 Fondation : état des chosesAprès vérifications auprès de la CSDM, il s'avère que la mise sur pied et l'administration d'une fondation représenteraient des frais d'autant plus importants que les revenus demeureraient incertains. De plus, la directrice rappelle qu'il est possible de gérer l'argent dans le fonds 4, ce qui permet une certaine latitude et de protéger les sommes s’il y avait des surplus en fin d’année. Par conséquent, elle suggère de mettre plutôt en place un comité responsable de la planification des campagnes de financement, composé de trois personnes (2 parents dont, idéalement, un serait membre du CÉ et 1 membre de la direction, ). Ce comité rendrait des comptes au conseil d'établissement. Hugo et Marie-Hélène vont se rencontrer afin de rédiger deux résolutions à ce sujet pour la prochaine réunion. Marie-Ève nous invite à profiter de l'assemblée générale pour inviter les parents à s'impliquer dans les projets de financement.
5. Service de garde La prochaine journée pédagogique aura lieu à la cabane à sucre des sportifs (24 mars). La journée du 4 avril se déroulera à l'Orange bleue pour les élèves de la maternelle à la 2e année et à l'école pour les enfants de la 3e à la 6e année. Certains élèves de 5e et 6e années participeront à une journée de tournage à l'extérieur de l'école. Le 5 avril, tout le service de garde profitera d'une animation du centre de danse et percussions Samajam.
Geneviève Cadieux mentionne que toutes les feuilles de réinscription ainsi que les feuillets fiscaux ont été distribués. À ce sujet, Hugo relève une formulation inadéquate dans la fiche de réinscription concernant les coordonnées en cas d'urgence. L'énoncé devrait être modifié, si possible, pour l'an prochain.
6. OPP
Certains membres de l'OPP se sont rendus dans les classes pour annoncer la soirée de contes du 1er avril avec monsieur André Lemelin. La première séance est complète (150 billets vendus). Marie-Ève Brodeur annonce que les billets disponibles seront en vente à la porte pour la deuxième séance (en date du 23 mars, 50 billets vendus).
L'OPP projette d'organiser un souper communautaire en fin d'année. Suite à la soirée de contes, il devrait rester environ 1000 $ (provenant du budget discrétionnaire du commissaire) pour réaliser ce projet.
Johanne Lévesque confirme que 1500 $ ont été demandés auprès du commissaire scolaire, mais la demande n'a pas encore été acceptée officiellement.
Johanne rappelle que 400 $ sont octroyés au fonctionnement du conseil d'établissement. Hugo suggère que l'OPP puisse bénéficier de ce montant. Ce dernier rédigera une proposition de résolution à ce sujet pour la prochaine réunion. Le président en profite pour souligner le fonctionnement remarquable de l'OPP cette année.
7. Informations
7.1 Informations de la directrice
a. Prévision de clientèle, capacité d'accueil et grille horaire 2011-12La directrice nous informe qu’il y aura encore 4 maternelles l’an prochain qui seront composées d'environ ¾ d'enfants du quartier et ¼ d'enfants qui ont de la fratrie à l'école.Pour les deux prochaines années, la capacité maximale d'accueil ne sera pas atteinte. Les années suivantes, il faudra sans doute envisager de modifier la fonction de certains locaux. Présentement, 453 élèves fréquentent l'école et on peut présumer que ce chiffre s'élèvera à environ 475 l’an prochain.
La grille horaire ne changera pas l'an prochain. Tous les groupes auront deux périodes d’éducation physique, une période d’arts plastiques, une période de musique et d’anglais. Les deux groupes de 6e année auront l’enseignement de l’anglais intensif.
b. Cour d'écoleJohanne Lévesque mentionne plusieurs menus travaux d'entretien ou de fin de projet dans la cour (dalle de ciment à la porte de la rue Chambord, peinture clôture maternelles, clôtures arbres...). La garantie des travaux de la phase 2, par l’entrepreneur, est valide une année après la fin des travaux, de façon à éviter les mauvaises surprises dues aux variations de température ou aux bris prématurés.
Johanne suggère que les membres du comité cour (Stéphanie Thibodeau et Martine Bussières) se réunissent en compagnie de la direction afin de déterminer l'utilisation du montant encore disponible dans le budget de revitalisation de la cour. Stéphanie évoque la possibilité de protéger les arbres du centre de la cour avec des clôtures en fer forgé.
c. Travaux à venir à l'écoleL'été prochain, les 2 cages d'escalier seront entièrement refaites (structure et peinture). Le fait que l'école soit reconnue comme un bâtiment patrimonial ne facilite pas ce projet.
Il est aussi question de changer le système de chauffage. Actuellement le pavillon de Normanville chauffe celui sur Chambord et l'idéal serait que les deux bâtiments soient autonomes.
Stéphanie questionne Johanne sur les résultats des tests de sols (vérification de contaminants potentiels) effectués durant l'été dernier. Johanne n'a pas reçu d'avis de la CSDM à ce sujet.
Les portes extérieures du pavillon Chambord devraient être changées. Enfin, Johanne évoque les demandes répétées auprès de la CSDM à propos d'une infiltration d'eau en arrière, du côté sud du pavillon Chambord.
La journée de Corvée au Net est prévue pour le samedi 11 juin. Quelques professeurs ont des projets de «rafraîchissement» de leur classe. De plus, plusieurs travaux sont envisagés, tels que la peinture des aires communes, des corridors de l'annexe Chambord et du local d'informatique, ainsi que le nettoyage extérieur.
d. Liste des effets scolairesLes enseignants sont en train de réviser la liste des effets scolaires. Le CÉ votera en mai à ce propos.
e. Approbation des sorties et activitésL'adoption de la liste des sorties est proposée par Hugo Roy et appuyée par Suzanne St-Pierre. La liste des sorties est adoptée à l'unanimité.
f. Suites de la collecte de fonds des agrumesLes fonds récoltés sont placés dans le fonds 4. Le 27 octobre 2010, le CÉ avait décidé que les fonds serviraient à l'achat de matériel multimédia utile pour tous. Il était question de tableau interactif, d’ordinateurs et de logiciels spéciaux en sciences ou en mathématiques. La direction évaluera les priorités avec le comité TIC d'ici la rencontre du mois d'avril et nous en fera part à ce moment-là. Les parents seront informés de cette décision par le biais du bulletin.
7.2 Informations à propos du CPR-CentrePar courriel, Martine a demandé l'accord du CÉ pour participer au congrès annuel de la Fédération des comités de parents. Les coûts seraient imputés au budget de formation (385 $). L'adoption de sa participation est proposée par Marie-Hélène Tremblay et appuyée par Stéphanie Thibodeau. La participation de Martine Bussières au congrès est adoptée à l'unanimité.
En l'absence de Martine Bussières, Hugo nous lit le compte-rendu de la rencontre du CPR-Centre rédigé par Martine (cf. ci-joint en annexe). Le président nous annonce qu'il doit éclaircir le point 7 avec Martine et qu'il nous enverrait le sondage après.
7.3 Informations du président
a. Programme environnemental PerfectionHugo nous informe de l'existence d'une collecte de fonds à visée écologique, dont Stéphanie lui a fait part. Le principe est le même que pour les agrumes, mais avec des arbres. L'intérêt est de tenter d'annuler la production de carbone de l'école, en plantant des arbres (projet carbone zéro). L'ensemble du CÉ s'accorde pour saluer les intentions écologiques du programme, mais s'entend pour souligner le contexte inadéquat qu'offre la ville de Montréal pour un tel projet.
8. Renouvellement du projet éducatif. État de la situation et présentation du portrait du milieu de vie des élèves
Comme prévu, les enseignants quittent la réunion. Geneviève Cadieux nous présente le portrait sociodémographique de l'école, basé sur un profil social, démographique, familial et institutionnel.
- Le quartier se révèle pauvre, essentiellement à cause d'une forte proportion de familles monoparentales.
- Les élèves de l'école St-Ambroise viennent très majoritairement du quartier.
- Le pourcentage de familles immigrantes n'a pas changé depuis les 6 dernières années (5 %). Si des difficultés d'intégration surgissent, elles apparaissent en général dans les six premières années, mais en général l'intégration se passe bien.
- Le pourcentage de la population non diplômée est le même que dans l'ensemble de Montréal.
Suite à la consultation auprès des enseignants, du service de garde, des élèves et des parents, ainsi qu'après l'étude de ce portrait, il est temps de recouper l'ensemble des informations, puis d’identifier les défis pour les prochaines années.
Stéphanie remarque que le portrait sociodémographique peut évoluer rapidement. Par exemple: Celui-ci a été établi sur la fréquentation de 50 % d'enfants du quartier et 50 % d'enfants en libre-choix, or la direction nous a annoncé au point 7.1.a que le pourcentage d'enfants du quartier allait très nettement augmenter.
9. Levée de l’assemblée (20 h 37)
Proposé par Hugo Roy, appuyé de Julie Balthazar.
CONFÉRENCE: « Comment accompagner mon enfant dans les épreuves, petites ou grandes »

CONFÉRENCE
« Comment accompagner mon enfant dans les épreuves, petites ou grandes »
« Comment accompagner mon enfant dans les épreuves, petites ou grandes »
Entrée gratuite
Stationnement
Pas de service de garde
Organisateur : Comité central des parents de la CSDM
Conférenciers : Louis Gravel et Linda Mastrovito, Psychothérapeutes, formatrices et coaches
Lieu : Auditorium de l’école Georges-Vanier, 1205, rue Jarry Est
Date : Le jeudi 31 mars 2011
Accueil à partir de 18 h 30
Conférence : de 19 h à 21 h 30
« Papa, maman, j’sais pas comment vous dire… »
Séparation des parents, difficultés à l’école, perte d’un être cher, perte d’un animal de compagnie, ami qui déménage, rejet à l’école, peine d’amour, un nouvel enfant dans la famille…
Voilà autant de situations où votre enfant a besoin de votre attention et de bienveillance.
* Comment comprendre les besoins de mon enfant pour qu’il se sente compris, écouté ?
* Quoi dire, comment et quand ?
* Comment chacun, enfant et parent, réagit aux changements, aux nouveautés et aux pertes ?
* Quel est le rôle de chacun… dans quelle situation ?
Découvrez comment avoir une attitude favorable pour soutenir et guider votre enfant dans les moments difficiles et éprouvants, et devenez plus habile à communiquer.
Votre enfant sera plus heureux… et vous aussi !
POUR VOUS INSCRIRE
Par téléphone : 514 596-6000 poste 6388 - au signal sonore, laissez : Votre nom, votre numéro de téléphone et le nom de l’école que votre enfant fréquente.
OU
Par courrier électronique : ccp.formation@csdm.qc.ca - Inscrivez: Votre nom, votre numéro de téléphone et le nom de l’école que votre enfant fréquente.
Vous serez automatiquement inscrit
20 mars 2011
Lettre du commissaire (no. 496, 20 mars 2011)
Chers amis, Bonjour,
Encore pas mal de nouvelles… et je vais vous inviter à voter à la suite de la lecture de ce texte.
1. Victor-Doré, l’Académie de Roberval et l’École des métiers du meuble
Ces trois écoles sont les seules sur les 14 de mon quartier qui ne m’ont pas encore soumis de projet à être financé par le budget du commissaire. Si ce n’est pas fait d’ici deux semaines, la somme prévue pour chacun sera rendue disponible aux autres.
2. Votez pour Marie-Favery
Dans le cadre de la Semaine du français, la CSDM a organisé un concours auquel la classe de 3e année DE Marie-Favery (Manon Massey, enseignante) a participé. Les élèves ont réalisé un livreclip avec l’album d’Élise Gravel: Super-momo dans piège de fromage ! Il s’agissait de lire un livre, ou un extrait, en 2 minutes, en un seul plan séquence (comme les lip-dub chantés).
On peu voir le résultat sur : http://semainefrancais.wordpress.com/2011/03/11/super-momo-dans-piege-de-fromage/
Comme c’est un concours, on peut voter pour ce livreclip si on l’aime.
Vous n’avez qu’à cliquer sur la cinquième étoile. J’ai déjà fait cela et je vous incite à prendre deux minutes de votre temps pour faire de même. Vraiment original et bien fait.
3. CPE Chez nous chez vous
Les gens qui demeurent près de l’école Saint-Gérard connaissent fort bien ce CPE qui loue des locaux au Comité de gestion de la taxe scolaire de l’Île de Montréal (CGTSIM). Ces deux acteurs ont conclu une entente avec le ministère de la Famille pour que le CPE devienne propriétaire de ces locaux. Les démarches à cet égard sont plus complexes que prévues; mais nous atteindrons un jour l’objectif visé.
4. Semaine québécoise des adultes en formation
Ce n’est pas vrai que l’école finit à 16 ans. Il y a des dizaines de milliers d’élèves adultes à la CSDM. Pour signifier l’importance des adultes et de la formation continue, des acteurs du monde de l’éducation ont cru important de créer la Semaine québécoise des adultes en formation.
À la Commission Scolaire des Montréalais, deux événements marqueront cette semaine. Il y aura d’abord une exposition en arts visuels des élèves adultes de la CSDM à l’Écomusée du fier monde, 2050, rue Amherst; l’exposition aura lieu du 23 mars au 10 avril 2011. En plus, des artistes de l’éducation des adultes offriront un spectacle le 4 avril à 17 h à l’auditorium de la Grande bibliothèque.
5. Vous souvenez-vous de la neige de l’hiver 2008-2009?
Vous souvenez-vous qu’il y a deux ans, nous avons dû fermer des écoles à cause des ravages de la neige. Depuis ce temps-là, à chaque hiver, la direction de la Commission Scolaire des Montréalais met en œuvre un plan d’action, un plan de vigie en matière de déneigement des toitures. Cette vigie permet d’identifier les écoles où il faut absolument procéder à un déneigement. Chacune des écoles est évidemment inspectée. Dans notre quartier les écoles Saint-Gérard, Saint-Gabriel-Lalement et l’Académie de Roberval ont été déneigées.
6. Jonathan Tessier de Georges-Vanier
Tous les ans la direction de la CSDM organise des concours de recrutement au poste de directeur adjoint dans les divers établissements. Cette année, 70 candidats se sont présentés à ce concours, 35 d’entre eux ont été retenus après la première étape et, finalement, 27 ont été jugés aptes à assumer cette fonction. C’est notamment le cas de monsieur Jonathan Tessier de l’école Georges-Vanier.
7. La semaine du goût de vivre
C’est mardi le 22 mars que sera lancée l’édition 2011 de la Semaine du goût de vivre. L’événement se déroulera au centre Lajeunesse. On énumérera les activités qui seront organisées notamment dans les écoles et on remettra des prix aux jeunes qui auront participé aux différents concours.
8. Colloque sur la réussite scolaire
Des centaines d’intervenants sont attendus à une rencontre qui aura pour thème : « Parents, école, communauté : la réussite scolaire, une responsabilité partagée ». L’événement se déroulera à la Maison Ludger-Duvernay le mercredi 23 mars dès 8 h 30.
9. Colloque annuel de la Maisonnée
Comme à tous les ans, la Maisonnée nous invite à une réflexion sur un problème particulier qui confronte les nouveaux Québécois. Le colloque de cette année portera sur la discrimination au plan du logement. L’événement se déroulera le vendredi 25 mars à 9 h à l’Annexe, 226, rue Beaubien.
10. André Boisclair, vous vous souvenez?
On se souvient tous bien sûr de notre ex-député. J’aurai l’honneur de dîner arec André, vendredi prochain, André veut me parler d’un projet en rapport avec une problématique dans Villeray et la Petite-Patrie. Bref, l’homme reste attaché à ce quartier.
On en aura d’ailleurs bientôt une autre preuve. André présidera la campagne de financement d’un organisme très actif dans le quartier.
11. Pourquoi jeûner ?
La pastorale sociale de la Petite-Patrie nous invite à une réflexion sur le jeûne. C’est l’ex-curé de la paroisse Saint-Jean-de-la-Croix, Denis Prescott, qui animera cette activité le lundi 21 mars à 19 h à l’église Saint-Édouard.
12. Sur les traces d’Oscar Romero
Il y a 31 ans, le 24 mars, Mgr Romero, archevêque de San Salvador, a été assassiné alors qu’il présidait une célébration eucharistique. Pour commémorer cet événement, il y aura une célébration le jeudi 24 mars, de 18 h 30 à 21 h, à l’église Saint-Arsène.
13. Football à Jeunesse au soleil
Jeunesse au Soleil offre un programme de football de haut niveau. La saison se déroule de la mi-août au début de novembre. Les entraînements débutent vers le 18 juillet prochain au parc Jeanne-Mance. Cette activité sportive est accessible aux jeunes de 8 à 16 ans. Les frais d’abonnement vont de 125$ à 160$ selon les niveaux, ce qui inclut les équipements, les entraînements, le transport pour les matchs à l’extérieur. Le jeune doit avoir ses propres souliers et son protecteur buccal.
Pour information : (514) 842-6822, football@sunyouthorg.com ou encore on écrit à serichard@videotron.ca.
14. Famille cherche logement
Une famille de 4 personnes (2 adultes et 2 enfants de 4 et 5 ans) cherche un logement à louer dans Villeray (idéalement proche de l'école Marie Favery) pour le 1er mai. On espère un 6 1/2, avec sous-sol et jardin, ensoleillé, entrée lav. séch., prix raisonnable, dans : Villeray, Ahuntsic, Plateau Mont-Royal, Rosemont.
Tél. jour (514) 525-3066 et après 17h00 : (514) 384-8629. On demande Sophie
Voilà pour cette semaine.
Allez voter pour les jeunes de Marie-Favery !
Des questions ? Des commentaires ? Écrivez-moi
Embrassez vos enfants pour moi
Bonne semaine
Kenneth
Encore pas mal de nouvelles… et je vais vous inviter à voter à la suite de la lecture de ce texte.
1. Victor-Doré, l’Académie de Roberval et l’École des métiers du meuble
Ces trois écoles sont les seules sur les 14 de mon quartier qui ne m’ont pas encore soumis de projet à être financé par le budget du commissaire. Si ce n’est pas fait d’ici deux semaines, la somme prévue pour chacun sera rendue disponible aux autres.
2. Votez pour Marie-Favery
Dans le cadre de la Semaine du français, la CSDM a organisé un concours auquel la classe de 3e année DE Marie-Favery (Manon Massey, enseignante) a participé. Les élèves ont réalisé un livreclip avec l’album d’Élise Gravel: Super-momo dans piège de fromage ! Il s’agissait de lire un livre, ou un extrait, en 2 minutes, en un seul plan séquence (comme les lip-dub chantés).
On peu voir le résultat sur : http://semainefrancais.wordpress.com/2011/03/11/super-momo-dans-piege-de-fromage/
Comme c’est un concours, on peut voter pour ce livreclip si on l’aime.
Vous n’avez qu’à cliquer sur la cinquième étoile. J’ai déjà fait cela et je vous incite à prendre deux minutes de votre temps pour faire de même. Vraiment original et bien fait.
3. CPE Chez nous chez vous
Les gens qui demeurent près de l’école Saint-Gérard connaissent fort bien ce CPE qui loue des locaux au Comité de gestion de la taxe scolaire de l’Île de Montréal (CGTSIM). Ces deux acteurs ont conclu une entente avec le ministère de la Famille pour que le CPE devienne propriétaire de ces locaux. Les démarches à cet égard sont plus complexes que prévues; mais nous atteindrons un jour l’objectif visé.
4. Semaine québécoise des adultes en formation
Ce n’est pas vrai que l’école finit à 16 ans. Il y a des dizaines de milliers d’élèves adultes à la CSDM. Pour signifier l’importance des adultes et de la formation continue, des acteurs du monde de l’éducation ont cru important de créer la Semaine québécoise des adultes en formation.
À la Commission Scolaire des Montréalais, deux événements marqueront cette semaine. Il y aura d’abord une exposition en arts visuels des élèves adultes de la CSDM à l’Écomusée du fier monde, 2050, rue Amherst; l’exposition aura lieu du 23 mars au 10 avril 2011. En plus, des artistes de l’éducation des adultes offriront un spectacle le 4 avril à 17 h à l’auditorium de la Grande bibliothèque.
5. Vous souvenez-vous de la neige de l’hiver 2008-2009?
Vous souvenez-vous qu’il y a deux ans, nous avons dû fermer des écoles à cause des ravages de la neige. Depuis ce temps-là, à chaque hiver, la direction de la Commission Scolaire des Montréalais met en œuvre un plan d’action, un plan de vigie en matière de déneigement des toitures. Cette vigie permet d’identifier les écoles où il faut absolument procéder à un déneigement. Chacune des écoles est évidemment inspectée. Dans notre quartier les écoles Saint-Gérard, Saint-Gabriel-Lalement et l’Académie de Roberval ont été déneigées.
6. Jonathan Tessier de Georges-Vanier
Tous les ans la direction de la CSDM organise des concours de recrutement au poste de directeur adjoint dans les divers établissements. Cette année, 70 candidats se sont présentés à ce concours, 35 d’entre eux ont été retenus après la première étape et, finalement, 27 ont été jugés aptes à assumer cette fonction. C’est notamment le cas de monsieur Jonathan Tessier de l’école Georges-Vanier.
7. La semaine du goût de vivre
C’est mardi le 22 mars que sera lancée l’édition 2011 de la Semaine du goût de vivre. L’événement se déroulera au centre Lajeunesse. On énumérera les activités qui seront organisées notamment dans les écoles et on remettra des prix aux jeunes qui auront participé aux différents concours.
8. Colloque sur la réussite scolaire
Des centaines d’intervenants sont attendus à une rencontre qui aura pour thème : « Parents, école, communauté : la réussite scolaire, une responsabilité partagée ». L’événement se déroulera à la Maison Ludger-Duvernay le mercredi 23 mars dès 8 h 30.
9. Colloque annuel de la Maisonnée
Comme à tous les ans, la Maisonnée nous invite à une réflexion sur un problème particulier qui confronte les nouveaux Québécois. Le colloque de cette année portera sur la discrimination au plan du logement. L’événement se déroulera le vendredi 25 mars à 9 h à l’Annexe, 226, rue Beaubien.
10. André Boisclair, vous vous souvenez?
On se souvient tous bien sûr de notre ex-député. J’aurai l’honneur de dîner arec André, vendredi prochain, André veut me parler d’un projet en rapport avec une problématique dans Villeray et la Petite-Patrie. Bref, l’homme reste attaché à ce quartier.
On en aura d’ailleurs bientôt une autre preuve. André présidera la campagne de financement d’un organisme très actif dans le quartier.
11. Pourquoi jeûner ?
La pastorale sociale de la Petite-Patrie nous invite à une réflexion sur le jeûne. C’est l’ex-curé de la paroisse Saint-Jean-de-la-Croix, Denis Prescott, qui animera cette activité le lundi 21 mars à 19 h à l’église Saint-Édouard.
12. Sur les traces d’Oscar Romero
Il y a 31 ans, le 24 mars, Mgr Romero, archevêque de San Salvador, a été assassiné alors qu’il présidait une célébration eucharistique. Pour commémorer cet événement, il y aura une célébration le jeudi 24 mars, de 18 h 30 à 21 h, à l’église Saint-Arsène.
13. Football à Jeunesse au soleil
Jeunesse au Soleil offre un programme de football de haut niveau. La saison se déroule de la mi-août au début de novembre. Les entraînements débutent vers le 18 juillet prochain au parc Jeanne-Mance. Cette activité sportive est accessible aux jeunes de 8 à 16 ans. Les frais d’abonnement vont de 125$ à 160$ selon les niveaux, ce qui inclut les équipements, les entraînements, le transport pour les matchs à l’extérieur. Le jeune doit avoir ses propres souliers et son protecteur buccal.
Pour information : (514) 842-6822, football@sunyouthorg.com ou encore on écrit à serichard@videotron.ca.
14. Famille cherche logement
Une famille de 4 personnes (2 adultes et 2 enfants de 4 et 5 ans) cherche un logement à louer dans Villeray (idéalement proche de l'école Marie Favery) pour le 1er mai. On espère un 6 1/2, avec sous-sol et jardin, ensoleillé, entrée lav. séch., prix raisonnable, dans : Villeray, Ahuntsic, Plateau Mont-Royal, Rosemont.
Tél. jour (514) 525-3066 et après 17h00 : (514) 384-8629. On demande Sophie
Voilà pour cette semaine.
Allez voter pour les jeunes de Marie-Favery !
Des questions ? Des commentaires ? Écrivez-moi
Embrassez vos enfants pour moi
Bonne semaine
Kenneth
17 mars 2011
CONFÉRENCE Comment favoriser la réussite scolaire de mon ado !

CONFÉRENCE
Comment favoriser la réussite scolaire de mon ado !
Entrée gratuite
Stationnement
Pas de service de garde
Organisateur : Comité central des parents de la CSDM
Conférencier : Jean Bourque, M. Éd., orthopédagogue formateur, conférencier, et auteur. Intervenant à Éducation Coup‐de‐Fil.
Lieu : Auditorium de l’école Marguerite‐De Lajemmerais
5555, rue Sherbrooke Est, près du boul. l’Assomption
Date : Le samedi 19 mars 2011
• Accueil à partir de 8 h 30
• Conférence : de 9 h à 11 h 30
Cette conférence présente aux parents d’enfants du secondaire ou de 6e année du primaire, différentes stratégies et attitudes pouvant être adoptées pour aider leurs adolescents dans leurs études : la motivation, l’organisation des études, la supervision, les stratégies d’étude active, la concentration, les exigences, la volonté pour un changement.
Les parents assistant à cette conférence seront en mesure d'évaluer leurs propres stratégies et de les changer s'il y a lieu. Enfin, les participants seront à même de constater l'importance de faire alliance avec l'école pour favoriser la réussite scolaire de leurs enfants.
POUR VOUS INSCRIRE
Par téléphone : Par courrier électronique :
514 596‐6000 poste 6388 ccp.formation@csdm.qc.ca
au signal sonore, laissez : Inscrivez:
Votre nom, votre numéro de téléphone et le nom de l’école que votre enfant fréquente.
Vous serez automatiquement inscrit
13 mars 2011
Lettre du commissaire (no. 495, 13 mars 2011)
Chers amis, Bonjour,
Déjà, la mi–mars ! Le printemps est à nos portes… en tout cas, il faut vivre d’espoirs !
1. Le plan Réussir
Vous avez probablement entendu parler du plan Réussir. Ce projet mobilise toutes les écoles de la CSDM ; il s’agit, dans chacun des milieux, d’adopter des stratégies pédagogiques qui permettent d’atteindre des objectifs ciblés, notamment au plan de la réussite en français et de la persévérance scolaire.
On pourrait avoir l’impression que chacune des écoles est laissée à elle-même dans cet exercice. Les choses se passent bien différemment. Ainsi, les services de recherches centraux alimentent les milieux avec des données statistiques, des conseillers pédagogiques s’associent aux équipes-écoles, les réseaux s’investissent aussi dans l’action menée à l’école. L’équipe-école n’est manifestement pas laissée à elle-même.
Plus encore, un « comité directeur du plan Réussir » a été constitué impliquant notamment un professeur émérite en sciences de l’éducation de l’Université de Montréal… professeur dont les garçons fréquentent d’ailleurs nos écoles. Ce professeur est assisté par une équipe de jeunes chercheurs. Le Comité directeur suit l’action et l’oriente. L’équipe de chercheurs joue aussi un autre rôle : elle aide certaines équipes-école à mettre en œuvre des stratégies plus efficaces.
Je trouvais important de vous informer de ces éléments moins visibles du plan Réussir d’autant plus que deux des écoles de mon quartier, Père-Marquette et Georges-Vanier, sont associées de très près à l’équipe de chercheurs.
2. Les ascenseurs à Marie-Favery et Georges-Vanier
À sa dernière réunion, le comité exécutif a octroyé un budget pour l’entretien des ascenseurs de ces deux écoles. N’allez pas croire que ces ascenseurs servent à l’ensemble des étudiants et du personnel qui seraient trop fatigués pour prendre l’escalier! Ces ascenseurs sont installés dans les deux écoles régulières du quartier qui accueillent des enfants ou des adolescents handicapés.
3. La cour de l’école Gadbois
Il y a quelques temps j’ai reçu une demande d’un parent qui demeure près de l’école Gadbois : ne pourrait-on pas garder les portes de la cour d’école ouvertes en fin de journée et en soirée ? J’étais très surpris de la question ; normalement la cour d’école devrait être accessible.
Vérification faite, je comprends que la direction de l’école ait décidé récemment de garder les portes barrées. C’est que, jusqu’à récemment, quand les citoyens avaient accès à la cour d’école, un malheureux problème s’est posé. De nombreux propriétaires de chiens y laissaient courir leur chien… et ne ramassaient pas les excréments. Semble-t-il que cela était régulier et c’était devenu une habitude pour les propriétaires de chiens. La direction a rencontré ces personnes, leur a demandé de modifier leurs comportements, mais en vain. Il a donc fallu, pour le bien des enfants aux besoins spéciaux qui fréquentent l’école Gadbois, en arriver à la solution extrême.
4. Comité du Forum de La Petite-Patrie
La réunion qui devait se tenir vendredi dernier a été annulée ; elle est reportée au mardi 15 mars à 8 h 30 au sous-sol de la Caisse Saint-Arsène.
5. Regroupement pour le développement de Villeray
C’est mardi le 15, à 15 h 30 que cette Table se réunira.
6. « Fais des choix pour toi »
Le groupe Conseil Saint-Denis et le CREP invitent les jeunes de 15 à 35 ans qui voudraient changer leur orientation professionnelle à une rencontre-exposition le mercredi 16 mars de 9 h 30 à 19 h au Centre Ukrainien, 3270, rue Beaubien Est. On pourra y découvrir des options nouvelles et des ressources inexploitées pour réaliser son rêve.
7. Joseph-Charbonneau : powerchair football :
Les éducateurs qui ont initié il y a quelques années le jeu de Power chair football à l’école Joseph Charbonneau cherchent des gens pour mener l’action avec eux. En ce sens, ils invitent à une réunion, à l’école Joseph-Charbonneau, 8200 rue Rousselot, le jeudi le 17 mars 2011 à 19h.
8. Mot d’enfant
Pourquoi les requins vivent-ils dans l'eau salée?
Réponse: 'Parce que dans l'eau poivrée, ils tousseraient tout le temps.'
Voilà pour cette semaine.
Des questions ? Des commentaires ? Écrivez-moi.
Embrassez vos enfants pour moi
Bonne semaine
Kenneth
Déjà, la mi–mars ! Le printemps est à nos portes… en tout cas, il faut vivre d’espoirs !
1. Le plan Réussir
Vous avez probablement entendu parler du plan Réussir. Ce projet mobilise toutes les écoles de la CSDM ; il s’agit, dans chacun des milieux, d’adopter des stratégies pédagogiques qui permettent d’atteindre des objectifs ciblés, notamment au plan de la réussite en français et de la persévérance scolaire.
On pourrait avoir l’impression que chacune des écoles est laissée à elle-même dans cet exercice. Les choses se passent bien différemment. Ainsi, les services de recherches centraux alimentent les milieux avec des données statistiques, des conseillers pédagogiques s’associent aux équipes-écoles, les réseaux s’investissent aussi dans l’action menée à l’école. L’équipe-école n’est manifestement pas laissée à elle-même.
Plus encore, un « comité directeur du plan Réussir » a été constitué impliquant notamment un professeur émérite en sciences de l’éducation de l’Université de Montréal… professeur dont les garçons fréquentent d’ailleurs nos écoles. Ce professeur est assisté par une équipe de jeunes chercheurs. Le Comité directeur suit l’action et l’oriente. L’équipe de chercheurs joue aussi un autre rôle : elle aide certaines équipes-école à mettre en œuvre des stratégies plus efficaces.
Je trouvais important de vous informer de ces éléments moins visibles du plan Réussir d’autant plus que deux des écoles de mon quartier, Père-Marquette et Georges-Vanier, sont associées de très près à l’équipe de chercheurs.
2. Les ascenseurs à Marie-Favery et Georges-Vanier
À sa dernière réunion, le comité exécutif a octroyé un budget pour l’entretien des ascenseurs de ces deux écoles. N’allez pas croire que ces ascenseurs servent à l’ensemble des étudiants et du personnel qui seraient trop fatigués pour prendre l’escalier! Ces ascenseurs sont installés dans les deux écoles régulières du quartier qui accueillent des enfants ou des adolescents handicapés.
3. La cour de l’école Gadbois
Il y a quelques temps j’ai reçu une demande d’un parent qui demeure près de l’école Gadbois : ne pourrait-on pas garder les portes de la cour d’école ouvertes en fin de journée et en soirée ? J’étais très surpris de la question ; normalement la cour d’école devrait être accessible.
Vérification faite, je comprends que la direction de l’école ait décidé récemment de garder les portes barrées. C’est que, jusqu’à récemment, quand les citoyens avaient accès à la cour d’école, un malheureux problème s’est posé. De nombreux propriétaires de chiens y laissaient courir leur chien… et ne ramassaient pas les excréments. Semble-t-il que cela était régulier et c’était devenu une habitude pour les propriétaires de chiens. La direction a rencontré ces personnes, leur a demandé de modifier leurs comportements, mais en vain. Il a donc fallu, pour le bien des enfants aux besoins spéciaux qui fréquentent l’école Gadbois, en arriver à la solution extrême.
4. Comité du Forum de La Petite-Patrie
La réunion qui devait se tenir vendredi dernier a été annulée ; elle est reportée au mardi 15 mars à 8 h 30 au sous-sol de la Caisse Saint-Arsène.
5. Regroupement pour le développement de Villeray
C’est mardi le 15, à 15 h 30 que cette Table se réunira.
6. « Fais des choix pour toi »
Le groupe Conseil Saint-Denis et le CREP invitent les jeunes de 15 à 35 ans qui voudraient changer leur orientation professionnelle à une rencontre-exposition le mercredi 16 mars de 9 h 30 à 19 h au Centre Ukrainien, 3270, rue Beaubien Est. On pourra y découvrir des options nouvelles et des ressources inexploitées pour réaliser son rêve.
7. Joseph-Charbonneau : powerchair football :
Les éducateurs qui ont initié il y a quelques années le jeu de Power chair football à l’école Joseph Charbonneau cherchent des gens pour mener l’action avec eux. En ce sens, ils invitent à une réunion, à l’école Joseph-Charbonneau, 8200 rue Rousselot, le jeudi le 17 mars 2011 à 19h.
8. Mot d’enfant
Pourquoi les requins vivent-ils dans l'eau salée?
Réponse: 'Parce que dans l'eau poivrée, ils tousseraient tout le temps.'
Voilà pour cette semaine.
Des questions ? Des commentaires ? Écrivez-moi.
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Bonne semaine
Kenneth
8 mars 2011
Le risque zéro
Publié dans La Presse, 8 mars 2011, par François Cardinal
L'école est-elle devenue trop prudente avec nos enfants?
La question se pose au lendemain d'une tempête de neige qui, sans être exceptionnelle dans la région métropolitaine, a néanmoins forcé la fermeture d'une dizaine d'établissements scolaires dans l'île, d'une centaine dans Lanaudière et de plus de 300 d'entre eux en Montérégie.
Les transporteurs scolaires ont évidemment leur part de responsabilité dans ces fermetures en série, mais ce sont les commissions scolaires qui, ultimement, décident de clouer les autobus jaunes au garage même si les autobus municipaux, eux, roulent tout à fait normalement.
On ne peut évidemment s'opposer à la prévoyance la plus élémentaire, encore moins lorsque la sécurité de nos enfants est en cause. Mais ces dernières années, les commissions scolaires semblent avoir franchi le seuil de la simple prévention au profit de la précaution mur à mur.
En ce sens, elles ne sont pas différentes de l'école dans son ensemble, des directions, des professeurs et des éducateurs qui, chacun à sa manière, semble vouloir appliquer le «principe de précaution» au quotidien des élèves...
Pensons à cette école des Cantons-de-l'Est qui oblige désormais les élèves à dîner dans le silence pour éviter des maux de tête aux plus sensibles. À cette école qui a abandonné un projet d'agora en pierres par crainte qu'un enfant se blesse en tombant de l'une d'elles. Ou encore à cet établissement qui a mis une croix sur le verdissement de la cour le jour où l'on a évoqué la possibilité qu'un pédophile se cache derrière un arbre...
Le mot d'ordre: tolérance zéro pour un risque zéro.
On disait jadis «sois prudent» à l'enfant qui grimpait sur une montagne de neige dans la cour d'école, on lui interdit carrément de le faire aujourd'hui. On l'empêche de jouer dehors quand le mercure tombe sous les - 10°, on lui interdit de lancer de la neige, on l'empêche de se «chamailler»... Et on ferme les portes de son école dès la première accumulation de neige un tant soit peu menaçante.
Curieux messages que l'on transmet à nos enfants... qu'il ne nous reste plus qu'à recouvrir de papier bulle pour s'assurer qu'il ne leur arrive strictement rien, jamais.
Remarquez, la fermeture des écoles se justifiait peut-être en pleine zone rurale, hier, voire dans la région de Sherbrooke où il est tombé 60 cm de neige. Mais dans la région de Montréal, où il y en a eu quatre fois moins, elle semble avoir davantage relevé d'un automatisme que d'une décision éclairée.
Il n'y a pas là scandale, entendons-nous, mais simplement matière à réflexion autour de cette tendance à vouloir étendre le risque zéro à toutes les facettes de la vie de nos enfants, certainement la génération la plus supervisée de l'histoire.
La solution, bien évidemment, n'est pas de renverser la vapeur en mettant la vie des élèves en danger, mais de se demander un peu plus souvent peut-être si la menace appréhendée est réelle ou illusoire.
L'école est-elle devenue trop prudente avec nos enfants?
La question se pose au lendemain d'une tempête de neige qui, sans être exceptionnelle dans la région métropolitaine, a néanmoins forcé la fermeture d'une dizaine d'établissements scolaires dans l'île, d'une centaine dans Lanaudière et de plus de 300 d'entre eux en Montérégie.
Les transporteurs scolaires ont évidemment leur part de responsabilité dans ces fermetures en série, mais ce sont les commissions scolaires qui, ultimement, décident de clouer les autobus jaunes au garage même si les autobus municipaux, eux, roulent tout à fait normalement.
On ne peut évidemment s'opposer à la prévoyance la plus élémentaire, encore moins lorsque la sécurité de nos enfants est en cause. Mais ces dernières années, les commissions scolaires semblent avoir franchi le seuil de la simple prévention au profit de la précaution mur à mur.
En ce sens, elles ne sont pas différentes de l'école dans son ensemble, des directions, des professeurs et des éducateurs qui, chacun à sa manière, semble vouloir appliquer le «principe de précaution» au quotidien des élèves...
Pensons à cette école des Cantons-de-l'Est qui oblige désormais les élèves à dîner dans le silence pour éviter des maux de tête aux plus sensibles. À cette école qui a abandonné un projet d'agora en pierres par crainte qu'un enfant se blesse en tombant de l'une d'elles. Ou encore à cet établissement qui a mis une croix sur le verdissement de la cour le jour où l'on a évoqué la possibilité qu'un pédophile se cache derrière un arbre...
Le mot d'ordre: tolérance zéro pour un risque zéro.
On disait jadis «sois prudent» à l'enfant qui grimpait sur une montagne de neige dans la cour d'école, on lui interdit carrément de le faire aujourd'hui. On l'empêche de jouer dehors quand le mercure tombe sous les - 10°, on lui interdit de lancer de la neige, on l'empêche de se «chamailler»... Et on ferme les portes de son école dès la première accumulation de neige un tant soit peu menaçante.
Curieux messages que l'on transmet à nos enfants... qu'il ne nous reste plus qu'à recouvrir de papier bulle pour s'assurer qu'il ne leur arrive strictement rien, jamais.
Remarquez, la fermeture des écoles se justifiait peut-être en pleine zone rurale, hier, voire dans la région de Sherbrooke où il est tombé 60 cm de neige. Mais dans la région de Montréal, où il y en a eu quatre fois moins, elle semble avoir davantage relevé d'un automatisme que d'une décision éclairée.
Il n'y a pas là scandale, entendons-nous, mais simplement matière à réflexion autour de cette tendance à vouloir étendre le risque zéro à toutes les facettes de la vie de nos enfants, certainement la génération la plus supervisée de l'histoire.
La solution, bien évidemment, n'est pas de renverser la vapeur en mettant la vie des élèves en danger, mais de se demander un peu plus souvent peut-être si la menace appréhendée est réelle ou illusoire.
7 mars 2011
Aéroports - Les parents kidnappeurs ont beau jeu au Canada
Publié dans Le Devoir, 7 mars 2011, par Hélène Buzzetti
Ottawa -- Le Canada met-il vraiment en place tous les moyens pour éviter les enlèvements d'enfants par un de leurs deux parents? La question se pose puisque les autorités canadiennes ne prennent aucune mesure pour s'assurer qu'un parent voyageant seul à l'étranger avec son enfant a bien obtenu le consentement de l'autre parent avant de quitter le pays. Cette vérification n'est faite... qu'au retour au Canada! Alors que se termine la semaine de relâche souvent synonyme de voyage hors frontières, au moins un groupe d'aide aux familles d'enfants disparus exige un changement de cette politique.Lorsqu'un père décide de voyager seul avec un ou plusieurs de ses enfants, il doit en théorie obtenir de la mère (ou vice-versa) une lettre de consentement parental. Cette lettre, contenant le numéro de passeport de l'enfant, sa date de naissance, l'itinéraire et la durée du voyage, doit être signée par le parent restant au pays. Des numéros de contact doivent également être fournis. Cette lettre vise à s'assurer que tous les jugements concernant la garde de l'enfant, par exemple, soient respectés. Elle vise aussi en théorie à éviter qu'un parent en froid avec l'autre s'enfuie dans son pays d'origine avec sa progéniture.
Mais voilà. Seule l'Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) a la consigne de demander cette lettre. Or, lorsqu'un voyageur quitte le Canada, il ne rencontre pas les agents de l'ASFC. Il s'enregistre seulement au comptoir de la compagnie aérienne puis passe la sécurité, gérée par l'Administration canadienne de la sûreté du transport aérien (ACSTA). Ce n'est qu'au retour au pays qu'il «passe les douanes», comme on dit, c'est-à-dire qu'il doit s'adresser à un représentant de l'ASFC. C'est alors que la lettre est demandée.
Récemment, l'auteure de ces lignes a effectué seule avec son enfant un voyage à l'étranger l'ayant amenée dans trois pays et deux continents différents. Ce n'est qu'au retour au Canada, à l'aéroport de Montréal, que la lettre de consentement parental lui a été demandée. Lorsqu'il a été interrogé à propos de l'utilité d'exiger la lettre au retour des parents voyageurs, l'employé de l'Agence des services frontaliers a eu cette réponse: «On se dit que les gens, sachant qu'on va la demander au retour, l'auront à leur départ.»
Le cas d'enlèvement parental le plus spectaculaire aura certainement été celui de la fille de 12 ans de Myriam Bédard en 2006. L'ancienne championne olympique avait gardé sa fille près de deux mois aux États-Unis contre la volonté du père. Mais ces enlèvements ou rétentions illicites à l'étranger sont beaucoup plus fréquents qu'on ne le croit. Le ministère des Affaires étrangères du Canada gère à l'heure actuelle 613 dossiers de mineurs disparus à l'étranger. La Gendarmerie royale du Canada (GRC) a recensé en 2009 (année la plus récente pour laquelle les chiffres ont été compilés) 237 cas d'enlèvement parental, ce qui représentait «le total le plus bas de la décennie».
«Il n'y a pas de loi canadienne qui requière qu'un parent présente une lettre de consentement pour quitter le Canada», confirme la porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Emmanuelle Lamoureux. En fait, si cette lettre est fortement recommandée, c'est non pas tant pour sortir du Canada que pour entrer dans un pays étranger. «Le but premier de la lettre de consentement est de faciliter l'entrée d'un mineur dans un pays étranger, poursuit Mme Lamoureux. C'est pourquoi cette lettre devrait être préparée dans l'intention de la présenter aux autorités de ce pays.» En fait, soutient le ministère, la lettre «n'est pas un instrument qui empêche l'enlèvement ou la rétention illicite d'un enfant à l'étranger».
Le Canada est signataire de la Convention sur les enjeux civils reliés aux enlèvements d'enfants (Convention de La Haye). Cette Convention stipule les moyens que doivent prendre les pays pour faciliter le retour des enfants dans leur patrie. Le ministère canadien de la Justice est d'ailleurs formel à cet égard: la Convention n'a pas pour objectif de prévenir les enlèvements, mais de les résoudre. «Elle n'impose aucune obligation spécifique aux pays signataires pour prévenir les enlèvements, explique la porte-parole du ministère, Carole Saindon. La Convention entre en ligne de compte après que l'enlèvement a eu lieu, et son objectif est de permettre un retour prompt et sécuritaire des enfants à leur lieu de résidence habituel.»
Toutes ces excuses agacent au plus haut point Pina Arcamone, la directrice générale de la section québécoise d'Enfant-Retour. «On voit chaque année de 300 à 400 cas. Il doit bien y avoir quelque chose qui ne fonctionne pas dans le système! [...] C'est un enjeu majeur. On aimerait que la lettre soit demandée systématiquement avant qu'on sorte du pays, dit Mme Arcamone. On aimerait que ça devienne une loi pour éviter les enlèvements.»
Selon elle, ce sont les compagnies aériennes qui devraient faire les vérifications au comptoir d'enregistrement. N'est-ce pas trop leur demander? Elle rétorque que les compagnies aériennes vérifient déjà que le nom de leurs passagers ne figure sur aucune liste de voyageurs indésirables (les no-fly lists américaine et canadienne) et transmettent aux autorités américaines les informations personnelles de leurs clients si leur avion doit survoler le territoire américain. Alors, pourquoi ne pas aussi s'assurer que l'enfant a le OK de ses deux parents pour voyager, demande-t-elle?
Mme Arcamone raconte qu'il y a deux ans, une rencontre pancanadienne a été organisée par le ministère des Affaires étrangères sur cette question. Selon le compte rendu qu'elle en fait, les fonctionnaires hésiteraient à rendre la lettre obligatoire de peur de créer des tensions dans un couple. «Une des craintes serait que les parents signent la lettre sous pression, voir la menace de mort, ou encore qu'il y ait de fausses signatures.» Pina Arcamone écarte ces arguments du revers de la main, faisant valoir que si tensions il y a, elles existeront que la lettre soit exigée par les autorités au départ ou au retour...
Elle reconnaît toutefois que la lettre de consentement ne règle pas tout puisque des enlèvements surviennent parfois même lorsque l'autre parent a donné son accord au voyage. Elle note qu'aucun pays n'est plus susceptible qu'un autre d'accueillir des parents kidnappeurs. Les parents ont tendance à se rendre dans leur pays d'origine. Les pays de destination les plus fréquents sont l'Égypte, l'Algérie, le Liban, l'Arabie saoudite, la France, le Mexique et la Tchécoslovaquie.
Notons enfin que si la plupart des parents voyageurs confirment ne se faire demander la lettre qu'au retour au pays, il existe une exception: les États-Unis. Ce pays, comme le Canada, exige de voir la lettre de consentement lors de l'entrée sur son territoire. Or, dans la plupart des aéroports canadiens, les autorités américaines sont sur place pour faire «passer la douane» aux voyageurs. La vérification de la lettre est donc faite à ce moment, en sol canadien, avant que l'avion n'ait décollé.
Ottawa -- Le Canada met-il vraiment en place tous les moyens pour éviter les enlèvements d'enfants par un de leurs deux parents? La question se pose puisque les autorités canadiennes ne prennent aucune mesure pour s'assurer qu'un parent voyageant seul à l'étranger avec son enfant a bien obtenu le consentement de l'autre parent avant de quitter le pays. Cette vérification n'est faite... qu'au retour au Canada! Alors que se termine la semaine de relâche souvent synonyme de voyage hors frontières, au moins un groupe d'aide aux familles d'enfants disparus exige un changement de cette politique.Lorsqu'un père décide de voyager seul avec un ou plusieurs de ses enfants, il doit en théorie obtenir de la mère (ou vice-versa) une lettre de consentement parental. Cette lettre, contenant le numéro de passeport de l'enfant, sa date de naissance, l'itinéraire et la durée du voyage, doit être signée par le parent restant au pays. Des numéros de contact doivent également être fournis. Cette lettre vise à s'assurer que tous les jugements concernant la garde de l'enfant, par exemple, soient respectés. Elle vise aussi en théorie à éviter qu'un parent en froid avec l'autre s'enfuie dans son pays d'origine avec sa progéniture.
Mais voilà. Seule l'Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) a la consigne de demander cette lettre. Or, lorsqu'un voyageur quitte le Canada, il ne rencontre pas les agents de l'ASFC. Il s'enregistre seulement au comptoir de la compagnie aérienne puis passe la sécurité, gérée par l'Administration canadienne de la sûreté du transport aérien (ACSTA). Ce n'est qu'au retour au pays qu'il «passe les douanes», comme on dit, c'est-à-dire qu'il doit s'adresser à un représentant de l'ASFC. C'est alors que la lettre est demandée.
Récemment, l'auteure de ces lignes a effectué seule avec son enfant un voyage à l'étranger l'ayant amenée dans trois pays et deux continents différents. Ce n'est qu'au retour au Canada, à l'aéroport de Montréal, que la lettre de consentement parental lui a été demandée. Lorsqu'il a été interrogé à propos de l'utilité d'exiger la lettre au retour des parents voyageurs, l'employé de l'Agence des services frontaliers a eu cette réponse: «On se dit que les gens, sachant qu'on va la demander au retour, l'auront à leur départ.»
Le cas d'enlèvement parental le plus spectaculaire aura certainement été celui de la fille de 12 ans de Myriam Bédard en 2006. L'ancienne championne olympique avait gardé sa fille près de deux mois aux États-Unis contre la volonté du père. Mais ces enlèvements ou rétentions illicites à l'étranger sont beaucoup plus fréquents qu'on ne le croit. Le ministère des Affaires étrangères du Canada gère à l'heure actuelle 613 dossiers de mineurs disparus à l'étranger. La Gendarmerie royale du Canada (GRC) a recensé en 2009 (année la plus récente pour laquelle les chiffres ont été compilés) 237 cas d'enlèvement parental, ce qui représentait «le total le plus bas de la décennie».
«Il n'y a pas de loi canadienne qui requière qu'un parent présente une lettre de consentement pour quitter le Canada», confirme la porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Emmanuelle Lamoureux. En fait, si cette lettre est fortement recommandée, c'est non pas tant pour sortir du Canada que pour entrer dans un pays étranger. «Le but premier de la lettre de consentement est de faciliter l'entrée d'un mineur dans un pays étranger, poursuit Mme Lamoureux. C'est pourquoi cette lettre devrait être préparée dans l'intention de la présenter aux autorités de ce pays.» En fait, soutient le ministère, la lettre «n'est pas un instrument qui empêche l'enlèvement ou la rétention illicite d'un enfant à l'étranger».
Le Canada est signataire de la Convention sur les enjeux civils reliés aux enlèvements d'enfants (Convention de La Haye). Cette Convention stipule les moyens que doivent prendre les pays pour faciliter le retour des enfants dans leur patrie. Le ministère canadien de la Justice est d'ailleurs formel à cet égard: la Convention n'a pas pour objectif de prévenir les enlèvements, mais de les résoudre. «Elle n'impose aucune obligation spécifique aux pays signataires pour prévenir les enlèvements, explique la porte-parole du ministère, Carole Saindon. La Convention entre en ligne de compte après que l'enlèvement a eu lieu, et son objectif est de permettre un retour prompt et sécuritaire des enfants à leur lieu de résidence habituel.»
Toutes ces excuses agacent au plus haut point Pina Arcamone, la directrice générale de la section québécoise d'Enfant-Retour. «On voit chaque année de 300 à 400 cas. Il doit bien y avoir quelque chose qui ne fonctionne pas dans le système! [...] C'est un enjeu majeur. On aimerait que la lettre soit demandée systématiquement avant qu'on sorte du pays, dit Mme Arcamone. On aimerait que ça devienne une loi pour éviter les enlèvements.»
Selon elle, ce sont les compagnies aériennes qui devraient faire les vérifications au comptoir d'enregistrement. N'est-ce pas trop leur demander? Elle rétorque que les compagnies aériennes vérifient déjà que le nom de leurs passagers ne figure sur aucune liste de voyageurs indésirables (les no-fly lists américaine et canadienne) et transmettent aux autorités américaines les informations personnelles de leurs clients si leur avion doit survoler le territoire américain. Alors, pourquoi ne pas aussi s'assurer que l'enfant a le OK de ses deux parents pour voyager, demande-t-elle?
Mme Arcamone raconte qu'il y a deux ans, une rencontre pancanadienne a été organisée par le ministère des Affaires étrangères sur cette question. Selon le compte rendu qu'elle en fait, les fonctionnaires hésiteraient à rendre la lettre obligatoire de peur de créer des tensions dans un couple. «Une des craintes serait que les parents signent la lettre sous pression, voir la menace de mort, ou encore qu'il y ait de fausses signatures.» Pina Arcamone écarte ces arguments du revers de la main, faisant valoir que si tensions il y a, elles existeront que la lettre soit exigée par les autorités au départ ou au retour...
Elle reconnaît toutefois que la lettre de consentement ne règle pas tout puisque des enlèvements surviennent parfois même lorsque l'autre parent a donné son accord au voyage. Elle note qu'aucun pays n'est plus susceptible qu'un autre d'accueillir des parents kidnappeurs. Les parents ont tendance à se rendre dans leur pays d'origine. Les pays de destination les plus fréquents sont l'Égypte, l'Algérie, le Liban, l'Arabie saoudite, la France, le Mexique et la Tchécoslovaquie.
Notons enfin que si la plupart des parents voyageurs confirment ne se faire demander la lettre qu'au retour au pays, il existe une exception: les États-Unis. Ce pays, comme le Canada, exige de voir la lettre de consentement lors de l'entrée sur son territoire. Or, dans la plupart des aéroports canadiens, les autorités américaines sont sur place pour faire «passer la douane» aux voyageurs. La vérification de la lettre est donc faite à ce moment, en sol canadien, avant que l'avion n'ait décollé.
Étudiants en difficulté: les cégeps débordés
Publié dans Le Devoir, 7 mars 2011, par Lisa-Marie Gervais
Le nombre de cégépiens souffrant de troubles mentaux ou d'apprentissage explose. Et pour leur offrir des services adéquats, la Fédération des cégeps exige une aide supplémentaire de 13 millions.Toutes catégories de handicaps confondues, physiques y compris, ils sont sept fois plus nombreux qu'en 2000 dans les 48 cégeps du réseau, selon des données fournies par la Fédération. Ainsi, à l'automne 2000, 439 jeunes étaient atteints de l'un de ces troubles, contre 3069 moins de dix ans plus tard (puisque les données les plus récentes s'arrêtent en 2009).
Alors que le nombre de jeunes aux prises avec un handicap dit «traditionnel» (surdité, cécité, paralysie cérébrale, etc.) connaît une hausse moins marquée, celui des cégépiens atteints d'un trouble de santé mentale ou d'apprentissage (rassemblés sous le vocable «clientèle émergente») est quant à lui quinze fois plus élevé, passant de 136 à 2094. «Le nombre de handicapés traditionnels est assez stable, mais ce qui s'est ajouté de façon marquée depuis cinq ans, ce sont les autres étudiants [avec des troubles de santé mentale ou d'apprentissage]», confirme Carole Lavallée, directrice adjointe des études au Cégep du Vieux-Montréal, un établissement qui a développé une expertise auprès de ces clientèles handicapées au fil des ans.
Le nombre d'étudiants faisant partie de la clientèle émergente a d'ailleurs crû de façon encore plus fulgurante au cours des dernières années. De 577 qu'ils étaient en 2007, ils sont trois fois et demie plus nombreux (2094) à peine deux ans plus tard. La clientèle émergente est composée de personnes atteintes de troubles d'apprentissage (dont les plus connus sont la dyslexie, la dysorthographie et la dyscalculie) et de maladies mentales diverses (schizophrénie, psychose, etc.)
Non pas que ces étudiants soient apparus comme par magie. Mais la politique gouvernementale d'intégration des élèves handicapés ou en difficulté d'adaptation ou d'apprentissage et le dépistage précoce, qui tend à se faire plus systématiquement, ont certes aidé à repérer ces étudiants atteints de ces troubles qui sont arrivés au cégep. «Avant, ceux qui arrivaient jusqu'au cégep étaient les très persévérants», constate Mme Lavallée qui est aussi responsable du Service d'aide aux étudiants en situation de handicap (SAIDE) au cégep. Aujourd'hui, il y en a plus qui y parviennent, car ils sont soutenus aux niveaux primaire et secondaire.
Comme les dossiers reçus par le Service régional d'admission du Montréal métropolitain ne contiennent pas d'information sur les possibles handicaps ou difficultés d'apprentissage des étudiants, le cégep constitue, pour la plupart d'entre eux, un nouveau départ. Mais, tôt ou tard, leurs problèmes à l'école les rattrapent.
Moins de tabous
Ces problèmes sont toutefois de moins en moins tabous et sont davantage déclarés, reconnaît Carole Lavallée. «Je ne suis pas sûre qu'il y en a plus; c'est seulement que, comme c'est moins tabou, on en parle plus et on les voit plus, note-t-elle. Il y en avait il y a 25 ans, mais on les mettait dehors ou [l'étudiant] démissionnait de lui-même parce qu'il était tellement gelé par sa médication qu'il ne pouvait plus étudier. Les professeurs ne toléraient pas toujours leurs hospitalisations fréquentes alors que, là, on fait des accommodements.»
Il y a cinq ans, le Collège du Vieux-Montréal et le Collège Dawson se sont entendus avec le gouvernement pour mettre sur pied des projets-pilotes afin de mieux répondre aux besoins particuliers de la clientèle émergente. Une vingtaine de projets-pilotes ont été menés dans 45 cégeps. «Cela faisait en sorte que les jeunes avaient accès à des services. Mais ils se sont mis à s'identifier, et les collèges ont réalisé qu'il y en avait pas mal plus qu'ils pensaient qui avaient besoin d'aide», explique Mme Lavallée.
Depuis trois ans, le financement par étudiant octroyé par le ministère de l'Éducation n'est plus suffisant. «Ces jeunes-là ont eu des portables et [le logiciel] Antidote au primaire et au secondaire», souligne-t-elle en indiquant que la continuité des services doit être assurée.
Pour pouvoir offrir un accompagnement éducatif particulier, comme des logiciels spécialisés, un soutien aux examens et une aide aux déplacements dans le collège, le manque à gagner est estimé à 13 millions par la Fédération des cégeps. «On veut pouvoir continuer à offrir de bons services aux étudiants», souligne Caroline Tessier, la directrice des communications.
Le nombre de cégépiens souffrant de troubles mentaux ou d'apprentissage explose. Et pour leur offrir des services adéquats, la Fédération des cégeps exige une aide supplémentaire de 13 millions.Toutes catégories de handicaps confondues, physiques y compris, ils sont sept fois plus nombreux qu'en 2000 dans les 48 cégeps du réseau, selon des données fournies par la Fédération. Ainsi, à l'automne 2000, 439 jeunes étaient atteints de l'un de ces troubles, contre 3069 moins de dix ans plus tard (puisque les données les plus récentes s'arrêtent en 2009).
Alors que le nombre de jeunes aux prises avec un handicap dit «traditionnel» (surdité, cécité, paralysie cérébrale, etc.) connaît une hausse moins marquée, celui des cégépiens atteints d'un trouble de santé mentale ou d'apprentissage (rassemblés sous le vocable «clientèle émergente») est quant à lui quinze fois plus élevé, passant de 136 à 2094. «Le nombre de handicapés traditionnels est assez stable, mais ce qui s'est ajouté de façon marquée depuis cinq ans, ce sont les autres étudiants [avec des troubles de santé mentale ou d'apprentissage]», confirme Carole Lavallée, directrice adjointe des études au Cégep du Vieux-Montréal, un établissement qui a développé une expertise auprès de ces clientèles handicapées au fil des ans.
Le nombre d'étudiants faisant partie de la clientèle émergente a d'ailleurs crû de façon encore plus fulgurante au cours des dernières années. De 577 qu'ils étaient en 2007, ils sont trois fois et demie plus nombreux (2094) à peine deux ans plus tard. La clientèle émergente est composée de personnes atteintes de troubles d'apprentissage (dont les plus connus sont la dyslexie, la dysorthographie et la dyscalculie) et de maladies mentales diverses (schizophrénie, psychose, etc.)
Non pas que ces étudiants soient apparus comme par magie. Mais la politique gouvernementale d'intégration des élèves handicapés ou en difficulté d'adaptation ou d'apprentissage et le dépistage précoce, qui tend à se faire plus systématiquement, ont certes aidé à repérer ces étudiants atteints de ces troubles qui sont arrivés au cégep. «Avant, ceux qui arrivaient jusqu'au cégep étaient les très persévérants», constate Mme Lavallée qui est aussi responsable du Service d'aide aux étudiants en situation de handicap (SAIDE) au cégep. Aujourd'hui, il y en a plus qui y parviennent, car ils sont soutenus aux niveaux primaire et secondaire.
Comme les dossiers reçus par le Service régional d'admission du Montréal métropolitain ne contiennent pas d'information sur les possibles handicaps ou difficultés d'apprentissage des étudiants, le cégep constitue, pour la plupart d'entre eux, un nouveau départ. Mais, tôt ou tard, leurs problèmes à l'école les rattrapent.
Moins de tabous
Ces problèmes sont toutefois de moins en moins tabous et sont davantage déclarés, reconnaît Carole Lavallée. «Je ne suis pas sûre qu'il y en a plus; c'est seulement que, comme c'est moins tabou, on en parle plus et on les voit plus, note-t-elle. Il y en avait il y a 25 ans, mais on les mettait dehors ou [l'étudiant] démissionnait de lui-même parce qu'il était tellement gelé par sa médication qu'il ne pouvait plus étudier. Les professeurs ne toléraient pas toujours leurs hospitalisations fréquentes alors que, là, on fait des accommodements.»
Il y a cinq ans, le Collège du Vieux-Montréal et le Collège Dawson se sont entendus avec le gouvernement pour mettre sur pied des projets-pilotes afin de mieux répondre aux besoins particuliers de la clientèle émergente. Une vingtaine de projets-pilotes ont été menés dans 45 cégeps. «Cela faisait en sorte que les jeunes avaient accès à des services. Mais ils se sont mis à s'identifier, et les collèges ont réalisé qu'il y en avait pas mal plus qu'ils pensaient qui avaient besoin d'aide», explique Mme Lavallée.
Depuis trois ans, le financement par étudiant octroyé par le ministère de l'Éducation n'est plus suffisant. «Ces jeunes-là ont eu des portables et [le logiciel] Antidote au primaire et au secondaire», souligne-t-elle en indiquant que la continuité des services doit être assurée.
Pour pouvoir offrir un accompagnement éducatif particulier, comme des logiciels spécialisés, un soutien aux examens et une aide aux déplacements dans le collège, le manque à gagner est estimé à 13 millions par la Fédération des cégeps. «On veut pouvoir continuer à offrir de bons services aux étudiants», souligne Caroline Tessier, la directrice des communications.
6 mars 2011
Lettre du commissaire (no 494, 6 mars 2011)
Chers amis, Bonjour,
Après une courte absence, me re-voilà avec mes nouvelles sur le quartier… et je serai… moyennement long
1. Saint-Gabriel-Lalemant à la piscine
Des élèves de cette école vont, les jeudis et vendredis, à la piscine du Patro Le Prévost.
2. Reportage sur la sécurité autour des écoles
Je vous invite à lire l’excellent reportage paru samedi dans Le Devoir sur la sécurité des enfants aux abords des écoles. Il y est notamment question des grandes artères de notre quartier : Papineau, Christophe-Colomb, Saint-Denis, Lajeunesse, Jean-Talon et Crémazie.
3. Ciné-club à Saint-Étienne
Il y aura un ciné-club à l'école Saint-Étienne, le vendredi 11 mars à 18h45. On y présentera "Mégamind". Ventes de pop-corn et de friandises au profit de la fondation de l'école. Les enfants doivent être accompagnés d'un adulte. Bienvenue à tous!
4. Budget du commissaire : un rappel
Je recevrai les projets d’ici le 31 mars. L’argent non utilisé par les écoles sera alors mis à la disposition des autres écoles.
5. Les murs de Saint-Arsène
Saint-Arsène il y a quelques semaines, je vous ai parlé du contrat octroyé pour refaire la brique à l’école Saint-Arsène. La somme a semblé très importante à d’aucuns. C’est que j’avais omis de préciser que ce sont tous les murs de l’école qui seront refaits et non pas seulement le mur de devant.
6. Cours de golf
La Fondation de l’école Sophie-Barat offre des cours de golf, en mars et en avril, du mardi au samedi, au 750, boulevard Gouin Est. L’ inscription au cours permet de recevoir un reçu d’impôt. Téléphone : 514 439-7673.
7. Plan Réussir : quelle est la cible de votre école?
Le plan Réussir de l’ensemble des écoles de notre commission scolaire vise à réduire de 20 % le taux de décrochage d’ici 2015. Au cœur de ce plan : la maîtrise du français et le soutien aux élèves en difficulté.
Pour atteindre cet objectif, chaque école s’est doté d’une cible à atteindre. Chacune des écoles diffusera, à l’automne, la cible qu’elle s’est fixée. Cette information permettra aux parents et à la communauté de connaître le point de départ d’une école, ses objectifs à atteindre et sa vitesse de croisière. Ces cibles locales seront tout d’abord diffusées sur le site Web de la CSDM et sur les sites Web de chacune des écoles.
8. Apprendre sans faim : en voir la fin
Consciente du lien étroit entre l’alimentation des jeunes et la réussite scolaire, la présidente de la Commission scolaire de Montréal (CSDM), Madame Diane De Courcy, est intervenue publiquement récemment pour signifier que la CSDM ne devait pas assumer seule la responsabilité de nourrir les enfants. Plus encore, Mme De Courcy a souhaité que la mesure alimentaire actuellement en vigueur soit élargie pour répondre à tous les élèves dans le besoin. Chaque année, 15 M$ seraient nécessaires, seulement à la CSDM, pour s’assurer que tous les élèves des familles défavorisés puissent manger, du moins, les jours d’école.
En 2010-2011, même si 48 % des élèves de la CSDM sont issus de milieux défavorisés et susceptibles d’avoir recours aux mesures alimentaires mises sur pied par la Commission scolaire, seulement 18 % peuvent en bénéficier
9. Gardiennes d’enfants disponibles
Deux jeunes filles de l’école Père-Marquette offrent leurs services pour garder des enfants de 0 à 10 ans. Ces jeunes filles ont de l’expérience, elles savent faire de bons repas, aider les enfants dans les études et les devoirs, organiser des activités avec les enfants. On peut contacter Charlène ou Diana au 438 380-1685 ou encore au 514 564-3948.
10. Quille-o-thon du GEM
C’est samedi prochain, le 12 mars, que le Groupe d’Entraide Maternel organise son activité de levée de fonds. L’événement se déroulera dès 21 h 30 à la salle de quilles située en haut du IGA sur Saint-Zotique et Saint-André. Le conseiller municipal de Saint-Édouard, François Limoges assume la présidence de l’événement.
11. Comité des lève-tôt
C’est mardi à 8 h que se réunira le comité au sous-sol de la caisse Saint-Arsène.
12. Compétition internationale : Gymnix
Voulez-vous voir un très beau spectacle? Il s’agit d’une compétition internationale d’athlétisme pour femmes. L’événement se produira au centre Claude-Robillard les 12 et 13 mars. Des Québécoises se mesureront à des athlètes d’Europe et d’Asie. L’événement est conçu et organisé par Gymnix; des élèves de l’école Saint-Arsène sont inscrites à cette organisation.
13. Forum de La Petite-Patrie
Vendredi le 11, dès 8 h 30, le comité directeur du Forum de La Petite-Patrie se réunira au sous-sol de la caisse Saint-Arsène.
14. Le « Jour du Seigneur » à Saint-Berchmans
Pour la communauté chrétienne, le carême et la fête de Pâques constituent des moments très significatifs. La direction de l’émission télévisée « Le Jour du Seigneur » a décidé de présenter les célébrations eucharistiques de la communauté Saint-Jean-Berchmans tous les dimanches du carême, du 13 mars jusqu’au dimanche de Pâques, le 24 avril.
Voilà pour cette semaine.
Des questions ? Des commentaires ? Écrivez-moi
Embrassez vos enfants pour moi
Bonne semaine
Kenneth
Après une courte absence, me re-voilà avec mes nouvelles sur le quartier… et je serai… moyennement long
1. Saint-Gabriel-Lalemant à la piscine
Des élèves de cette école vont, les jeudis et vendredis, à la piscine du Patro Le Prévost.
2. Reportage sur la sécurité autour des écoles
Je vous invite à lire l’excellent reportage paru samedi dans Le Devoir sur la sécurité des enfants aux abords des écoles. Il y est notamment question des grandes artères de notre quartier : Papineau, Christophe-Colomb, Saint-Denis, Lajeunesse, Jean-Talon et Crémazie.
3. Ciné-club à Saint-Étienne
Il y aura un ciné-club à l'école Saint-Étienne, le vendredi 11 mars à 18h45. On y présentera "Mégamind". Ventes de pop-corn et de friandises au profit de la fondation de l'école. Les enfants doivent être accompagnés d'un adulte. Bienvenue à tous!
4. Budget du commissaire : un rappel
Je recevrai les projets d’ici le 31 mars. L’argent non utilisé par les écoles sera alors mis à la disposition des autres écoles.
5. Les murs de Saint-Arsène
Saint-Arsène il y a quelques semaines, je vous ai parlé du contrat octroyé pour refaire la brique à l’école Saint-Arsène. La somme a semblé très importante à d’aucuns. C’est que j’avais omis de préciser que ce sont tous les murs de l’école qui seront refaits et non pas seulement le mur de devant.
6. Cours de golf
La Fondation de l’école Sophie-Barat offre des cours de golf, en mars et en avril, du mardi au samedi, au 750, boulevard Gouin Est. L’ inscription au cours permet de recevoir un reçu d’impôt. Téléphone : 514 439-7673.
7. Plan Réussir : quelle est la cible de votre école?
Le plan Réussir de l’ensemble des écoles de notre commission scolaire vise à réduire de 20 % le taux de décrochage d’ici 2015. Au cœur de ce plan : la maîtrise du français et le soutien aux élèves en difficulté.
Pour atteindre cet objectif, chaque école s’est doté d’une cible à atteindre. Chacune des écoles diffusera, à l’automne, la cible qu’elle s’est fixée. Cette information permettra aux parents et à la communauté de connaître le point de départ d’une école, ses objectifs à atteindre et sa vitesse de croisière. Ces cibles locales seront tout d’abord diffusées sur le site Web de la CSDM et sur les sites Web de chacune des écoles.
8. Apprendre sans faim : en voir la fin
Consciente du lien étroit entre l’alimentation des jeunes et la réussite scolaire, la présidente de la Commission scolaire de Montréal (CSDM), Madame Diane De Courcy, est intervenue publiquement récemment pour signifier que la CSDM ne devait pas assumer seule la responsabilité de nourrir les enfants. Plus encore, Mme De Courcy a souhaité que la mesure alimentaire actuellement en vigueur soit élargie pour répondre à tous les élèves dans le besoin. Chaque année, 15 M$ seraient nécessaires, seulement à la CSDM, pour s’assurer que tous les élèves des familles défavorisés puissent manger, du moins, les jours d’école.
En 2010-2011, même si 48 % des élèves de la CSDM sont issus de milieux défavorisés et susceptibles d’avoir recours aux mesures alimentaires mises sur pied par la Commission scolaire, seulement 18 % peuvent en bénéficier
9. Gardiennes d’enfants disponibles
Deux jeunes filles de l’école Père-Marquette offrent leurs services pour garder des enfants de 0 à 10 ans. Ces jeunes filles ont de l’expérience, elles savent faire de bons repas, aider les enfants dans les études et les devoirs, organiser des activités avec les enfants. On peut contacter Charlène ou Diana au 438 380-1685 ou encore au 514 564-3948.
10. Quille-o-thon du GEM
C’est samedi prochain, le 12 mars, que le Groupe d’Entraide Maternel organise son activité de levée de fonds. L’événement se déroulera dès 21 h 30 à la salle de quilles située en haut du IGA sur Saint-Zotique et Saint-André. Le conseiller municipal de Saint-Édouard, François Limoges assume la présidence de l’événement.
11. Comité des lève-tôt
C’est mardi à 8 h que se réunira le comité au sous-sol de la caisse Saint-Arsène.
12. Compétition internationale : Gymnix
Voulez-vous voir un très beau spectacle? Il s’agit d’une compétition internationale d’athlétisme pour femmes. L’événement se produira au centre Claude-Robillard les 12 et 13 mars. Des Québécoises se mesureront à des athlètes d’Europe et d’Asie. L’événement est conçu et organisé par Gymnix; des élèves de l’école Saint-Arsène sont inscrites à cette organisation.
13. Forum de La Petite-Patrie
Vendredi le 11, dès 8 h 30, le comité directeur du Forum de La Petite-Patrie se réunira au sous-sol de la caisse Saint-Arsène.
14. Le « Jour du Seigneur » à Saint-Berchmans
Pour la communauté chrétienne, le carême et la fête de Pâques constituent des moments très significatifs. La direction de l’émission télévisée « Le Jour du Seigneur » a décidé de présenter les célébrations eucharistiques de la communauté Saint-Jean-Berchmans tous les dimanches du carême, du 13 mars jusqu’au dimanche de Pâques, le 24 avril.
Voilà pour cette semaine.
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Bonne semaine
Kenneth
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