31 octobre 2011

Ordre du jour - Conseil d'établissement du 26 octobre 2011


ORDRE DU JOUR
Conseil d’établissement de l’école Saint-Ambroise
Le mercredi 26 octobre 2011

Sous réserve de son approbation par les membres 


1. Vérification du quorum et ouverture de l’assemblée (19h00)

2. Adoption de l’ordre du jour (19h05)

3. Adoption du procès-verbal du mercredi 28 septembre (19h10)

4. Suites au procès-verbal (19h20)
4.1 Représentante de la communauté (Mme Juneau)
4.2 Comité de financement
4.3 Modifications à la Régie interne
4.4 Commentaires des PV des assemblées générales 2010 et 2011
(adoption assemblée générale 2012)
4.5 Suivi service de garde 5e et 6e année
5. Points de discussion, d’approbation ou d’adoption (19h45)
5.1 Adoption du projet éducatif
5.2 Approbation du plan de réussite
5.3 Approbation des sorties et activités
6. Informations
6.1 Du service de garde (20h15)
6.2 De l’organisme de participation des parents (OPP) (20h20)
6.3 De la direction   (20h30)
* Utilisation de la liste des bénévoles
* Travaux se déroulant à l’école
* Projet « Aiguise ta matière grise »
* Caisse scolaire, Unicef, Fibrose kystique et paniers de Noël
6.4 De la présidence (20h45)
6.5 Du délégué(e) du CPR-Centre (20h50)

7. Levée de l’assemblée (21h00)

Soutenir mon enfant au primaire - FCPQ

Trois guides pour les parents - Pour mieux suivre mon enfant à l'école

La Fédération des comités de parents du Québec a publié, au mois d'août 2011, trois guides pour aider les parents à mieux comprendre quels apprentissages leur enfant fait à l'école et leur permettre ainsi de mieux l'accompagner au cours de son parcours à l'école primaire. L'originalité de ces guides réside dans les trucs et suggestions d'activités à réaliser à la maison qui sont proposés aux parents. Notons que la réalisation de ces guides est une initiative du comité de parents de la Commission scolaire des Laurentides.

Vous pouvez consulter les guides en cliquant sur les liens suivants et vous pouvez en commander des exemplaires imprimés au coût de 7,00$. Ce prix inclut les trois guides, les taxes et les frais d'expédition. Vous pouvez en faire la demande par téléphone au 1-800-463-7268, ou par courriel à l'adresse courrier@fcpq.qc.ca

Guide des parents - Pour mieux suivre mon enfant à l'école / Premier cycle du primaire

Guide des parents - Pour mieux suivre mon enfant à l'école / Deuxième cycle du primaire

Guide des parents - Pour mieux suivre mon enfant à l'école / Troisième cycle du primaire

Lettre du commissaire (no 517 - 30 octobre 2011)

Chers amis, Bonsoir,

C’est l’Halloween demain, pas moyen de l’ignorer. Que les enfants fêtent !

Le soccer à Georges-Vanier
On a tous entendu parler du projet de développement du soccer à l’école Georges-Vanier et à la CSDM. C’est le directeur de l’école Georges-Vanier, monsieur Marc Prescott, qui est responsable du projet. Mercredi prochain, la présidente de la commission scolaire, Mme Diane De Courcy, et moi-même rencontrerons monsieur Prescott de même que le directeur du Réseau-Centre, M. Maurice Lachance ; il s’agit de faire une mise au point sur le développement du projet.

La formation professionnelle
C’est le mardi 1er novembre la journée « portes ouvertes » dans les Centres de formation professionnelle. Si votre ado n’est pas sûr de son orientation professionnelle, je vous invite fortement à échanger avec lui sur les métiers enseignés à la CSDM. Cela vaudrait aussi le coup de visiter les Centres de formation professionnelle dès mardi. Pour plus de renseignements on va à http://www.csdm.qc.ca/SallePresse/Communiques/2011/PortesOuvertesFormationProfessionnelle.aspx

L’ERE à Père-Marquette
Les responsables de l’éducation relative à l’environnement (ERE) se réuniront pour leur colloque annuel jeudi et vendredi prochains à l’école Père-Marquette. Ces intervenants viennent de partout au Québec et cette rencontre est une occasion de partager des expériences.

Réunion des répondants
C’est le vendredi 4 novembre que se réuniront de nouveau les membres du comité de travail qui doit assurer le suivi au Forum de la Petite Patrie de l’an passé. Cette réunion se tiendra à la Caisse Desjardins Delorimier, au centre de services Saint-Arsène.

La ministre de l’Éducation a manqué une belle occasion de se taire!
La ministre a fait parler d’elle! Elle a tenu des propos… qui manifestent une faible maîtrise des sujets abordés. Cela fait 20 ans que je suis commissaire scolaire et j’ai vu passer une bonne dizaine de ministres de l’Éducation… Disons qu’il y a de ces déclarations qui me laissent tellement perplexe !

La ministre envisage d’associer d’une certaine façon le budget alloué à une école aux résultats des élèves… Bref une sorte de bonus à la performance ! Pour vous donner une idée de ce que cela signifierait dans notre quartier, considérons l’Académie De Roberval et l’école secondaire Père-Marquette. La première sélectionne ses élèves, elle ne choisit que les meilleurs parmi les meilleurs; il ne faut pas être surpris que le taux de décrochage à cette école soit presque nul et que le taux de réussite aux examens ministériels dépasse les 97 %. Père-Marquette pour sa part ne fait aucune sélection d’élèves, on les accepte tous, dont certains qui sont prédisposés à décrocher et d’autres qui ne peuvent pas compter sur l’ensemble des ressources nécessaires à la réussite. Qui croyez-vous aura le bonus à la performance?

La ministre propose aussi de réallouer l’argent pour en donner davantage, prétend-elle, aux écoles. Elle veut ainsi mettre fin à la « bureaucratie scolaire », celle des commissions scolaires. Si la ministre voulait vraiment mettre fin à la bureaucratie scolaire, elle commencerait par s’interroger sur les façons de faire de son propre ministère. Par exemple, comment se fait-il que le ministère prenne 16 mois – 16 mois – pour compléter l’analyse des résultats des élèves aux examens ministériels de juin! Vous avez bien lu : les examens sont en juin, mais l’analyse des résultats ne nous parvient que l’année suivante. Comment se fait-il qu’elle et son ministère annoncent tant de programmes (par exemple sur la violence, sur le décrochage) avec beaucoup d’argent à investir, mais il n’y a aucune étude qui permet d’évaluer l’efficacité de cette action, de cet investissement. Disons que la ministre a raison de critiquer la bureaucratie scolaire, toute bureaucratie d’ailleurs, tant au public qu’au privé, mais elle a tort de ne pas regarder ce qui se passe dans son propre ministère.

Un dernier mot, la ministre aurait tout intérêt à lire le chapitre du Rapport Rochon sur la gestion des ressources humaines dans le réseau de la santé. Elle verrait que les corporatismes sont omniprésents dans ce réseau et elle comprendra qu’ils le sont aussi dans celui de l’éducation… et que l’enfer est pavé de bonnes intentions. Autrement dit, donner le budget aux écoles avec tous les corporatismes qui y sont, sans les mécanismes d’imputabilité vraiment signifiants, sans une définition des mandats de l’école … c’est de la poudre aux yeux, c’est de la basse politique populiste !


Voilà pour cette semaine.

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Embrassez vos enfants pour moi

Bonne semaine

Kenneth

Le stress des enfants

Publié dans La Presse, 28 octobre 2011
Silvia Galipeau


On a beaucoup parlé de stress cette semaine dans La Presse. Un stress qui ronge beaucoup d'entre nous et qui, trop souvent, est mal géré, demeurant du coup incontrôlé, voire incontrôlable. Un stress que de nouveaux tests biologiques pourraient toutefois nous aider à mieux comprendre, révélait aussi la collègue Marie-Claude Malboeuf dans sa série de reportages sur la question.

Mais qu'en est-il des enfants? On le sait, ils sont malheureusement loin d'être à l'abri d'un des grands maux du siècle. D'après les experts, entre 7 et 17% des enfants souffrent aussi de troubles anxieux, soit, selon les estimations, autour d'un enfant sur 10. Oui, c'est énorme, confirme la psychologue Geneviève Marcotte, qui voit défiler quotidiennement dans son bureau des enfants de 5 à 14 ans aux prises avec un stress qu'ils ont malheureusement bien du mal à cerner.

Parce que les enfants ne lisent pas les reportages sur la question dans les journaux, fait valoir la psychologue, ils n'en entendent jamais parler dans la cour d'école, ils se croient du coup seuls au monde aux prises avec leurs peurs. D'où l'importance de dédramatiser.» Notre première intervention, c'est de normaliser ce stress. Il faut faire comprendre aux enfants qu'ils ne sont pas seuls, que l'anxiété ne les contrôle pas, et qu'au contraire, c'est à eux de la contrôler», explique-t-elle en entrevue.

C'est précisément pour cela qu'elle vient de publier, avec sa collègue Nathalie Couture, Incroyable Moi maîtrise son anxiété, aux éditions Midi Trente. Le livre, fait inusité, s'adresse ici aux enfants d'abord (d'où les illustrations sympathiques, le langage clair et concis, et surtout les exercices pratiques), et aux parents ensuite. Pourquoi tant de stress chez les enfants qui, par définition, ne vivent pas toutes les contraintes professionnelles et familiales de leurs parents? On ne le sait pas précisément, répond la psychologue, mais plusieurs facteurs seraient en jeu: le tempérament de l'enfant, la famille (oui, un parent stressé peut, mais «pas nécessairement», aussi stresser son enfant), l'environnement (un déménagement, une maladie), ou des troubles divers (notamment les troubles d'apprentissage).

La difficulté avec un enfant, poursuit-elle, c'est qu'il ne verbalisera pas toujours son stress. Si certains diront effectivement qu'ils «ont peur», d'autres pleureront beaucoup, piqueront des colères, seront impolis en classe, etc. D'où l'intérêt du livre, qui accompagne et encourage l'enfant à calmer son corps (en proposant des exercices de relaxation), calmer ses esprits (en questionnant ses pensées négatives, pour les remplacer par des pensées plus positives), à se rassurer soi-même, et surtout, à affronter ses peurs. Qu'il s'agisse de dormir seul dans le noir ou de faire une présentation orale en classe, le procédé est toujours le même: comprendre pourquoi j'ai peur, me questionner sur ce qui pourrait vraiment arriver, est-ce vraiment réaliste, est-ce toujours «si pire», bref, dédramatiser et « défaire la structure de pensée», pour pouvoir, enfin, oser affronter et surmonter sa peur.

Et tout comme les adultes, on suggère ici aux enfants plus anxieux d'adopter une bonne hygiène de vie: oui, eux aussi doivent bien dormir, manger, et aussi bouger, pour être moins stressés... «Parce qu'à la base, entre le stress des adultes et celui des enfants, les fondements théoriques restent les mêmes», confirme la psychologue.

Incroyable Moi maîtrise son anxiété, de Geneviève Marcotte et Nathalie Couture, éd. Midi Trente, 47 p ., 19,95$.

27 octobre 2011

Site Internet de l'École St-Ambroise

Si ça fait un certain temps que vous êtes allés sur le site internet de l'école, je vous encourage à y retourner: nouveau design, nouveaux contenu, ... un très beau travail (à mon avis)

Je culpabilise, tu culpabilises

Publié dans La presse, La mère blogue, 27 octobre 2011

De quoi vous sentez-vous le plus coupable? En tant que parent, j’entends? De donner des repas pré-préparés à vos enfants? De les envoyer parfois un brin fiévreux en classe, faute de plan B? De ne pas passer assez de temps en famille? Ou de vous oublier, dans le tourbillon de la course?

Et bien figurez-vous que LE sujet qui revient le plus souvent chez les mères, qu’elles travaillent ou qu’elles soient au foyer, est tout autre: oubliez les menus santé ou le temps de qualité, elles se sentent au contraire très très coupables quand leur maison n’est pas impeccable.
Oui mesdames: la poussière, les jouets qui traînent, la vaisselle qui s’accumule, c’est ça, et non le temps de qualité passé ou non à lire une histoire avec bébé, qui compte le plus?
Je suis sceptique.
C’est pourtant ce qui ressort clairement d’un sondage réalisé ici par leWorking Mother Research Institute, dont les résultats sont rapportés dansce blogue du Wall Street Journal.
On a sondé 2700 mères, des professionnelles d’un côté, et des femmes au foyer de l’autre.
Dans le top trois des sujets les plus culpabilisants, les mères ont cité: 1- l’état de la maison; 2- le sentiment de ne pas prendre assez soin de soi; 3- le temps passé avec les enfants.
Les mères au foyer, de leur côté, citent, dans l’ordre: 1- le sentiment de ne pas participer au revenu familial; 2- l’état de la maison; et 3- le sentiment de ne pas exploiter à son plein potentiel leur éducation.
Surpris de voir que le ménage prenne ici autant de place? Vous reconnaissez-vous?

26 octobre 2011

PV - Conseil d'établissement du 26 octobre 2011


Procès-verbal 

Réunion du Conseil d'établissement de l'école Saint-Ambroise 

Le mercredi 26 octobre 2011 à 19h

Sous réserve de son approbation lors d'une prochaine séance

Parents
Présences
Équipe-école
Présences
Martine Bussières
Julie Balthazar
Frédéric Gouin
Martine Côté
Catherine Leduc
Amélie Pelletier-Houde
Christine Charles
Annie-Pier Guénette
Jamie Le Tual
X
Sonia Tremblay
Laurence Boucheron
Catia Aguzzi
Marie-Hélène Tremblay 
Karine Hassell
Gabrielle Juneau (membre de la communauté)
X


Roxanne Koltai invitée
Geneviève Cadieux, directrice adjointe
Johanne Lévesque, directrice


1. Vérification du quorum et ouverture de l’assemblée (19h00)

Le quorum est respecté, l’assemblée est ouverte.

Nous souhaitons la bienvenue à Roxanne Koltai, qui doit participer à une rencontre d’un CÉ dans le cadre de son cours « Histoire de l’éducation au Québec » à l’université.

2. Adoption de l’ordre du jour (19h00)
L'ordre du jour est lu. On ajoute le point 5.4 : Demande de dérogation à la politique d’admission,

Julie Balthazar propose l’adoption de l’ordre du jour tel que modifié, appuyée par Annie-Pier Guénette. L’ordre du jour est adopté à l'unanimité.

3. Adoption du procès-verbal de la réunion du 28 septembre 2011
L’adoption du procès-verbal est proposée par Christine Charles et appuyée par Sonia Tremblay. Le procès verbal est adopté à l’unanimité.

4. Suites au procès-verbal (19h11) 

4.1 Représentante de la communauté (Mme Juneau)
     Madame Juneau ne peut être présente ce soir mais sera présente aux prochaines rencontres.
4.2 Comité de financement, produits Humeur et autres campagnes de financement. 

Nous n’avons qu’un seul nom pour le comité de financement, madame Andrée Allard. Stéphanie Thibodeau et Martine Bussières se sont portées volontaires pour faire partie du comité. Elles se rencontreront le plus vite possible. Nous convenons que le comité s’acquittera des mandats fixés par le CÉ l’an dernier pour la fondation. Ces documents seront mis en annexe au présent PV.

Martine présentera les travaux du comité à chaque rencontre. Johanne propose que le comité coordonne ses activités avec les autres campagnes de financement que certains enseignants réaliseront au cours de l’année.

La création du comité de financement est proposée par Frédéric Gouin, appuyée par Laurence Boucheron. La création du comité est adoptée à l’unanimité.

Marie-Hélène nous expose la demande de certains parents pour organiser une vente d’agrumes pour le financement du camp d’anglais des sixièmes années.

Annie-Pier Guénette propose que cette campagne soit réalisée par les sixièmes années uniquement, étant donné que les profits iraient au financement de leur activité. Il est convenu que les enveloppes de commande seront distribuées uniquement aux sixièmes. Par contre, nous ferons un message dans le prochain info-parents pour faire appel aux parents qui seraient intéressés à s’en procurer et l’information sera affichée dans chaque pavillon. La proposition est appuyée par Martine Coté. Adopté à l’unanimité.

Nous présentons les produits Humeur aux parents. Les informations sur les produits et la compagnie seront acheminées au comité de financement.
4.3 Modifications à la Régie interne (19h40)
Marie-Hélène nous présente les modifications à apporter à la régie interne. Le nouveau document sera inséré en annexe au présent PV.

La modification aux règles de régie interne est proposée par Catherine Leduc, appuyée par Catia Aguzzi. Adopté à l’unanimité.
4.4 Commentaires des procès-verbaux des assemblées générales de 2010 et 2011
On présente les derniers procès-verbaux. Pas de commentaires.
4.5 Suivi service de garde 5e et 6e années
Martine nous présente la lettre écrite aux élèves utilisateurs du service de garde de 5e et 6e années. On s’interroge sur la pertinence de faire une distribution d’une lettre du même genre à certains parents qui se questionnent quant à la réalisation de projets spéciaux. Après un compte rendu sur la rencontre de certains parents avec la direction, et la constatation que les élèves de ces niveaux sont maintenant impliqués dans différentes activités, il n’apparaît pas nécessaire de distribuer une telle lettre.

5. Points de discussion, d’approbation ou d’adoption
5.1 Adoption du projet éducatif
Geneviève nous parle des deux grands défis de l’école pour les prochaines années : l’écriture et la persévérance scolaire.

Pour l’écriture, les objectifs pour les cinq prochaines années sont de diminuer la proportion d’élèves à risque et d’augmenter la moyenne. Pour la persévérance scolaire, il s’agit d’amener les élèves à utiliser efficacement les ressources ainsi que l’augmentation de la moyenne au niveau de la compétence résoudre une situation problème en mathématique.

L’adoption du projet éducatif est proposée par Amélie Pelletier-Houde, appuyée par Marie-Hélène Tremblay. Adopté à l’unanimité.
5.2 Approbation du plan de réussite (20h05)
Geneviève nous présente les moyens proposés dans le plan de réussite pour cette année en lien avec nos résultats attendus en écriture et en persévérance scolaire.

Frédéric s’interroge sur les moyens du plan de réussite en ce qui concerne les garçons. Geneviève et Martine mentionnent que les formations en écriture seront axées aussi sur des moyens à utiliser pour intéresser les garçons. Johanne mentionne que certains de ces moyens existent dans l’école depuis quelques années déjà (choix de thématiques, d’activités,…).

L’approbation du plan de réussite est proposée par Marie-Hélène Tremblay et appuyée par Catia Aguzzi. Adopté à l’unanimité.
5.3 Approbation des sorties
Deux sorties ce mois ci : une nuit au Biodôme pour les élèves de troisième année et un film Imax sur les tornades pour les sixièmes années.

L’approbation des sorties est proposée par Catia Aguzzi et appuyée par Martine Côté. Adopté à l’unanimité

Martine nous présente un projet de l’UQAM pour valider les résultats du projet S’ÉQUIPER POUR LA VIE. Elle a besoin que le CÉ approuve la participation de sa classe à ce projet.

Marie-Hélène Tremblay propose l’approbation de cette activité, appuyée de Sonia Tremblay. Adopté à l’unanimité.
5.4 Demande de dérogation à la politique d’admission
Johanne nous soumet, pour consultation, une proposition de dérogation à la politique d’admission de la CSDM, pour rendre plus facile le processus d’inscription. Plutôt que d’accepter les inscriptions en ordre chronologique, l’école utiliserait la proximité priorité d’inscription.

6. Informations
6.1 Service de garde (20h45)
La pénurie de personnel se poursuit malgré l’embauche d’éducatrices par la CSDM. Il y a eu un poste de comblé, il en reste un autre. Quelques membres du SDG devront être remplacés pour aller suivre une formation à la commission scolaire.

Le SDG fera l’acquisition d’une antenne pour que les radios-émetteurs puissent fonctionner jusque dans les parcs fréquentés par les enfants du SDG. Les enfants du SDG ont participé au concours de citrouilles du jardin botanique. Les grands fabriquent une maison hantée dans le local du SDG.
6.2 OPP
Laurence nous fait un compte-rendu de la rencontre de l’OPP : une activité surprise se tiendra le 23 novembre. La frisk-fête aura lieu encore cette année, soit le 16 décembre ou le 20 janvier. Le 13 février, il y aura un café-parents durant lequel ont invitera les parents à prendre un café et à entrer dans l’école pour admirer les œuvres de leurs enfants. Le 26 mars, tire sur la neige et feu de camp, accompagné de chansons chantées par les enfants. Le 7 juin, pique-nique communautaire et parade de mode avec les objets perdus.
6.3 De la direction (21h00)
Johanne nous demande de réfléchir à l’utilisation des budgets de fonctionnement et de formation du CÉ.

Nous discutons de la possibilité, comme l’an dernier, d’utiliser les surplus du fonds 4 pour la tenue d’activités écoles liées aux fêtes spéciales, jusqu’à un montant de 500$ par événement.

Proposée par Catherine Leduc, appuyée par Frédéric Gouin. Adoptée à l’unanimité.

Catia propose que le budget de l’Halloween soit dévolu à l’activité de la rentrée, appuyée par Sonia Tremblay, puisqu’il n’y aura pas d’activité école pour cette journée cette année. Adopté à l’unanimité.

Dans le cadre du projet sur la chanson francophone, si le projet est retenu et que le budget est suffisant, Jean Albert viendra à l’école composer des chansons avec chaque groupe d’élèves. La culture à l’école financerait 75% des coûts du projet. Pour financer le reste du projet (environ 6000$), il serait possible de faire graver des CD des chansons créées et de les vendre. Si la vente des CD ne permet pas d’amasser le montant requis, il faudrait absorber le reste avec les surplus du fonds 4.
- Utilisation de la liste des bénévoles
On s’interroge sur la façon d’utiliser les bénévoles. Certains parents avaient donné leurs noms mais n’ont pas été appelés. Geneviève nous explique que beaucoup de parents donnent leur nom pour certaines activités et peu pour d’autres. Il est donc possible que certains parents ne soient pas contactés. Aussi, certains parents demandent de ne faire du bénévolat que dans le cadre d’activités en présence de leurs propres enfants, ce qui limite leur possibilité de participation.
- Travaux se déroulant à l’école
Tout va bien, et le personnel de l’école est très satisfait. Tout est mis en œuvre pour la sécurité de tous.
 -Projet « Aiguise ta matière grise »
Le projet est lancé et débutera le 1er novembre. Il n’y a pas de coûts. C’est un projet qui s’inscrit très bien dans le cadre de notre projet éducatif.
 - Caisse scolaire, Unicef, Fibrose kystique, paniers de Noël (21h15)
On s’interroge sur la quantité de sollicitations que l’on reçoit. L’activité caisse scolaire suscite des interrogations quant à la publicité de l’institution bancaire des Caisses Desjardins dans les écoles.

L’Unicef aussi représente une tradition dans l’école. Il y a beaucoup de demandes de participation à certaines campagnes de financement cet automne. Nous discuterons en fin d’année des campagnes pour l’an prochain.Johanne inscrira dans l’info-parents la date de remise des pochettes de collectes de fonds de la fibrose kystique.
6.4 De la présidence (21h35)
Marie-Hélène nous informe qu’elle nous transférera les courriels de la CSDM.
6.5 Du délégué du CPR-centre
Frédéric nous fait un compte rendu de la rencontre du CPR-Centre. Linda Laurencelle a été élue encore une fois à la présidence. Quatre postes à l’exécutif ont été comblés.

7. Levée de l’assemblée
Proposée par Catia Aguzzi et appuyé par Julie Balthazar

24 octobre 2011

Lettre du Commissaire (no 516, 23 octobre 2011)

Chers amis, Bonsoir,

Après deux semaines de relâche, je vous reviens ce soir avec beaucoup de nouvelles

1. Postes disponibles à Victor-Doré et Joseph-Charbonneau

Ces deux écoles sont à la recherche de surveillants de dîner. Si vous possédez un secondaire 5 et vous voulez travailler auprès d’élèves ayant un handicap physique, je vous invite à communiquer avec les directions de ces deux écoles : Mme Anne Alexandre (Victor-Doré) au 514 596-4300 et Mme Louise Paquette (Joseph-Charbonneau) au 514 597-4350.

2. Jacques Chagnon à l’Académie de Roberval

Le président de l’Assemblée nationale, M. Jacques Chagnon, a passé quelques heures à cette école. Il était notamment accompagné du député de Laurier-Dorion, M. Gerry Sklavounos. M. Gagnon a d’abord échangé avec les présidents de chacune des classes de l’école ; il a aussi rencontré certains membres du conseil étudiant. Par après, il a prononcé une conférence plus formelle devant tous les élèves de secondaire 4.

Je rappelle que Jacques Chagnon a déjà été commissaire scolaire sur la Rive-Sud de Montréal en plus d’avoir été le président de la Fédération des commissions scolaires du Québec.

3. L’alimentation dans Villeray

La semaine dernière, j’ai présenté, à la Table de concertation sur la sécurité alimentaire dans Villeray, un projet de participation des écoles Georges-Vanier et Académie de Roberval au plan d’action sur l’alimentation. Ces projets ont été très bien accueillis à la Table; manifestement, ces écoles s’inscrivent dans la dynamique du quartier.

4. Le CPE Chez Nous Chez Vous

Le Comité de Gestion de la Taxe Scolaire de l’Ile de Montréal (CGTSIM) veut vendre une partie de son immeuble au CPE qu’il loge déjà, le CPE Chez Nous Chez Vous, que connaissent fort bien les familles qui demeurent autour de l’école Saint-Gérard. L’entente relative à la vente est déjà conclue entre le CGTSIM et le CPE, il faut maintenant poursuivre les démarches auprès de l’arrondissement, de la ville et des ministères concernés.

Le processus est long, à vrai dire très long, mais il aboutira

5. Les antennes de télécommunications près des écoles

La Ville de Montréal consulte actuellement au sujet de la réglementation municipale sur les antennes de télécommunications. C’est mon collègue-commissaire de Louis-Riel/Nouveau-Rosemont, Jean-Denis Dufort, qui a pris le leadership sur cet enjeu et formulé la position de la CSDM.

En l’absence de données scientifiques concluantes sur le niveau de dangerosité de ces antennes, la CSDM souhaite que le principe de précaution soit mis de l’avant. Nous espérons aussi que la ville de Montréal impose des taux d’exposition inférieurs aux recommandations de Santé-Canada lors de l’installation de nouvelles antennes dans un secteur résidentiel ou à proximité d’une école ou d’une garderie.

Nous souhaitons enfin que la réglementation municipale soit amendée de façon à prévoir une obligation d’information et de consultation lors de l’installation d’une telle antenne en secteur résidentiel ou à proximité d’une école ou d’une garderie, et cela, quel que soit le support sur lequel elle est installée.

À noter que cette position reprend en grande partie la position déjà formulée par le Conseil scolaire de Toronto.

6. Classes Affaires Desjardins 2011 honore des élèves

Des étudiants du quartier ont été félicités pour leur action scolaire et sociale. Il s’agit de Pooja Patel de Georges-Vanier, Joel Espinoza de Père-Marquette, Virgil Gélinas et Anne Sarrasin de l’Académie de Roberval. Ces élèves se sont mérité la possibilité de réaliser un stage au sein d’une organisation comme la CDEC Centre-Nord et le Collège de Rosemont.

7. Le non-paiement des services de garde et de surveillance du midi

La très grande majorité de parents sont de très « bons » payeurs, mais il y a toujours cette minorité de parents qui ne paient pas pour les services reçus ; ces parents doivent plus de 2 M$ en arriéré à la CSDM. L’étude de la situation de chacune des écoles révèle par ailleurs que les milieux plus prospères ont des pourcentages de non-paiement très surprenants; le non-paiement n’apparaît pas ici comme une question de budget familial trop faible.

Le Conseil des commissaires s’est arrêté à cette question avec les parents qui interviennent dans les comités de parents de réseaux et le comité central de parents. On a tous pris conscience du fait qu’il n’y avait pas de magie budgétaire ; autrement dit, quand un service est rendu, bref quand le personnel est embauché, des frais sont encourus et si quelqu’un ne contribue pas sa « juste part », il faut prendre l’argent dans un autre poste budgétaire et donc… réduire les services ailleurs, souvent dans des services d’enseignement. Tous se sont aussi entendus sur la nécessité d’adopter une autre approche; on ne peut pas être injuste envers la majorité, qui, elle, paye.

En conséquence, les parents ont reçu une lettre expliquant que désormais des mesures plus vigoureuses seront adoptées en vue du paiement régulier des frais ; cela pourrait aller jusqu’à l’arrêt complet des services. Cette approche sera cependant appliquée avec discernement; des arrangements locaux seront mis de l’avant au besoin.

Voilà pour cette semaine.

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Embrassez vos enfants pour moi

Bonne semaine

Kenneth

21 octobre 2011

Rencontre sur la persévérance scolaire - L'incontournable évaluation

Publié dans Le Devoir, 21 octobre 2011, par Lisa-Marie Gervais

Si les Québécois sont champions des bonnes idées pour contrer le décrochage, ils ne réussissent pas toujours à les implanter efficacement. Pour qu'elles ratent moins la cible, elles devraient être plus systématiquement évaluées, a soutenu le professeur en psychoéducation à l'Université de Montréal, Michel Janosz, dans le cadre des 2es rencontres sur la persévérance scolaire. «Mais personne n'aime ça s'autoflageller. S'auto-évaluer, ce n'est pas le fun».Pourtant, c'est la seule façon de mesurer l'efficacité, croit-il. «L'idée c'est de documenter ce qu'on fait, de vérifier si on fait bien ce qu'on a planifié et être capable de voir si on atteint les objectifs. Si on ne le fait pas, on reste dans une impression d'efficacité», a dit M. Janosz, directeur du Groupe de recherche sur les environnements scolaires (GRES).

Il constate que le milieu des sciences sociales n'a pas toujours la rigueur de celui de la recherche scientifique, où par exemple on fait des devis en double aveugle pour être certain de ne pas biaiser les résultats. «On a tendance à aller vers ce qui fonctionne, c'est la nature humaine.»

Le sociologue Michel Perron, président du comité organisateur du colloque, a d'ailleurs souligné en conférence de fermeture que «favoriser une culture de l'évaluation» devait être parmi les priorités. Directrice adjointe à la commission scolaire des Samares, Sylvie Anctil a travaillé à mettre en Ïuvre le programme PARER, un projet de mentorat implanté dans des écoles en milieu très défavorisé, qui s'inspire de la méthode états-unienne «check and connect». Sans un «monitorage» et un suivi serré des objectifs, l'initiative n'aurait jamais donné des résultats aussi satisfaisants, note-t-elle. «On regardait de façon hebdomadaire chaque critère, par exemple si l'absentéisme avait diminué, et ça nous permettait de relancer l'élève dans le défi qu'il s'était fixé», a-t-elle expliqué.

Michel Janosz reconnaît néanmoins que l'idée d'évaluer les pratiques fait son chemin. Lui qui a livré une évaluation, d'ailleurs très critique, de la Stratégie d'intervention Agir autrement (SIAA), mise en place dans les écoles secondaires des milieux défavorisés, admet que cela n'aurait pas été possible il y a dix ans. «J'aurais été lapidé sur la place publique! Mais je sens maintenant une attitude favorable», a-t-il remarqué.

Un institut national?

Pour l'instant, l'efficacité des actions est variable parce que l'accès aux ressources, l'argent comme la recherche, n'est pas la même partout sur le territoire. «Les ressources sont concentrées dans des poches. On n'est pas assez nombreux au Québec et on n'a pas la capacité scientifique d'un pays comme les Etats-Unis, qui ont tout un bassin d'experts et de chercheurs», a-t-il souligné. «Ça nous prend absolument un espace national».

Il a dit plancher, avec d'autres, sur un institut national qui ferait de la recherche très ciblée. «Il y a actuellement un groupe de personnes qui travaillent à mettre en place une telle structure», a-t-il confirmé au Devoir. Mais ici, pas questions que les chercheurs travaillent tous seuls dans leur coin. «On va travailler avec les commissions scolaires, les profs, des gens d'affaire. On ne veut surtout pas quelque chose qui mette en péril la mobilisation qu'on a en ce moment», a assuré M. Janosz.

Anne Lessard, professeur au département des études sur l'adaptation scolaire et sociale à l'Université de Sherbrooke, applaudit ce genre d'initiative. «Ça fait vraiment une grande différence d'avoir la recherche qui vient nourrir les pratique et soutenir une analyse réflexive qui permet aux gens de voir ce qui fonctionne ou pas», a-t-elle soutenu.

Du troc mais pas de silos

Au cours des deux jours du congrès, certains consensus ont émané, notamment sur l'organisation en silo, qui est à proscrire, selon plusieurs, au profit de la concertation. D'autres ont souligné l'importance de la valorisation. «Il faut repositionner la profession dans la société. Et l'université a un rôle à jouer», a dit Hélène Perreault, doyenne de la faculté des sciences de l'éducation de l'Université McGill, qui agissait comme rapporteuse au congrès. «J'adorerais que comme en Finlande et en Suède, on ait tellement de demandes d'inscriptions à la faculté d'éducation, qu'on soit obligés de contingenter plus que pour les facs de médecine et de droit. Il faut aussi reconnaître la responsabilité des enseignants. Je me demande si on n'oserait pas revoir [leur rémunération]. Est-ce que la compensation est équitable pour la contribution qu'ils font à la société?», a-t-elle dit tout haut sous les applaudissements de la foule.

L'ancienne journaliste de TVA, Monique Grégoire, qui agissait aussi comme rapporteuse, a relevé quelques «empêcheurs de tourner en rond». «J'ai appris que les commissions scolaires et les municipalités ne peuvent plus faire du troc. Par exemple, l'école dit "je te prête mon gymnase et tu utilisent ma bibliothèque". Maintenant, ces deux structures se facturent!», s'est-elle étonnée.

Enfin, l'économiste Pierre Fortin a rappelé que les entreprises avaient une aide à offrir, qui était désintéressée. «Les entreprises s'impliquent avec enthousiasme et il ne faut pas avoir peur d'aller cogner à leurs portes», a-t-il souligné. «Ce n'est pas par intérêt financier mais parce qu'elles se disent que ces enfants-là à aider sont nos enfants.»

En plus de la ministre de l'Éducation, la clôture du colloque a su attirer le ministre de la Santé, Yves Bolduc ainsi que le premier ministre, Jean Charest, qui a lancé un appel à la mobilisation de tous. «Les vrais résultats qui vont nous faire avancer sont ceux qui vont mobiliser les profs, les administrateurs et le personnel de soutien mais interpeller également les communautés», a dit M. Charest. Il a de nouveau insisté sur l'effort que doivent fournir les parents. «Mon père ne me faisait pas faire mes devoirs. Mais à tous les jours, il me demandait "as-tu fait tes devoirs?" Il s'intéressait notre éducation. Déjà, si nous pouvions conscientiser les parents de l'importance de manifester leur intérêt à l'éducation de leur enfant, ce serait beaucoup.»

Québec pourrait réduire de moitié le budget des commissions scolaires


Publié dans Le Devoir, 21 octobre 2011, par Lisa-Marie Gervais

La ministre de l'Éducation, Line Beauchamp, a dit vouloir revoir la structure des commissions scolaires et donner plus de pouvoir aux directions d'école. Selon ce qu'a appris Radio-Canada, elle aurait annoncé son intention de réduire de moitié d'ici trois ans le budget administratif des commissions scolaires, soit 100 millions par année pour arriver, à terme, à 271 millions. «Le statu quo n'est plus possible», a déclaré la ministre Beauchamp.Elle souhaite restructurer les commissions scolaires en «coops de services», des répartiteurs de services, comme des professionnels, par exemple. «C'est un endroit où j'ai des services en commun que je peux aller prendre parce que je suis une école qui a tel ou tel besoin», a indiqué la ministre.

Toutefois, même si le but est de faire des écoles les «maîtres du jeu», l'argent économisé de la restructuration ne leur serait pas automatiquement transféré. Les écoles devront faire approuver leur demande et procéder à des redditions de compte. «Il arrive qu'on garde un certain pourcentage d'un budget et qu'on dise: "ce pourcentage sera redistribué à ceux qui atteignent les objectifs fixés"», a ajouté la ministre.

L'abolition des commissions scolaires est une idée prônée par la Coalition pour l'avenir du Québec dirigée par François Legault. Au cabinet de la ministre, on prétend que cette question est discutée depuis longtemps. Elle devra d'ailleurs être débattue au congrès du Parti libéral en fin de semaine.

Comme ce fut le cas lors de récentes coupes dans son budget administratif, la Fédération des commissions scolaires du Québec (FSCQ) est demeurée plutôt discrète sur le sujet. «À la Fédération, on a annoncé à la fin du mois d'août qu'on préparait un plan d'action pour revoir la gestion et la gouvernance des commissions scolaires. Ça va être dévoilé d'ici la fin d'octobre et on ne veut pas commenter avant», a dit Caroline Lemieux, porte-parole de la FSCQ. En août dernier, la Fédération avait annoncé qu'elle allait effectuer un virage à 180 degrés et accepter de se serrer la ceinture.

20 octobre 2011

CPR-Centre - Élections au Comité exécutif

Le Comité exécutif du CPR-Centre est composé de 7 personnes:
- 1 président
- 3 autres représentants au Comité central de parents
- 4 représentants de quartier
parmi lesquelles sont nommés un vice-président et un trésorier

Lors de la réunion du 17 octobre 2011, les personnes suivantes ont été élues par acclamation
Présidente : Mme Lynda LAURENCELLE, de l’école Père-Marquette

Représentants au CCP :
Mme Guylène DHORMES, de l’école Sans-Frontières
M. Claude-Sébastien JEAN, de l’école St-Étienne
M. Mor BA, de l’école Barclay
La substitut aux représentants au CCP est Mme Robin LONG, de l’école La Petite-Patrie.

Les représentants de quartier sont
- Rosemont: Mme Nathalie Éthier de l’école Alphonse-Desjardins.
- Parc-Extension: M. Mor BA, de l’école Barclay
- Petite-Patrie: (poste vacant)
- Villeray: (poste vacant)

Persévérance scolaire - Le Québec obtient une bonne note

Publié dans Le Devoir, 20 octobre 2011
Lisa-Marie Gervais

Québec -- Le taux de diplomation augmente, même si les garçons décrochent toujours plus que les filles. Et si certaines initiatives du plan ministériel ont porté leurs fruits, d'autres tardent à être mises en place ou devraient être bonifiées. C'est ce qui ressort de la première journée des Deuxièmes rencontres interrégionales sur la persévérance scolaire qui s'amorçaient hier à Québec.Il n'y aura pas de solution miracle au décrochage scolaire et la ministre de l'Éducation se défend bien de porter des lunettes roses. Reconnaissant que la réussite des garçons, qui décrochent (22,6 %) beaucoup plus que les filles (14,3 %), passe par la lecture, Line Beauchamp a annoncé qu'il y aura des changements au programme, sans vouloir dire si c'est pour la prochaine rentrée.

La ministre a surtout tenu à souligner les bons coups de l'école. «On est vraiment dans la bonne voie et mon message, c'est de dire que les choses avancent, c'est indéniable», a-t-elle souligné, lors d'un point de presse en marge de ce grand forum d'échanges entre divers acteurs de tous les milieux et de toutes les régions du Québec.

La ministre se réjouit d'ailleurs de constater que d'après les plus récents calculs, le taux de diplomation avant 20 ans progresse -- il est de 73,8 % pour l'année 2009-2010, contre 66,8 % en 2002-2003. Elle attribue cette amélioration à divers facteurs, notamment la diminution du ratio prof/élèves, l'ajout d'activités parascolaires et les cibles de réussite que se donnent les commissions scolaires.

Certes, le bilan des trois premières années de l'implantation de L'École j'y tiens, réalisé par la firme McKinsey & company, évalue positivement 8 voies de réussite sur 13, même si parmi elles 2 n'ont pas pu être évaluées en profondeur, faute d'information. Quant aux autres chantiers du plan, un n'a carrément pas pu être évalué et quatre autres n'ont pas donné les résultats escomptés, en particulier l'accompagnement individualisé qui devait se matérialiser par l'ajout de 200 enseignants-ressources. «On était passé de 600 à 800 enseignants-ressources dans le réseau, mais malheureusement, ces enseignants de plus vont être retirés, car les conventions collectives qui viennent d'être signées en exigent le retrait, a dit Éric Lamarre, directeur de McKinsey au Canada. C'est le faux départ.»

M. Lamarre a également insisté sur la nécessité de faire fonctionner à plein régime la stratégie Agir autrement, qui cible les écoles secondaires à très haut taux de décrochage, et a relevé certains problèmes de concertation dans la mobilisation des acteurs régionaux.

De belles histoires

Au cours des ateliers et des conférences, des gens du milieu communautaire ainsi que des parents ont dit vouloir encore plus de collaboration avec les écoles. «Les parents sentent qu'il y a un mur autour de l'école», a dit Gaston Rioux, président de la Fédération des comités de parents du Québec.

La ministre Beauchamp a pour sa part tenu à encourager les enseignants «qui ont le dos large» et a invité à valoriser l'éducation. «On est tenté de raconter l'histoire qu'au Québec, on donne des diplômes au rabais», a-t-elle dit, agacée, en défendant la compilation des statistiques. «C'est une histoire d'efforts qu'on raconte. Pas de facilité.»

De belles histoires d'actions qui fonctionnent pour maintenir les jeunes sur les bancs d'école, ou leur permettre de raccrocher plus tard, c'est ce que se sont échangé les participants du colloque.

Comme celle de l'école Louis-Saint-Laurent, à Compton, qui a réussi à réduire son taux de décrochage de 38 % à 21 %, grâce à des initiatives de toute la communauté, comme célébrer la remise du bulletin au village. Ou celle de Lyne Saint-Pierre et ses élèves de Lévis, qui par des projets de jardinage et compostage ont impliqué leurs parents, grands-parents et tout le voisinage et rehaussé le sentiment d'appartenance envers l'école. Ou encore celle de Catherine Jasmin. Violence, famille d'accueil, les drogues dures, la rue, cette jeune maman de 27 ans, qui a décroché de l'école à 14 ans, a tout vécu. Sans avoir terminé sa cinquième secondaire à ce jour, elle suit une formation en éducation aux adultes à la TELUQ, où elle est entrée sur la base de l'expérience et de son engagement dans le milieu communautaire. «Moi, c'est ce qui m'a sauvé», a-t-elle assuré.

19 octobre 2011

SRF - Bulletin d'information - Mars 2011

Bulletin d'information destiné aux parents des Conseils d'établissement

Par le Service des ressources financières de la CSDM
Mars 2011


Le modèle de distribution budgétaire de la Commission scolaire – Qu’en est-il?
Le budget global de la Commission scolaire de Montréal (CSDM) pour l’année scolaire 2010-2011 est de 877 millions de dollars. Afin de répartir ce budget entre les différents établissements, réseaux et services centraux, la CSDM doit se doter d’un modèle de distribution budgétaire. Ce modèle est composé d’objectifs, de principes et de critères de distribution du budget. Le modèle date de quelques années, et certains croient qu’il serait pertinent de le revoir. De façon cyclique, il est impératif de revoir les objectifs, les principes et les critères de distribution afin de s’assurer qu’ils répondent toujours à la réalité et aux priorités de la Commission scolaire.

Ainsi, un comité formé principalement de directions d’établissement (provenant de tous les réseaux de même que des différents ordres d’enseignement) a été mis sur pied afin de revoir ces objectifs, principes et critères de distribution du budget. Les membres de ce comité sont : Mmes et MM. Suzanne Chevrier, Brigitte Fournier, Sylvie Duval, Geneviève Gauthier, Renée Girard, Carmel Harrigan, Maurice Lachance, Michel Lachapelle, Joëlle Laforest, Isabelle Marcotte, Mireille Martel, Jean Ouimet, Louise Paquette, Manon Pelletier et Marc Prescott. Il est prévu que les travaux conduiront à un nouveau modèle de distribution du budget pour l’année scolaire 2012-2013.


Les rajustements budgétaires des établissements de la formation générale des jeunes – Qu’en est-il?
Une grande partie du budget pro forma des établissements dépend du nombre d’élèves qui seront accueillis pendant l’année scolaire. Lorsque le Service des ressources financières (SRF) élabore le budget pro forma des établissements au courant des mois d’avril et mai, il utilise une population scolaire prévisionnelle. Effectivement, le Bureau de l’organisation scolaire, à l’aide de statistiques gouvernementales et des inscriptions à une date donnée, informe le SRF du nombre d’élèves prévus dans chaque établissement pour l’année scolaire à venir.

Le 30 septembre de chaque année est une date cruciale pour le financement des commissions scolaires. À cette date, les directions d’établissement sont invitées à déclarer le nombre d’élèves présents dans leur établissement. C’est pour ce nombre d’élèves que la commission scolaire obtiendra du financement et, par le fait même, c’est pour ce nombre d’élèves que l’établissement obtiendra son budget.

Une fois que le Bureau de l’organisation a terminé toutes ses activités en lien avec la compilation de la déclaration de l’effectif scolaire au 30 septembre, les données sont acheminées au SRF afin que ce dernier rajuste les budgets qui avaient été attribués à l’établissement à la suite de l’élaboration du budget pro forma de celui-ci. Il est ainsi possible que le budget attribué à l’établissement soit revu à la hausse ou à la baisse, selon la variation entre la prévision et la déclaration de l’effectif scolaire au 30 septembre. Il s’agit de ce que nous appelons les rajustements budgétaires.

Le SRF invite les directions d’établissement à présenter ce nouveau budget aux membres du conseil d’établissement accompagné des rapports Sommaire et Détaillé provenant de l’outil financier informatique Situation financière. Habituellement, les rajustements budgétaires sont disponibles en décembre.

Payer sa facture du service de garde par Internet – Est-ce possible?
Oui! Il est effectivement possible pour les parents d’élèves de neuf services de garde de payer leur facture provenant du service de garde via Internet. Ces services de garde sont ceux des écoles :

Alice-Parizeau
Des Cinq-Continents
Élan
Guillaume-Couture
Le Plateau
Louis-Dupire
Paul-Bruchési
Saint-Jean-de-Matha
Saint-Léon-de-Westmount

Il s’agit d’un projet que la commission scolaire a décidé d’explorer pour l’année scolaire 2010-2011. Ce projet semble s’avérer un succès étant donné que plus de plus en plus de parents utilisent ce nouveau mode de paiement, malgré le fait qu’il s’agisse de la première année d’implantation.

Pour les parents, le paiement des factures du service de garde par Internet procure de nombreux avantages dont :

- Il n’y a pas de risque de perdre de l’argent, comparativement au paiement des factures en argent comptant.

- Il n’y a plus de perte de temps à rédiger un chèque, si tel était le mode de paiement privilégié.

- Le paiement est pris immédiatement dans le compte bancaire, ce qui permet aux parents de connaître leurs disponibilités financières immédiatement plutôt que d’attendre que le chèque soit encaissé.

Étant donné la forte popularité de ce nouveau mode de paiement et l’appréciation des établissements, il est fort probable que d’autres services de garde puissent offrir ce mode de paiement aux parents à compter de 2012-2013.


Le paiement de la part-école pour l’achat de livres de bibliothèque – Qui l’assumera en 2010-2011?
La réussite des élèves en français constitue une priorité ministérielle depuis quelques années. La preuve est que le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport (MELS) attribue plusieurs allocations afin de favoriser cette réussite :

- Allocation pour l’embauche de bibliothécaires

- Allocation pour l’embauche de conseillers pédagogiques en français

- Allocation afin que tous les enseignants de la Commission scolaire suivent des sessions de perfectionnement en français

- Allocation pour l’achat de livres de bibliothèque

Cette dernière allocation est une allocation à frais partagés, c’est-à-dire que le MELS n’acceptera de verser l’allocation que si la commission scolaire verse aussi une contribution. Pour l’année scolaire 2010-2011, le MELS finance 55 % des achats des livres de bibliothèque alors que la commission scolaire assume 45 % des coûts. Cette allocation n’est pas nouvelle et a toujours été à frais partagés. Auparavant, les directions d’établissement devaient puiser à même le budget pro forma de l’établissement pour payer la portion devant être assumée par la commission scolaire.

La réussite des élèves en français est une des orientations du plan Réussir de la Commission scolaire lancé en septembre 2009. Or, la Commission scolaire réserve un budget pour la réalisation des orientations du plan Réussir. Pour l’année scolaire 2010-2011, une décision du Conseil des commissaires a été prise selon laquelle 500 000 $ serviraient à payer la contribution de la Commission scolaire pour l’achat des livres de bibliothèque. Cela évite donc aux écoles de devoir faire cette dépense.

SRF - Bulletin d'information - Novembre 2010

Bulletin d'information destiné aux parents des Conseils d'établissement

Par le Service des ressources financières de la CSDM

Novembre 2010


L'équipe du Service des ressources financières (SRF) est fiére de vous préseuter un nouveau numéro de son bulletin d'information produit à l'intention des parents membres des conseils d'établlssement (CÉ) de la formation générale des jeunes. À l'instar des numéros diffusés l'an dernier, ce bulletin permet:

- de favoriser une meilleure compréhension du processus budgétaire de la Commission scolaire de Montréal (CSDM);

- de répondre aux questions fréquemment posées au regard des ressources financières;

- de constituer un cahier de référence convivial pour les membres des CÉ.

Il est possible de consulter les bulletins d'information à l'intention des parents membres des CÉ produits au cours de l'année scolaire 2009-2010 sur le site de la CSDM, sous La CSDM/La CSDM en chiffres/Budget/Publications.

Le bulletin d'information sera remis aux présidences des CÉ par les directions d'établissement et au Comité central des parents. Les publications du SRF peuvent être conservées et ainsi constituer une source de référence pour les membres des comités visés de même que contribuer à faciliter le transfert des connaissances aux nouveaux membres.

Nous espérons que ce bulletin répondra à vos attentes. Nous vous invitons à nous faire part de vos commentaires ou de vos questions ou encore à suggérer des sujets à traiter à l'adresse suivante: fmances@csdm.qc.ca.

Bonne lecture!

La directrice du Service des ressources fmancières,

Joëlle Laforest



Les travaux de fin d'année fmancière - Quels sont-ils?
Au courant des mois d'août, de septembre et d'octobre, le Service des ressources financières s'affaire à différents travaux afin de clore les activités financières de l’année scolaire venant de prendre fin.

L’élaboration des états financiers
Le premier travail consiste à élaborer les états financiers selon certaines normes et dans un format prescrit par le ministère de l'Éducation, du Loisir ct du Sport (MELS). Les vérificateurs externes doivent valider le travail effectué par le personnel de la Commission scolaire dans ce domaine avant d'acheminer le tout au MELS. Toutes les activités fmancières d'une année scolaire des établissements, des réseaux et des services centraux sont présentés dans les états financiers de la Commission scolaire. Il s'agit d'un travail effectué exclusivement par le Service des ressources financières une fois que toutes les unités administratives, incluant les établissements scolaires, ont cessé leurs opérations financières pour ladite année scolaire.

Calcul des résultats financiers (surplus/déficits)
Le second travail effectué par l'équipe du Service des ressources financières est le calcul du surplus ou du déficit de· toutes les unités administratives de la Commission scolaire. Les règles qui sous-tendent ce calcul sont élaborées par la Commission scolaire. La Commission scolaire doit cependant se conformer aux critères établis par le MELS, en ce qui concerne, par exemple, la reconduction ou non du solde d'une mesure ou d'un programme, et ce, plus particulièrement depuis l'entrée des commissions scolaires dans le périmètre comptable de la province. Bien que les surplus ne soient désormais plus reportables à l'année scolaire suivante, le calcul des surplus/déficits demeure un exercice important pour la Commission scolaire. En effet, cet exercice permet de connaître la situation financière de chacune des unités administratives et amène les gestionnaires à bien définir leur gestion financière d'une année à l'autre. (Voir Volume 1-Numéro 2 - mai 2010)

L'information financière - Quand doit-elle être présentée au CÉ?
La direction d'établissement doit déposer au CÉ les formulaires institutionnels intitulés Situation financière de l'établissement - sommaire CÉ et Situation financière de l'établissement – détail minimalement trois fois par année:

- Au dépôt du budget pro forma, avec le rapport « Préparation budgétaire d'un établissement » (mai)
- Après le dépôt des résultats financiers (octobre-novembre)
- Après les rajustements budgétaires (janvier)


Les services de garde - Comment sont-ils financés?
Les services de garde sont financés par deux sources: le MELS et les parents. L'allocation provenant du MELS est accordée pour tous les enfants inscrits et présents sur une base régulière, au 30 septembre.

Pour être considéré comme inscrit sur une base régulière, l'élève doit fréquenter le service de garde tous les jours, minimalement pendant deux périodes d'ouverture du service de garde, soit avant les cours, le midi ou encore après les cours. Les grands principes du financement des services de garde sont les suivants:

- Les 45 premiers enfants inscrits au service de garde génèrent une allocation plus généreuse à l'établissement que les suivants.

- Lorsque le service de garde est situé dans un secteur où l'indice économique est considéré comme défavorisé, une allocation est accordée afin d'offrir des collations aux enfants.

- Les services de garde accueillant des enfants reconnus comme handicapés ou en difficulté d'adaptation ou d'apprentissage peuvent recevoir au besoin une allocation supplémentaire du réseau. Le MELS accorde à la Commission cette allocation qui est gérée par les réseaux (le montant varie selon le code d'handicap ou de difficulté et selon la fréquentation de l'enfant).

- Une allocation supplémentaire est accordée au service de garde s'il accueille des enfants du programme de maternelle pour enfant de 4 ans.

- Pour les journées pédagogiques et la semaine de relâche, le service de garde reçoit une allocation journalière par enfant inscrit et présent, Pour être admissible, l'enfant n'est pas tenu de fréquenter le service de garde sur une base régulière ou sporadique au courant de l'année scolaire.

Pour que le MELS accepte de financer un service de garde, la contribution financière exigée des parents ne doit pas dépasser:

- 7 $ par jour pour les journées normales et les journées pédagogiques

- 14 $ par jour pour la semaine de relâche

Le MELS accorde une somme de 14,95 $ par jour pour les journées pédagogiques et, de 7,95 $ par· jour pour la semaine de relâche, tandis qu'il verse une moyenne de 752$ par année pour chaque enfant régulier.


Qu'advient-il des remises annuelles consenties par les fournisseurs homologués?
La CSDM, à titre de gestionnaire responsable, doit revisiter périodiquement ses pratiques pour être en mesure d'accomplir les nombreuses tâches relevant de sa responsabilité, et ce, de la façon la plus efficiente possible. De ce fait, il a été décidé de revoir le mode de traitement des remises annuelles consenties par les fournisseurs homologués. Les objectif.<; sont de minimiser les coûts d'opération relatifs au traitement de ces remises et de maximiser le bénéfice au profit de l'ensemble des établissements de la CSDM.

Il importe de préciser que la CSDM homologue des fournisseurs pour des familles de produits au moyen de commandes ouvertes. Ce mode d'approvisionnement prévoit la possibilité d'obtenir une remise annuelle d'un fournisseur homologué sous forme de pourcentage accordé annuellement à la CSDM, à la condition que certains volumes d'achat soient atteints par l'ensemble des unités de la CSDM. Auparavant, les remises annuelles étaient réparties et distribuées à l'ensemble des unités administratives au prorata des achats effectués par ces dernières.

Au cours de l'année 2009-2010, une nouvelle orientation était retenue par l'administration de la CSDM. Elle visait à utiliser les remises annuelles pour faire face à certaines dépenses en vue de faciliter la transition vers le nouveau cadre financier. Par exemple, ces sommes ont été utilisées pour:

- La contribution financière du budget consolidé de la CSDM pour les projets d'embellissement des cours d'école

- Le soutien aux établissements qui avaient des engagements fermes

Pour l'année 2010-2011, de nouvelles orientations seront retenues et communiquées ultérieurement.

Concrètement, cela signifie que les remises annuelles consenties ne sont plus réparties à l'ensemble des unités administratives. Les revenus générés par ces remises sont maintenant considérés comme un bien commun au profit des établissements scolaires.

À titre indicatif, la somme des remises versées annuellement à une école représentait moins de 400 $. Dans le cas d'une école primaire, la remise totalisait en moyenne 250 $ pour l'école et 105 $ pour son service de garde.

SRF - Bulletin d'information - Mai 2010


Bulletin d'information destiné aux parents des conseils d'établissement

Par le Service des ressources financières de la CSDM

Mai 2010 (PDF)

SRF - Bulletin d'information - Janvier 2010

Bulletin d'information destiné aux parents des conseils d'établissement

Par le Service des ressources financières de la CSDM

- Janvier 2010 (PDF)

CPR-Centre - Règles de régie interne

Comité de Parents du Réseau Centre 

RÉGIE INTERNE 

Amendé et adopté le 20 octobre 2008 

N.B. : Dans ce document, le générique masculin est utilisé sans aucune discrimination et uniquement dans le but d’alléger le texte.


Tables des matières
DÉFINITIONS

CHAPITRE 1 – Le comité de parents du réseau

1.1 Composition
1.2 Convocation
1.3 Calendrier et lieu des réunions
1.3.1 Calendrier des réunions
1.3.2 Lieu des réunions
1.4 Quorum
1.5 Rôle du comité de parents du réseau

CHAPITRE 2 – L’exécutif du comité de parents du réseau

2.1 Définition
2.2 Composition
2.3 Mandat de l’exécutif
2.4 Rôle et fonctions des membres
2.4.1 Président
2.4.2 Vice-président
2.4.3 Trésorier
2.4.4 Représentants au Comité central de parents de la CSDM
2.4.5 Représentants de quartier
2.4.6 Secrétaire administratif

CHAPITRE 3 – Les règles de fonctionnement

CHAPITRE 4 – Élection des membres de l’exécutif du comité de parents du réseau

4.1 Date et lieu
4.2 Formation de l’exécutif
4.3 Réglementation concernant les élections
4.3.1 Conditions d’éligibilité
4.3.2 Procédures d’élection
4.3.3 Élections
4.3.4 Procédure de vote
4.4 Représentants à l’exécutif
4.4.1 Exclusion
4.4.2 Remplacement de poste vacant

CHAPITRE 5 – Les sous-comités

5.1 Formation
5.2 Rapport des sous-comités

CHAPITRE 6 – Politique des dépenses et pouvoirs bancaires

6.1 Frais de déplacement
6.2 Autorisation des dépenses

CPR-Centre - Calendrier des rencontres 2011-2012

Tel qu'approuvé lors de la rencontre du 17 octobre 2011

Réunions régulières à 19 h 30 (toujours un lundi soir)
À la salle de conférence du réseau Centre

3e Lundi, 17 octobre 2011

2e Lundi, 14 novembre 2011

2e Lundi, 12 décembre 2011

3e Lundi, 16 janvier 2012

2e Lundi, 13 février 2012

3e Lundi, 19 mars 2012

3e Lundi, 16 avril 2012

2e Lundi, 14 mai 2012

2e Lundi, 11 juin 2012

Pas de télé avant deux ans. Point.


Publié dans la Cyberpresse, La mère blogue, 19 octobre 2011

Pas de télé avant deux ans. Point.


Basta. On éteint. Exit la télé, du moins pas avant deux ans. C’est la première fois en plus de dix ans que l’Académie américaine de pédiatrie se prononce sur la question, alors que par ailleurs, les émissions pour les tout petits se multiplient.

Attention danger, dit même l’Association, dans cet article du New York Times: les parents dont les jeunes enfants sont ainsi postés devant un écran ont tendance à moins interagir avec eux, et les petits risquent du coup de prendre du retard dans le développement de leur langage.
Fait à noter, le Times souligne que même si plus de 50 études ont été menées sur les enfants et leur consommation de télé, aucune n’a suivi de gros consommateurs à long temre, pour prouver de réel retard de développement…
Quoi qu’il en soit, je m’interroge: trouvez-vous cette recommandation réaliste? À l’heure des iPhone, iPad et autres bidules intelligents, alors que nous sommes entourés d’écrans, quoi, est-il encore possible d’isoler nos enfants pendant leurs 24 premiers mois? Si oui, comment? Je vous écoute.

17 octobre 2011

Journées pédagogiques 2011-2012



Journées pédagogiques 2011-2012

16 septembre 2011 : École (Fête d'accueil) – 7$ +5$ = 12$

11 octobre 2011 : L'Astuce Journée aventure (Mat. à 6e années), Autobus – 7$ + 20 $ = 27$

3 novembre 2011 : École (Projets éducateurs mat. à 6e années) – 7$ + 5$ = 12$

17 novembre 2011 : Les Neurones Atomiques activités scientifiques (Mat à 6e années) – 7$ + 15$ = 22$

18 novembre 2011 : École et sortie à pieds (Quilles et Projets éducateurs mat à 6e années) – 7$ + 6$ = 13$

12 décembre 2011 : Animagerie (Thématique opération casting – mat. À 6e années) –7$ + 15$ = 22$

9 janvier 2012 Camp Boute-en-train (mat. à 6e années), Autobus – 7$ + 20$ = 27$

27 janvier 2012 École (Projets éducateurs mat. à 6e années) – 7$+5$=12$

17 février 2012 : École Atelier Gofrette (Peinture sur chandail et spectacle mat. à 6e années) – 7$ +13$ = 20$

23 mars 2012 : Cégep André Laurendeau, Journée sportive (escalade et piscine (mat. à 6e années)), Autobus – 7$+ 20$ = 27$

5 avril 2012 : École (Projets éducateurs mat. à 6e années) Possibilité quilles à confirmer 7$+ 6$ = 13$

20 avril 2012 : École équipe d'animation A.E.S. (Thème mission impossible) – 7$+15$ = 22$

22 mai 2012 : École (Projets éducateurs mat. à 6e années) – 7$+5$ = 12$

13 juin 2012 : Équitation 1101 (mat. à 3e années) / A.E.S. (Journée aéronautique 4e à 6e années.), Autobus– 7$+20$ = 27$

Profession: directeur d'école secondaire

Publié dans La Presse, 17 octobre, Pascale Breton

Le rôle de directeur est souvent négligé, dévalorisé, mais essentiel dans une école. Dans le cadre de la première édition de la Semaine des directions d'établissements d'enseignement, nous avons passé une journée avec Jean-François Bouchard,directeur de l'école secondaire Henri-Bourassa, un établissement de 2100 élèves au coeur de Montréal-Nord.

8h10

L'agora de l'école commence à résonner des conversations de centaines d'élèves qui envahissent les lieux, encore plus ou moins réveillés.

Une tasse de café à la main, une galette d'avoine dans l'autre, Jean-François Bouchard circule parmi les groupes. Il prend des nouvelles d'un élève, se joint à un groupe de jeunes qui regarde une partie de baby-foot, fait signe à un autre élève d'enlever sa casquette dans l'école.

«J'essaie de connaître mes élèves. [...] Je m'investis personnellement. J'ai besoin de ce contact», explique M. Bouchard, tout en parcourant le corridor jusqu'à son bureau.

Voilà 10 ans qu'il est dans l'école. Cinq ans d'abord comme adjoint, puis cinq ans comme directeur. Son leitmotiv: élèves et enseignants doivent avoir du plaisir à l'école.

8h20

«Pis?» Tous les matins, vers la même heure, M. Bouchard questionne sa secrétaire. Un petit mot lourd de sens. Combien d'enseignants sont malades, en formation ou tout simplement absents aujourd'hui?

S'il y en a plusieurs, l'équipe de direction est sur ses gardes. «Si mes enseignants de deuxième secondaire sont en formation, par exemple, je sais que ça risque d'être rock 'n' roll dans les classes.»

Les adjoints se promènent alors discrètement sur l'étage, pendant les cours, pour s'assurer que les suppléants maîtrisent la situation.

Quand l'absence est prolongée, ça se complique. Un enseignant de mathématiques de cinquième secondaire est justement en convalescence pour quelques semaines.

La direction doit le remplacer, et vite. En cinquième secondaire, il n'y a que le premier bulletin qui est pris en compte pour l'admission au cégep. Les élèves sont inquiets.

De retour à son bureau, M. Bouchard jette un oeil sur la pile qui l'attend. «J'haïs les chemises rouges», dit-il à la blague. Les chemises rouges contiennent tout ce qui n'est pas encore fait: dossiers à régler, documents à signer, lettres à réviser.

Sur l'écran de son ordinateur, les nouveaux courriels s'accumulent. Il les parcourt rapidement pour répondre aux plus urgents.

Il essaie de tout régler au fur et à mesure. Il se pointe d'ailleurs au boulot vers 7 h le matin, profitant ainsi d'une heure de travail dans le calme avant l'arrivée du personnel et des élèves.

9h00

M. Bouchard va faire un tour sur les étages. «J'incite mon équipe de direction à 'marcher' leur école», lance-t-il. Pour lui, c'est une façon de régler des problèmes de façon informelle, de faire passer des messages et de montrer qu'il est présent.

Il croise une élève qui arrive en retard. «Je devais régler des papiers avec ma mère», dit-elle. Dans l'après-midi, un appel téléphonique lui apprendra en fait que cette famille a des problèmes avec l'immigration.

Un autre élève attend, tête baissée, dans le corridor. Un jeune sur la pente descendante que l'école essaie d'encadrer. «Je t'ai à l'oeil», lui dit-il gentiment.

Il revient à son bureau et retourne quelques appels prioritaires, vérifie encore ses courriels. Tout est réglé au quart de tour. En moins d'une minute, il règle un dossier et passe au suivant.

10h05

L'un de ses adjoints l'intercepte. Il vient d'avoir une longue rencontre avec la mère d'un élève et veut l'informer de la situation «Mes adjoints, ce sont mes pare-feux», lance M. Bouchard.

À la source du problème, une différence culturelle qui a choqué la mère, immigrante, et qui menaçait de prendre une ampleur démesurée. L'adjoint a calmé le jeu.

Deux policiers communautaires passent la tête dans l'embrasure de la porte. «Vous m'avez fait peur», lance M. Bouchard. C'est une visite de courtoisie. La situation est calme aujourd'hui.

M. Bouchard jette un oeil sur son agenda. Entre les réunions et les rendez-vous, l'horaire est plein. Il faut «compartimenter» les dossiers à régler, explique-t-il.

Le visage de cette école défavorisée a bien changé au fil des ans. Pour chaque dollar investi en sport, la direction investit un dollar en culture. Les projets foisonnent. Les enseignants, dynamiques, sont souvent sollicités pour participer à des projets pilotes.

«Je suis la résultante du travail qui se fait dans l'école. Je fais juste permettre que ça se produise. Ce sont eux qui font le travail», dit M. Bouchard. Il reconnaît toutefois que les demandes du ministère de l'Éducation sont nombreuses et parfois difficiles à suivre: nouveau bulletin, réforme, conventions de gestion, projets divers.

«Ça peut être effrayant de voir tout ce qui arrive d'en haut et comment il faut le déployer dans nos écoles.»

Vers 11h00

La cloche sonne la période du midi. M. Bouchard se promène à la cafétéria. Les jeunes font la file. Plus de 600 bénéficient d'une mesure alimentaire. «Pour certains, c'est le seul repas de la journée», lance M. Bouchard en saluant quelques-uns d'entre eux.

Il va faire un tour vers les casiers. Quelques élèves se bousculent en riant, mais ça n'ira pas plus loin. Six agents de sécurité veillent. «On est quand même vigilant. Quand il y a un mouvement de masse, c'est souvent ici que ça commence. Les élèves se mettent à cogner dans les casiers.»

M. Bouchard se dirige vers le local des enseignants. Un comité a été mis sur pied avec l'école Jules-Vernes, à côté, afin de faciliter le passage des élèves du primaire vers le secondaire.

Il offre un lunch aux enseignants travaillant sur le comité afin de les remercier. L'ambiance est bon enfant. À un bout de la table, il se joint à quelques enseignants qui discutent du pool de hockey, dont il fait aussi partie.

13h00

Il revient à grandes enjambées vers son bureau. Il doit rencontrer une candidate pour le poste de suppléance qu'il doit pourvoir pour le cours de mathématiques. Elle l'attend déjà.

L'entrevue dure une quinzaine de minutes. Il doit rencontrer encore d'autres candidats.

Sitôt qu'il rouvre la porte de son bureau, M. Bouchard est sollicité par ses adjoints, des enseignants et du personnel de l'école. Chacun défile pour régler une question, soumettre un projet, obtenir une approbation. Le téléphone sonne. C'est une mère mécontente parce que sa fille n'est plus suivie depuis que la psychologue a quitté l'école.

Le directeur tend l'oreille, apaise les craintes, mais reste démuni. «Que puis-je faire? C'est dur de trouver des psychologues qui veulent travailler dans le milieu de l'éducation», soupire-t-il.

Difficile, le travail de directeur? Très enrichissant, répond plutôt M. Bouchard. «Mais c'est vrai que plusieurs me disent carrément qu'ils ne feraient jamais ma job.» Il fait une pause. «Je trouve important le rôle qu'on occupe et souvent, on n'est pas valorisé à notre juste valeur. On est aussi des acteurs importants du développement pédagogique dans les écoles. Je pense que j'ai aussi un rôle à jouer dans le succès des élèves.»

Pour y arriver, l'apport de son équipe de direction, composée de six adjoints, est primordial. «Sans eux, ça ne fonctionnerait pas», dit-il.

Son visage prend un aspect songeur. La relève est difficile à trouver. Des adjoints expérimentés et formés comme ceux de l'école Henri-Bourassa risquent à tout moment d'être recrutés pour devenir directeurs. «J'en ai trois qui sont 'ministrables'. Je sais que rapidement, je vais devoir les remplacer», s'inquiète M. Bouchard.

14h30

Il se lève d'un bond et sort dans le corridor. Il doit parler à une enseignante. Il préfère de loin le contact humain aux courriels.

Il reconnaît être un peu hyperactif. «Je ne représente pas tous les directeurs d'école, mais je suis le reflet du travail qu'on a à faire.»

Tout en marchant, il est attentif à ceux qui traînent hors des salles de classe. Un directeur doit avoir un pifomètre, croit-il. «C'est comme du pop-corn une école en milieu défavorisé. Tu ne sais jamais ce qui va se passer.»

Vers 15h20, quand la cloche sonne, il va à l'extérieur. Ses adjoints sont là, de même que des agents de sécurité. Une présence adulte calme les esprits, croit M. Bouchard.

Lorsque la majorité des élèves a quitté le terrain de l'école, il retourne à son bureau. S'il n'a pas de réunion à l'horaire, il règle quelques dossiers avant de quitter, vers 18h.

***

Valoriser une profession méconnue

Les directions d'école s'inquiètent. La relève est de plus en plus difficile à trouver et la profession est dévalorisée. Les conditions de travail n'y sont pas étrangères.

Le directeur doit être à la fois un leader pédagogique pour son école et un bon gestionnaire. Ses tâches sont complexes et ses heures de travail, souvent très longues.

La première Semaine des directions d'établissements d'enseignement vise à revaloriser la profession. Elle est organisée conjointement par l'Association montréalaise des directions d'établissements scolaires (AMDES) et l'Association québécoise du personnel de direction des écoles (AQPDE).

Elle survient au moment où les directions d'école négocient avec Québec en vue du renouvellement de leur convention de travail.

Le salaire, particulièrement le maintien salarial en cas de baisse des effectifs, figure au coeur des enjeux.

Le mince écart salarial entre un enseignant et un directeur adjoint, qui seraient tous deux au sommet de l'échelle, n'encourage pas les futurs candidats à se présenter. C'est un problème.

«Non seulement il n'y a pas un grand écart, mais ce qui nous inquiète, c'est que l'écart se réduit de plus en plus. (..) Entre 2001 et 2009, il y a eu une diminution de 50 % de l'écart », explique le président de l'AMDES, Gaétan Nault.

Résultat, la relève n'est pas au rendez-vous. Les commissions scolaires ont pour la plupart épuisé la liste des candidats qui ont réussi les concours. Certaines doivent rappeler des directeurs à la retraite.

La priorité est de revaloriser la profession pour attirer une relève, croit la présidente de l'AQPDE, Danielle Boucher. « Pour attirer plus de candidatures, la première chose à faire avant de revendiquer est surtout de faire connaître. »